POUR QUELLES RAISONS FAUT-IL MANGER TOUT CRU ?
(des preuves scientifiques indiscutables)
Par : Grégoire JAUVAIS, M D., Sc D., Ph D.
Docteur de l’Université Paris 12
Éditions Série Radieuse
Préambule
Pour quelles raisons faut-il manger tout cru ?
Parce que l’Être humain est un animal (un Être animé par une force vitale), comme tous les animaux vivant sur notre Planète.
Or, dans la Nature naturelle, c’est-à-dire non altérée (dégradée, polluée, pillée) par l’homme cupide et ignare, tous les animaux (dits sauvages) mangent naturellement (donc tout cru) et spécifiquement (c’est-à-dire uniquement ce pourquoi ils sont anatomo-physiologiquement constitués), obéissant, ainsi, à la loi vitale de symétrie cosmique qui régit tous les processus vitaux.
L’Homme est le seul Être vivant, en ce monde, qui fait cuire ses aliments, qui mange donc anti-naturellement qui qui, en plus, mange de faux aliments humains, comme les farineux et les sucreries, par exemple.
Est un faux aliment toute substance (dite alimentaire) qui nécessite le trucage de la cuisson pour pouvoir être mangée, car la cuisson est une tricherie biologique qui permet de manger ce que l’on ne doit manger.
En désobéissant constamment à la loi vitale, l’Homme vivant s’encrasse, fait des « maladies », s’enlaidit, souffre et finit par mourir de dévitalisation, car seuls les aliments spécifiques et crus (naturels) vivants (vibrants), sont vitalo-protecteurs.
Par quel miracle un aliment mort (cuit) et anti-spécifique de surcroit, peut-il vitaliser un organisme que le consomme ?
Un aliment cuit ne peut pas entretenir la vie, la force vitale qui nous anime et qui fait notre santé (naturelle).
Faites bouillir un œuf, ne serait-ce que durant 30 secondes, et mettez-le, ensuite, soit dans une couveuse ou sous le ventre d’une poule, par exemple. Donnera-t-il naissance à un poussin ? Non !
Pour être, vraiment, un nutriment, un aliment doit être, à la fois, spécifique et naturel, c’est-à-dire cru, faite de quoi il est mal digéré, mal assimilé, mal éliminé. conséquemment, il dévitalise (parce qu’il ne fournit pas de force vitale) et encrasse l’organisme (parce qu’il est mal éliminé, à cause d’une insuffisance fonctionnelle des émonctoires, insuffisance causée par la dévitalisation).
Les personnes qui ne digèrent pas les aliments crus prouvent, par la même, qu’elles ont profondément altéré leur appareil digestif, depuis leur naissance, à force de consommer tout ce qui altère leur organisme (faux aliments, fausses boissons, overtoniens, alcool, farineux, sucrerie, médicaments, drogues, tabac, etc., sans oublier les sentiments négatifs, conflictuels, qui font autant de dégâts psychorganiques), auxquels s’ajoutent les abus orgasmiques (qui usent le système neuro-végétatif et hormonal), le noctambulisme, l’insomnie, les bruits infernaux, etc., qui entravent la récupération des forces vitales utilisées, voire gaspillées…
À condition d’être spécifique, l’aliment cru (100 % naturel) est vitalo-protecteur, c’est-à-dire qu’il ne dévitalise pas et qu’en plus il facilite les fonctions d’éliminations, donc les défenses naturelles, qui résultent de l’action de deux phénomènes agissant conjointement : d’une immunité primitive et d’une immunité secondaire.
L’immunité primitive, ai-je dit dans mes précédents ouvrages, est la radio-vitalité psychorganique.
Lorsque cette radio-vitalité est amoindrie, altérée, par suite de fautes existentielles à répétition, c’est l’immunité secondaire, d’ultime secours, par les anticorps antigéniques, qui prend le relais.
Et quand, à son tour, celle-ci est amoindrie, toujours par suite de fautes existentielles surajoutées, toujours plus aggravantes, c’est l’hospitalisation, la réanimation, qui nous attend, avec les risques d’en mourir.
C’est dire combien est capitale la préservation de la radio-vitalité psychorganique, qui est la préoccupation majeure de la vraie Naturopathie, qui est, je le redis, la vraie médecine de Santé, que l’on devrait, toujours, appliquer en première intention.
La radiation du vivant et l’immunité primitive.
Avant de parler de la radiation du vivant et de l’immunité primitive, il est bon de savoir ce qu’a écrit le biologiste C. Louis KERVRAN :
« Des centaines de millions de personnes dans le monde, ont utilisé de l’aspirine contre une migraine. Personne ne nie le résultat (anti-symptomatique) mais personne ne peut expliquer pourquoi ni comment agit ce composé, du moins dans le détail. On donne des explications globales, des mots qui masquent notre ignorance, mais on ne sait pas ce qui se passe au niveau de la cellule.
« Ce n’est pas parce qu’on ne peut apporter aucune explication entièrement valable qu’on n’utilisera pas d’aspirine ».
Autrement dit, la science officielle, actuelle, n’a pas la science infuse ni, d’ailleurs, le monopole du savoir.
À côté de cette science officielle, soutenue par les divers États (parce qu’elle créée des emplois et de la grosse finance), il existe une science dite parallèle qui peut expliquer des mécanismes du vivant, mais qui est réprimée, étouffée, neutralisée par la science officielle, du fait qu’elle n’est pas financièrement rentable.
C’est, notamment, le cas de la Médecine de Santé (psycho-biologique), qui est plus ou moins réprimée, voire ridiculisée, par les officiels pour les raisons précitées, bien qu’elle soit indiscutablement scientifique, du fait qu’elle est basée sur la logique, qui est seule scientifique.
