Traité d'Aromathérapie et Vitaromathérapie
description détaillée
L’usage des plantes aromatiques remonte à la plus haute antiquité.
De ces végétaux, on extrait des essences aromatiques dites « naturelles », que l’on utilise en cosmétologie, en parfumerie et en savonnerie. Mais, de nos jours, on tend, de plus en plus, à les utiliser pour détruire des microbes et pour combattre des maladies, ignorant que non seulement de nombreuses huiles essentielles sont des mélanges falsifiés, voire artificiels, et que même celles qui sont dites 100 % naturelles sont, toutes, plus ou moins toxiques sous leurs formes actuelles, telles qu’on les trouve habituellement dans de nombreux points de vente. Grégoire JAUVAIS met en garde contre leur redoutable iatrogénicité en expliquant logiquement la cause de cette toxicité, due à la fermeture de leur circuit électrique.
Il démontre que les essences végétales aromatiques ne devraient être utilisées, en thérapie, en physio-esthétique, en hygiène, que sous la forme d’une solution aqueuse, anionisée, anionisante, donc à circuit électrique ouvert, telle qu’elle est fabriquée et utilisée par la plante vivante, en terre, pour assurer ses fonctions physio-biologiques.
En effet, ce n’est que sous cette forme qu’elles sont bio-disponibles, assimilables, bénéfiques, par les organismes vivants, d’où nécessité, surtout en Médecine de Santé psycho-biologique, d’une vitaromathérapie (aromathérapie vitale) adaptée non seulement à la morbidité étio-pathogène et à la vitalité ré-actionnelle du malade mais aussi à son caractère, vu que les essences végétales aromatiques, par leurs fréquences vibratoires spécifiques, ont une caractériologie qui influe sur notre attitude mentale, ce qui veut dire qu’en solutions assimilables, elles peuvent nous aider à positiver nos sentiments habituellement négatifs, lesquels sont la cause profonde de nos maladies non accidentelles, qu’on l’admette ou pas.