Développer la Santé, donc l’immunité primitive, financièrement non rentable, santé qui éradique la maladie, financièrement rentable, n’intéresse personne, sauf celles et ceux (assoiffés de liberté d’expression) qui ne veulent pas être pollués par tout ce qui altère leur santé et, donc, leur vie, leur bien-être, leur bonheur.
La connaissance des « scientifiques » officiels est très limitée du fait qu’ils cherchent le secret de la vie (et, donc, de la « Santé ») dans la matière et non pas dans sa cause originelle, qui a induit son apparition consécutive au Big-Bang.
Cette recherche officielle vise non pas le vrai savoir pour savoir mais la rentabilité financière par le dépôt et l’exploitation de brevets, notamment.
Pourtant il est évident que tout objet matériel, physique, résulte de l’activité d’une pensée sous-jacente.
Ce qui veut dire qu’il n’y a pas de science sans conscience.
Étant donné que la conscience est vibratoire, tout ce qui existe est, donc, vibratoire.
Or, chaque fréquence vibratoire peut être mise en évidence et mesurée.
C’est ce qu’a fait le biologiste André SIMONETON, notamment avec les aliments, dont nous parlerons ultérieurement.
Les valeurs données non seulement par SIMONETON mais par tous les scientifiques officiels sont toutes arbitraires.
Les valeurs données par SIMONETON sont en angströms (Å).
Généralement, les scientistes ne mesurent pas en angströms (Å).
Les mesures en Å ne sont données par SIMONETON que comme une référence conventionnelle, établie sur l’échelle de BOVIS.
L’Å permet d’indiquer la longueur d’onde d’une radiation ultra-courte, émise par les êtres vivants. L’Å est bien pour mesurer la radiation émise par un organisme vivant, radiation qui est appelée radio-vitalité par SIMONETON.
Personnellement, nous continuons à l’utiliser parce qu’elle est explicite.
Les gens bornés, mentalement formatés à l’envers depuis leur naissance et, donc, mentalement sclérosés, qui refusent de penser par eux-mêmes, de réfléchir et de raisonner objectivement et logiquement, qui ne comprennent pas un phénomène, ont tendance à nier, à juger, à médire, à condamner, par manque de Sagesse, autant dire par bêtise, et semblent ignorer ce qu’a dit Paul COURRIER (de l’Académie des Sciences), à savoir :
« Avant de condamner, vérifiez vous-mêmes les résultats. C’est une question de probité intellectuelle, d’esprit, vraiment scientifique.
« Le vrai scientifique ne nie pas par principe, par croyance en un dogme appelé Loi scientifique, loi fugitive établie par des hommes en fonction de nos connaissances du moment ».
Par ailleurs, le Dr Claude BERNARD, l’un des plus grands physiologistes de tous les temps, puisque c’est lui qui a découvert la plupart des mécanismes de nos fonctions organiques, a dit ceci :
« Quand le fait qu’on rencontre est en opposition avec une théorie régnante, il faut accepter ce fait et abandonner la théorie, lors même que celle-ci, soutenue par de grands noms, est généralement accepté ».
Les mesures effectuées en Å sont reproductibles.
Les processus vitaux ne peuvent pas être réduits à la matière ni aux conceptions actuelles matérialistes, de la physique et de la chimie.
La biologie n’est pas la chimie, et la psychologie n’est pas la biologie.
Or, l’être vivant est un tout, à la fois psychologique et biologique, à la fois mental et physique.
L’Être biologique que nous sommes est sujet (vivant) par son Penser et objet (inerte) par son corps physique.
Les « scientifiques » officiels ne savent pas tout. Ils ont, encore, beaucoup à découvrir, à apprendre. Et, surtout, à apprendre la Sagesse, la neutralité des sentiments, la justesse (la justice), bref, la probité intellectuelle dont parle Paul COURRIER.
Gardons l’esprit libre, en toutes circonstances, vu que les théories officielles, tout au moins pour un certain nombre d’entre elles, peuvent être absurdes du fait qu’elles sont basées sur des croyances d’un autre âge, comme c’est le cas, de nos jours, pour la Covid 19, notamment.
Tant qu’un organisme est vivant, il émet des radiations.
Fruits et légumes émettent des radiations tant qu’ils sont vivants, qu’ils ne sont pas pourris, morts.
La matière, dite vivante, celle de nos organismes, n’est pas vivante par elle-même, au sens où on l’entend habituellement.
Le corps physique d’un Être vivant est inerte. Ce n’est qu’un simple outil, comme un téléphone, par exemple, animé par une force vibratoire immatérielle, méta-physique, dont les scientifiques officiels ignorent tout.
Mais la matière a sa propre vibration caractérisée par l’inter-action de ses atomes constitués d’un ou de plusieurs électrons nucléaires groupés (appelés protons), masse tournant sur elle-même, comme notre soleil, autour de laquelle masse gravitent (tournent), en sens inverse, des électrons satellites (mobiles), éparses, ce qui met en place un système de type mâle-femelle, identique à notre Penser holistique, donc un système de type électro-magnétique.
Note : Les scientifiques officiels ne se sont jamais posé la question suivante : « Quelle est la nature invisible de cette force qui fait tourner les électrons satellites sur eux-mêmes et autour des protons ; et quelle est la nature de cette force invisible qui fait tourner le proton sur lui-même, à l’exemple du soleil ? »
Cette force, appelée « matière noire, invisible, impalpable » par les astro-physiciens actuels est, en vérité, immatérielle, méta-physique, méta-lumineuse. C’est de l’Esprit, la force qui alimente la conscience psychologique, la Vie.
L’Esprit est infini et ne doit pas être confondu avec la Conscience qui, elle, est finie, pas plus qu’il ne faut pas confondre océan et poisson. L’océan, au sens scientiste, classique, est in-conscient, contrairement au poisson.
Seul ce qui est fini peut mourir ou re-susciter, passer d’un état mental à un autre, passer du positif au négatif et du négatif au positif, par exemple.
C’est dire la puissance magique dont nous sommes constitués, force que nous pouvons utiliser à l’endroit, positivement, ou à l’envers, négativement.
Savoir cela est capital vu que nous somatisons tous nos sentiments. Ce qui veut dire qu’une « maladie » physique, non accidentelle, est toujours d’origine mentale (psychologique) s’exprimant à travers un soma (un corps dit biologique) propice, c’est-à-dire dévitalisé, carencé, encrassé, morbide.
En vérité, chaque élément de matière, dite inerte, a son système mâle-femelle de Penser.
La matière dite inerte pense mais à son échelle, à son degré d’évolution (ou de position dans la hiérarchie de la vie, de la conscience psychologique).
C’est ainsi que, par exemple, le cuivre pense comme du cuivre, que le zinc pense comme du zinc, que l’iode pense comme de l’iode, etc., etc. Or, tous ces corps vibrent ; et tout ce qui vibre pense. En fait, la matière n’est que de la pensée (conscience psychologique) négativée, de la cacophonie.
Si le cuivre pensait comme le zinc, il serait du zinc ; si le zinc pensait comme le cuivre, il serait du cuivre, etc., etc.
Autres exemples :
Si un chat pensait comme un chien, il serait un chien. Si un chien pensait comme un porc, il serait un porc ; si un singe pensait comme un homme, il serait un homme, et vice versa dans tous ces exemples.
Chacun pense selon son espèce et sa finalité.
Tout comme un son a sa propre fréquence vibratoire, chacune de nos pensées a la sienne.
Un être vivant, pensant, comme nous, par exemple, est l’ensemble de toutes ces forces cognitives « inférieures » primaires, atomiques, suscitées, en temps opportun, au sein d’un ensemble symphonique, à l’instar d’un ensemble de musiciens jouant la même partition. C’est la résultante harmonique de cette activité qui constitue notre Conscience positive, la luminescence de notre Penser holistique, la radio-vitalité, le champ radiant, constitutif, entr’autres, de notre immunité primitive, laquelle nous protège de toute invasion par des micro-organismes exogènes (externes à nous), tout comme le champ radiant, dit magnétique, émis par la Planète Terre, qui empêche les rayons mortels du soleil, notamment, de pénétrer l’atmosphère terrestre et de nous détruire.
Sans toutes ces notes musicales (fréquences vibratoires), émises harmoniquement, nous n’aurions pas de Conscience psychologique, de vie, telle qu’elle se manifeste en nous.
Tant que nos atomes cellulaires vibrent, ensembles, au même diapason, durant notre vivant, nous sommes magnétisés et, donc, en santé,, magnétisés comme une tige de fer non magnétique qui devient magnétique (attirante) lorsqu’on fait passer un courant électrique, de bout en bout, à travers elle, ce qui a pour effet d’aligner tous ses atomes, de leur faire jouer le même rôle.
Mais, dès qu’un musicien de notre orchestre symphonique interne émet des fausses notes, la symphonie devient cacophonique, entropique, et notre organisme, démagnétisé, fait une maladie, pendant que notre immunité primitive, radiante, altérée de même, laisse pénétrer en nous des micro-organismes étrangers, notamment, qui participent à nos infections, à nos infestations (parasitoses).
Pour résumer, on peut dire que le champ radiant est le Terrain, l’immunité primitive, et vice versa.
Voilà pourquoi le Dr Claude BERNARD ne cessait de répéter :
« C’est le Terrain qui est tout ; le microbe n’est rien ».
Or, le Terrain est la radio-vitalité générale dont parle SIMONETON.
Le Dr Claude BERNARD, médecin physiologiste, ne peut pas être traité de charlatan eu égard à Louis PASTEUR qui n’était que chimiste (non médecin, non biologiste). D’ailleurs, au Professeur RENON qui le veillait au moment de sa mort, PASTEUR a dit :
« RENON, c’est Claude (Claude BERNARD) qui a raison. Le microbe n’est rien. C’est le Terrain qui est tout ».
Après la mort de PASTEUR, ses partisans ont continué à soutenir l’idée de PASTEUR, à savoir celle du microbe exogène comme étant la cause de nos maladies infectieuses, parce que cette idée est séduisante, parce qu’elle déresponsabilise le malade dit « infecté par le microbe », et parce que, d’autre part, ça crée des emplois et enrichit bien les fabricants de vaccins, notamment.
Chez un Être vivant qui est passé de l’état de santé à l’état pathologique (maladie) ce qui est changé c’est la fréquence vibratoire de sa radio-vitalité, laquelle peut être mesurée à l’aide d’un vitalimètre, après prélèvement de quelques gouttes de sang prélevées au bout d’un doigt.
Une cellule ou un tissu organique dit malade n’a pas du tout la même fréquence vibratoire (donc la même longueur d’onde, la même luminescence ou rayonnement) qu’une cellule saine ou qu’un tissu organique sain.
Notre organisme est doté d’une intelligence absolue sinon il ne nous maintiendrait pas vivants. Il sait faire ce que personne ne sait faire et ne saura faire, aussi savant soit-il.
Et, en cas de maladie, de fausses notes musicales, de cacophonie, il suffit de l’aider à se remettre à l’endroit, à retrouver sa symphonie, c’est-à-dire sa fréquence vibratoire (sa radio-vitalité) normale, homéostasique, auto-guérisseuse.
Étant donné que notre Sub-Conscient ré-actionnel, concrétiseur, somatise (nature), concrétise, tous nos sentiments, vécus consciemment ou inconsciemment ;
Étant donné que nous sommes seuls responsables des sentiments que nous suscitons en nous, dans notre Conscient (désirs, croyances, imagination, action, etc.), nous sommes, donc, responsables de leurs conséquences, fastes ou néfastes (positives, heureuses, ou négatives, malheureuses).
Ce sont nos désirs et nos croyances qui dictent nos choix, bons ou mauvais (positifs ou négatifs).
Quand on tombe « malade », il faut se souvenir de l’agent qui nous a fait du mal et, donc, renoncer à nos faux désirs, à nos faux besoins, à nos fausses croyances et, notamment, à nos agréables erreurs alimentaires et existentielles, bref à nos déviances mentales.
Nous devons à l’ingénieur SIMONETON le fait d’avoir mesuré les ondes ultra-courtes (inférieures à 1 millimètre ou ondes « Angströmiques »), qui caractérisent nos états de santé (vitalité) ou de maladie (morbidité).
Chez une personne en santé, sa radiation, au-dessus de la moyenne, est de 7 000 à 8 500 Å.
Beaucoup d’auteurs basent leur raisonnement sur l’erreur de l’alimentation actuelle. Ils ont raison, mais un Être humain ne se nourrit pas seulement d’aliments physiques. Il se nourrit, aussi, d’aliments psychiques, de ses croyances, de ses idées, de ses vécus internes, vécus consciemment ou in-consciemment.
Or, il s’avère que nous somatisons tous nos sentiments, les mauvais encore plus facilement que les bons.
D’où l’importance vitale de Penser à l’endroit, positivement, symétriquement, en toutes circonstances.
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La vie biologique, matérielle, incarnée, est radiation vitale, née de radiations vitales immatérielles, méta-physiques, mais matérialisées (rendues physiques par collapsus partiel, à l’origine). Et elle ne peut être entretenue que par des radiations vitales, de même espèce.
Comme dit précédemment, les radiations qui nous caractérisent sont émises par une force vitale méta-physique s’exprimant à travers nos atomes cellulaires, lesquels sont un Penser holistique à leur échelle.
Comme dit précédemment, un atome est, effectivement, un Couple constitué de deux éléments de même espèce, identiques mais inversement fonctionnels, comme mâle et femelle.
C’est de leur inter-action automatique que nait la lumière, physique, la vie biologique, donc la vibration s’effectuant autour d’un juste milieu, donc d’équilibre.
Proton
50 %
Électron
50 %
La Neutralité
Le juste milieu
La vibration résulte d’un mouvement alternatif produit par l’excès alternatif de chacun des plateaux de la balance atomique, espécielle, constituée d’électrons nucléaires EN et d’électrons satellites ES.
L’équilibre qui se situe dans le juste milieu est effectué par la force vitale intrinsèque, cosmique, d’action et de réaction (de cause à effet), qui anime ces deux éléments, selon la loi cosmique de symétrie, qui régit la vie, donc tous nos processus vitaux.
Un atome cellulaire : un couple de type mâle/femelle
ENES
(Proton)(Électron dit négatif)
Élément de type femelleÉlément de type mâle
Charge négative (force vitale extrinsèque)
Charge positive (force vitale extrinsèque)
Force vitale intrinsèque
Correspondant à l’activitécorrespondant à l’activité
du Sub-Conscientdu Conscient
fécondé.fécondateur.
L’EN et l’ES, un couple de type mâle/femelle, à l’image de notre Penser holistique.
Le croquis, ci-après, symbolise le Penser holistique.
Le Conscient. Élément de type mâle.
Le Sub-Conscient. Élément de type femelle.
Le Conscient et le Sub-Conscient, un couple de type mâle-femelle.
Tout ce que vit émotionnellement un Conscient, consciemment ou in-consciemment, programme automatiquement le Sub-Conscient ré-actionnel, concrétiseur (son partenaire intime), qui concrétise, conséquemment, son contenu informationnel, tout comme un spermatozoïde (élément de type mâle) qui féconde (programme) un ovule, de même espèce (élément de type femelle).
Tout ce qui est vivant (pensant) émet une onde holistique spécifique.
La question est, donc, la suivante :
« Quelles sont les longueurs amgströmiques émises par un Être vivant en bonne santé ?
« Quelles sont les longueurs d’onde amgströmiques qui radio-dé-vitalisent, qui rendent malade » ?
Les principales radiations
Les ondes les mieux connues sont :
– La lumière,
– Le son,
– La couleur,
– L’odeur.
Pour mesurer les ondes ultra-courtes, M. SIMONETON a utilisé l’échelle de mesure établie par BOVIS.
Qu’est-ce qu’une onde, sa période, sa fréquence ?
Une onde ressemble à un mouvement ondulatoire, comme celui qui se forme à la surface d’un étang autour d’un point de chute d’une pierre jetée dans cette eau.
Lorsque, aussitôt après, un autre objet tombe dans cette eau, en un autre endroit, l’ondulation formée dans l’eau par ce nouvel objet va s’étendre autour de son épicentre et croiser la précédente sans la déformer, ce qui veut dire que chaque fréquence conserve sa spécificité.
La longueur d’onde est la distance comprise entre 2 crêtes ondulatoires.
Longueur d’ondes Å
Longueur d’ondes
Et la fréquence de l’onde, qu’il ne faut pas confondre avec la longueur d’onde, est le nombre de crêtes de l’onde qui passe en un point fixe en 1 seconde.
Lorsqu’une onde rencontre un obstacle, elle se déforme, comme repliée sur elle-même.
Les ondes peuvent se contrarier ou se superposer.
Lorsqu’elles se contrarient elles tendent à affaiblir, voire à annuler, leurs effets.
Par contre, lorsqu’elles se superposent, elles tendent à augmenter leurs effets.
À cause de nos sens physiques, très limités parce qu’adaptés à la matière, dite « inerte », nous ne percevons pas toutes les ondes.
Or, chaque onde émet un son, une lumière, une couleur, une odeur.
Les ondes actuellement connues par l’Homme s’échelonnent de zéro à 3.000 mètres. Mais il est possible qu’elles s’échelonnent à l’infini.
Ces ondes sont classées par l’homme actuel en ondes courtes, en petites ondes, en grandes ondes.
Le soleil émet des ondes visibles, comme la lumière, et des ondes invisibles, comme les infra-rouges et les ultra-violets.
Nos yeux ne peuvent voir que les couleurs lumineuses suivantes : rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet.
En deçà du rouge, il y a l’infra-rouge, c’est-à-dire du rouge plus rouge que le rouge, invisible par nos yeux ; et au-delà du violet, il y a l’ultra-violet, c’est-à-dire du violet plus violet que le violet, invisible par nos yeux.
Au-delà de l’ultra-violet, on trouve une lumière noire, phosphorescente, mise en évidence par le physicien WOOD, dite lumière de WOOD.
À partir des ultra-violets, la longueur d’onde est mesurée en angströms (Å).
• 1 mètre représente 1.000 millimètres (m/m).
• 1 angström représente 0 m/m 0.000.001, soit 1 millionième de millimètre.
SIMONETON a mesuré la longueur d’onde émise par l’Être humain en santé, par les personnes malades, par les microbes, par les médicaments et, bien évidemment, par les aliments crus et cuits.
Pour capter une onde vibratoire, il faut un récepteur équipé pour cela, récepteur qui est, lui-même, en vibration.
On peut dire que les vibrations s’attirent mutuellement, surtout lorsqu’elles sont de la même famille.
Nos récepteurs (antennes) se mettent en résonnance avec l’onde qui leur parvient.
Si l’on fait vibrer la corde d’une guitare, par exemple, la fréquence vibratoire émise par cette action fait vibrer la même corde d’une autre guitare placée à proximité.
Certaines substances, de même que certains animaux, produisent une lumière phosphorescente (luminescente).
Pour simple mémoire, citons quelques substances phosphorescentes : les sulfures de calcium ou de zinc.
D’où qu’elles viennent ou de quels corps elles émanent, les ondulations vibratoires ne diffèrent entre elles que par leur longueur d’onde, leur nombre d’ondulation par seconde, leur vitesse de propagation…
Les nombreuses radiations lumineuses se propagent avec des longueurs d’ondes variées, différentes, s’exprimant entre 4.000 et 7.000 Å (angströms).
Selon SIMONETON, la longueur d’onde de chacune des 7 couleurs lumineuses visibles est la suivante :
• Couleur violette : entre 3.900 et 4.300 Å
• Couleur indigo : entre 4.300 et 4.500 Å
• Couleur bleue : entre 4.500 et 5.200 Å
• Couleur verte : entre 5.200 et 5.800 Å
• Couleur jaune : entre 5.800 et 5.900 Å
• Couleur orange : entre 5.900 et 6.200 Å
• Couleur rouge : entre 6.200 et 7.800 Å
Au-delà de 3.000 Å, on est dans l’ultra-violet, qui commence à être néfaste pour les organismes biologiques vivants.
Au-delà de 2.000 Å, on est dans les rayons X, dans les rayons de Roentgen, dans les rayons gamma, etc., qui sont destructifs pour les organismes biologiques vivants.
Au-delà de 1.000 Å, on est dans les rayons radium, thorium, uranium, plutonium (et leurs isotopes) qui brûlent littéralement.
Au-delà de 7.000 Å et jusqu’à 10.000 Å, on est dans l’infra-rouge (I.R.).
Le rayonnement I.R., qui émet de la chaleur, pénètre dans l’organisme jusqu’à 5 centimètres de profondeur.
Selon leur longueur d’onde, leur fréquence par seconde, etc., les vibrations entrainent dans les organismes biologiques vivants, des effets fastes ou néfastes, vitalo-protecteurs ou morbido-pathogènes, voire mortigènes.
Les ondes infra-rouges (I.R.) entretiennent la vie biologique, les ondes ultra-sons la détruisent. C’est pour cette raison que ces derniers sont utilisés par les industriels pour détruire les micro-organismes qui peuvent souiller les fruits et les légumes destinés à la consommation. En faisant cela, ils détruisent, par la même, la vie de ces aliments, lesquels, cueillis immatures (pour des raisons commerciales de conservation dans des frigos produisant un froid excessif qui brise les structures biologiques), pourrissent assez rapidement après leur achat au lieu de se maturiser (de murir).
La lumière, visible par nos yeux, c’est de la matière, constituée de photons corpusculaires, mais mus (activés) par une force ondulatoire (vibratoire) sous-jacente, immatérielle (méta-physique, c’est-à-dire au-delà de ce qui est physique), force inconnue et, donc, niée, comme toujours, par les physiciens officiels payés par les divers États, physiciens qui ne voient que la matière et qui ne croient qu’en la matière, dans laquelle ils croient trouver la cause de la vie biologique (matérialisée).
La force vitale est au-delà de la matière, et ce sont ses effets seulement que l’on mesure en angström.
Quand on dit que la longueur d’onde minimum d’un Être humain en santé est de 6.500 Å il s’agit d’une onde matérielle, donc corpusculaire.
Du fait que la matière n’est que de l’immatière naturée, par abaissement de sa fréquence vibratoire originelle, on peut, alors, dire que tout est vibratoire et, donc, émetteur d’ondes, par son essence même.
Par suite de leur activité, les électrons de nos atomes cellulaires émettent un champ radiant, de type bio-électromagnétique. On sait que le degré de la force qui les anime influe sur le degré d’intensité de leur champ radiant.
On sait, aussi, par des mesures amgströmiques, que les sentiments positifs, de même que les aliments spécifiques et naturels, augmentent ce degré de force vitale, alors que les sentiments négatifs, de même que les aliments anti-spécifiques et dénaturés, le diminuent, diminution qui peut aller jusqu’au collapsus.
Un électron qui reçoit suffisamment d’énergie émet également une radiation de type électro-magnétique de même intensité, donc suffisante.
Et un électron qui ne reçoit plus suffisamment d’énergie émet également une radiation de type électro-magnétique de même intensité, donc insuffisante.
Un moteur dit électrique, qui est conçu pour tourner sur du 220 volts, aura un bon rendement si on le fait tourner avec un courant de 220 volts. Mais si on le fait tourner avec un courant de 110 volts seulement, il aura un mauvais rendement.
C’est ce qui se passe au sein de nos atomes cellulaires. L’aliment cru fournit une force suffisante, alors que l’aliment cuit donne une force in-suffisante, voire nulle.
Or, toute in-suffisance fonctionnelle laisse stagner et séjourner des résidus, favorise, donc, un encrassement organique, qui est la cause déclenchante des symptômes, manifestation d’une crise d’épuration organique, appelée « maladie » par la Médecine allopathique.
Des radiations externes à nous peuvent être reçues ou captées par nos sens (vision, ouïe, goût, odorat, etc.), consciemment ou in-consciemment.
Tout corps matériel émet une radiation spécifique (qui lui est propre).
Même une viande en décomposition émet des ondes.
Les insectes polinisateurs, comme les abeilles, par exemple, sont attirés par les ondes (radiations) émises par les fleurs…
Un chien, par exemple, reconnait son maître par les ondes qu’il émet.
Nos sens se mettent en résonnance avec les longueurs d’ondes qu’ils reçoivent. Leur propre fréquence est influencée par la vibration de ces fréquences.
Selon leur longueur , ces ondes reçues peuvent dynamiser ou, au contraire, collapser leur propre champ radiant ondulatoire, à l’exemple d’un compteur électrique qui disjoncte, dans le meilleur des cas, par suite d’une sur-tension, ou d’une ampoule électrique qui grille, par suite d’un court-circuit, ou d’un verre de cristal qui se brise sous l’effet d’une fréquence aigüe émise par un soprano, par exemple, ou d’un pont de pierre qui s’écroule sous l’effet de vibrations supérieures à la résistance des matériaux qui le composent.
Lorsque nos cellules entrent en résonnance d’accord, elles rayonnent et vivent. C’est la symphonie.
Lorsqu’elles entrent en résonnance de désaccord, elles s’éteignent et floculent (comme le lait caillé, qui a tourné), et meurent. C’est la cacophonie.
Ce phénomène de radiation est à bien retenir pour bien comprendre le mécanisme de l’immunité primitive que j’expliquerai plus tard.
Donc, notre organisme doit vibrer, donc émettre des ondes, pour pouvoir en recevoir.
Il en est de même d’un poste de TV. Il doit être doté d’une antenne réceptrice d’ondes, laquelle se met à vibrer, donc à émettre une onde, dès qu’on branche le poste de TV sur le courant électrique.
En l’Être biologique, vivant, que nous sommes, l’antenne réceptrice est la force vitale intrinsèque s’exprimant à travers notre système neuro-végétatif et hormonal, donc à travers nos sens physiques (vue, oui, toucher, odorat, goût, etc.).
L’Être biologique vivant émet des ondes psychiques et, conséquemment, des ondes physiques. Le physique (le soma) faisant come fait le psychique (le mental, son propriétaire).
Retenez bien que l’onde physique, de type bio-électromagnétique, a la même intensité que l’onde immatérielle (méta-physique) émise par le Penser holistique (couple Conscient/Sub-Conscient) qui la sous-tend.
Savoir ceci est d’importance capitale. En effet, lorsqu’on pense négativement, on pro-gramme à l’envers notre Sub-Conscient ré-actionnel, concrétiseur. Et, conséquemment, on affaiblit la puissance (ré-active) de la force vitale intrinsèque que le Sub-Conscient capte dans le Cosmos par l’entremise du rhinencéphale (structures nasales). Or, en affaiblissant, ainsi, la force vitale (la vitalité), on affaiblit le rendement de tous les organes (foie, vésicule biliaire, intestin, reins, poumons, peau, cœur, cerveau, etc.), donc les digestions, les assimilations et… les éliminations, surtout si, en plus, on mange et boit à l’envers et si, en plus, on vit à l’envers, en introduisant, en soi, quantité de substances étrangères plus ou moins toxiques (tabac, alcool, sucreries, farineux, drogues, overtoniens, médicaments, etc.). C’est, donc, abaisser la longueur d’onde de notre organisme et aller vers les diverses maladies.
Vitalité
Vers la maladie <> Vers la santé
(naturelle)
0,1 Å6500 Å 10.000 Å
Mesures en Å sur l’échelle de Bovis
La conscience
La vie est la Conscience (psychologique et morale), et vice-versa.
La Conscience est l’intelligence (qu’il ne faut pas confondre avec l’intellectualité). Elle relève de l’Esprit. Elle est méta-physique (immatérielle). Nos yeux ne peuvent pas voir l’Esprit ni la Conscience ; et, cependant, les deux existent.
La Conscience est la luminescence manifestée de l’Esprit.
Elle peut s’exprimer à l’endroit ou à l’envers, selon son vécu interne, positif ou négatif.
Elle résulte de l’inter-action, automatique, de deux demi-piles de même espèce, identiques mais inversement fonctionnelles, comme mâle et femelle ou comme main droite et main gauche, comme blanc et noir…
Prenons une pile Wonder plate, comportant deux contacteurs métalliques.
Cette pile est, en fait, constituée de deux demi-piles, dite + pour l’une et dite – pour l’autre.
Mettons-les en contact par l’intermédiaire d’une ampoule de faible puissance. Elles fournissent, alors, de la lumière. La lumière ainsi obtenue représente notre Conscience, qui résulte de l’intervention de deux demi-piles (de deux fréquences vibratoires méta-physiques, immatérielles, l’une de type mâle – force verticale centripète, imprimante –, l’autre de type femelle – force horizontale centrifuge, exprimante –, de même espèce, qui constitue la trame méta-physique du Cosmos, de l’Esprit, ce que les scientistes nomment le « vide » cosmique, « vide » qui est, en vérité, le plein d’énergie vibratoire. Si le Cosmos était réellement vide, il aurait implosé sur lui-même, et nous n’existerions pas.
½ pile½ pile½ pile½ pile
Ici, les deux demi-piles sont connectées et inter-agissent. Elles forment une pile fonctionnelle et, conséquemment, créent de la lumière (de la Conscience) qui illumine l’Esprit.
Ici, les deux demi-piles sont déconnectées et n’inter-agissent pas. Conséquemment, elles ne créent pas de lumière (de conscience) et, donc, n’illuminent pas l’Esprit.
Les scientistes disent : « Nous sommes nés de rien ».
C’est faux. Rien ne nait de rien. Un effet a, toujours, une cause. En fait, le Cosmos, vide de tout objet physique, est plein de forces vibratoires méta-physiques, immatérielles, dont nous sommes l’expression matérialisée par suite d’un collapsus psychologique anté-Big Bang.
Force verticale
Force horizontale
L’inter-action résulte, toujours, d’une force vibratoire verticale (de type électrique, centripète) agissant sue une force vibratoire horizontale (de type magnétique, centrifuge).
Un doigt qui frappe sur un clavier de piano est une force verticale active (actionnelle) qui agit sur une force horizontale passive, ré-actionnelle, ce qui produit un effet, c’est-à-dire un son musical (une fréquence ondulatoire).
La force verticale a le premier mot, la force horizontale a le dernier mot.
La première pro-crée, la seconde crée.
Architecte et Constructeur forment un couple, un recto-verso d’une même entité.
C’est, toujours, le constructeur-bâtisseur qui concrétise le plan architectural abstrait qui lui a été confié par son partenaire intime, l’Architecte.
Le premier commande, structure, le second obéit, exécute l’ordre, inconditionnellement.
La Pensée pense. Le Cerveau obéit à la pensée, comme un téléphone qui exécute le vouloir de son utilisateur.
Bref, l’ordinateur qu’est le Sub-Conscient exécute la volonté de la personne qui tapote le clavier faisant partie de l’ordinateur en tant que partenaire intime.
Le Conscient a le Vouloir, le Sub-Conscient a le Pouvoir. L’un et l’autre ne font qu’UN.
Lorsque le premier pense rectement, le second concrétise rectement.
Par contre, lorsque le premier pense à l’envers, de travers, le second concrétise à l’envers, de travers.
Pour pouvoir obtenir une concrétisation recte (conforme à la loi cosmique de pérennité, dite vitale), le Vouloir (le Conscient) doit se mettre en phase avec son partenaire intime, le Pouvoir (le Sub-Conscient).
La force verticale et la force horizontale doivent vibrer sur la même longueur d’onde pour produire de la conscience recte, viable, pérenne (de la vie… éternelle comme le Cosmos).
Tout est une question de fréquences vibratoires rectes (viables) ou in-co-rectes (non viables).
Lorsque la fréquence vibratoire reçue par une cellule organique est recte, conforme à sa physio-biologie, à la loi vitale de symétrie cosmique, la cellule assimile la fréquence.
Lorsque la fréquence vibratoire reçue par la cellule est non recte, dissymétrique, donc dysfonctionnelle, la cellule ne peut l’assimiler. Elle se dévitalise et ses éléments vitaux floculent (caillent, comme le lait qui a tourné). C’est cette floculation qui constitue la morbidité étio-pathogène.
Une cellule peut être comparée à une galaxie constituée de diverses planètes.
À supposer que la force cosmique, centrifuge, qui les maintient distantes les unes des autres vienne à disparaitre, le Cosmos imploserait sur lui-même ; les planètes tomberaient les unes sur les autres, entrainant une floculation cosmique, la mort du Cosmos lui-même.
Dans nos cellules, il y a des micelles colloïdales en suspension astrale, maintenues distantes les unes des autres par une force vibratoire opposée à la sienne.
La disparition de cette force vibratoire centrifuge entraine la floculation micellaire, donc cellulaire, la mort, inductrice de diverses pathologies non accidentelles et de maladies dites auto-immunes par suite de l’activité de l’autolyse, processus physiologique d’épuration (incompris de la médecine allopathique) entretenu par nos fautes existentielles perpétuées (non supprimées).
La nutrimentation
Elle intervient à deux niveaux essentiels :
a) Au niveau psychologique (mental)
b) Au niveau biologique (somatique, physique).
L’Être biologique ne se nourrit pas seulement d’aliments physiques mais aussi d’aliments psychiques (c’est-à-dire de sentiments, inducteurs d’émotions bio-catalysantes, naturantes, somatisantes).
Pour l’instant, laissons de côté la qualité vitale de la nourriture dite psychique (mentale) pour ne parler que de la qualité vitale de la nourriture physique, laquelle nourriture physique, destinée à entretenir les structures organiques, physiques, n’est pas, seulement, comme on le croit généralement, un apport de glucides, de lipides, de protides, de vitamines naturelles, de sels minéraux organiques et d’eau pure, mais aussi, et surtout, un apport de radiations bio-énergisantes, vitalo-protectrices (de type bio-électro-magnétique), que nous appelons force vitale extrinsèque, laquelle force extrinsèque (exogène) est assimilée (incorporée) par la force vitale intrinsèque (autogène) d’origine sub-conscientielle s’exprimant, essentiellement, à travers le système neuro-végétatif et hormonal et les liquides humoro-cellulaires physiologiques (sang + lymphe + fluides lacunaires).
Privé de l’apport de la force vitale extrinsèque, radiante, l’animal (que nous sommes) fait une carence en force vitale générale, s’encrasse (devient morbide), fait des tentatives d’élimination de sa morbidité se manifestant par des symptômes appelés « maladies » par les médecins classiques (allopathes et homéopathes), et appelés « crises épuratives » par la vraie médecine naturopathique, qui est la vraie Médecine de Santé (ortho-psycho-biologique).
Lorsqu’on ne sait pas entretenir la force vitale en nous on finit par se dégrader et par mourir, après avoir souffert de mille maux.
N’oublions pas que la matière physique n’est que de l’immatière méta-physique collapsée, puis naturée, par simple abaissement de ses longueurs d’ondes méta-physiques (méta-lumineuses), collapsus qui s’est produit avant l’avènement du Big-Bang et qui en est la cause.
Tout organisme vivant fonctionne comme un circuit oscillant, en vibration, donc émetteur et récepteur d’ondes (de radiations).
Ces ondes peuvent être mesurées, comme nous l’avons déjà dit.
La longueur d’onde d’un aliment, cru ou cuit, peut être mesurée, de même que celle émise par d’autres substances, comme les médicaments et les vaccins, par exemple.
Pour pouvoir assimiler (trans-muter), incorporer en lui, un organisme a besoin de résonner, de vibrer, à un certain degré de fréquences spécifiques, vitales, sinon il se dévitalise, dépérit, s’encrasser, tombe malade et finit par mourir.
D’autre part, les aliments ingérés doivent vibrer au même diapason que les organes d’assimilation (et de désassimilation, d’élimination), faute de quoi ils entrainent une altération du circuit oscillant, de la vitalité générale de l’organisme.
Vibrer au même diapason c’est être en syntonisation (en accord).
Chaque espèce animale est constituée pour une alimentation spécifique (qui lui est propre) et naturelle (crue).
Pour une espèce donnée, il y a syntonisation (accord musical) entre les organes d’assimilation (et de désassimilation) et les aliments ingérés toutes les fois que ceux-ci sont spécifiques et naturels ; et il y a désaccord musical (fausses notes, donc cacophonie, entropie étio-pathogène, voire étio-mortigène) toutes les fois que les aliments ingérés sont anti-spécifiques et dénaturés (contraires à l’anatomo-physiologie digestive et émonctorielle de l’espèce en question).
En effet, selon qu’ils sont spécifiques et naturels ou anti-spécifiques et dénaturés, les aliments que nous ingérons entretiennent ou détruisent la vitalité qui nous anime et qui régit tous nos processus vitaux.
Nous sommes des macrobiotes (un conglomérat de microbes évolués), et nous fabriquons des microbiotes, c’est-à-dire des microbes.
Dans toutes nos cavités organiques, et surtout dans notre intestin, nous avons des milliards de microbes physiologiques de toutes espèces, fabriqués par notre organisme.
Ces microbes, physiologiques, sont des saprophytes éboueurs, des mangeurs de morbidité. Ils nous aident à dégrader nos déchets digestifs et nos résidus métaboliques. Ils ne sont pas pathogènes et ne sont dominés que par leur trophisme.
Mais lorsque nous consommons des aliments anti-spécifiques et dénaturés, plus des substances plus ou moins toxiques comme les overtoniens, les drogues, les médicaments, le tabac, l’alcool, les sucreries, les farineux (amidons), etc., etc., auxquelles s’ajoutent les résidus d’engrais chimiques, de pesticides, d’OGM, d’hormones de croissances, d’antibiotiques et autres antiseptiques vétérinaires, plus les additifs plus ou moins chimiques (donc plus ou moins toxiques) ajoutés aux aliments industrialisés (et aux médicaments = excipients), notre milieu intestinal devient un cloaque infect, et certains éléments de notre microbiote intestinal (et de nos autres microbiotes cavitaires), ainsi empoisonnés et, donc, dévitalisés, tombe malade, mutent, deviennent des microbes pathologiques, secrétant, alors, des toxines et des toxiques, plus ou moins virulentes, qui accroissent l’empoison-nement du milieu intestinal.
Et lorsque l’empoisonnement du milieu intestinal augmente, notamment sous l’effet des stases fécales entretenues, résultant de la dévitalisation atonique de l’intestin, les microbes pathologiques mutent, à leur tour, deviennent des virus, lesquels, à leur tour, peuvent muter, toujours sous l’effet d’un accroissement de l’empoison-nement intestinal et des stases fécales inexpulsées, d’où l’apparition de virus dits variants…
C’est ce qui se passe de nos jours avec le coronavirus qui accompagne la COVID 19, virus qui est fabriqué par nous, dans notre intestin, notamment, donc qui ne tombe pas du ciel, comme l’affirment les ignares.
Tant qu’on ne supprime pas l’empoisonnement de notre milieu intestinal, donc de nos microbiotes (intestinal et cavitaire), tant qu’on n’expulse pas nos stases fécales, qui favorisent la prolifération, en nous, des microbes dits pathogènes, on continue à entretenir les épidémies et les pandémies, la ruine de certains commerces ou entreprises, etc., etc., et la colère de ceux qui se révoltent, et ceci malgré des vaccinations successives, qui ne peuvent pas immuniser contre des microbes (bactéries et virus) fabriqués par nous-mêmes (autogènes).
À croire que les divers gouvernements, de même que les divers conseillers scientifiques officiels, ignorent ce qu’a écrit le Docteur Claude BERNARD, l’un des plus grands physiologistes de tous les temps, à savoir :
« Le microbe n’est rien ; c’est le Terrain qui est tout ».
Même Louis PASTEUR a dit au Professeur RENON qui le veillait au moment de sa mort :
« RENON, c’est Claude (Claude BERNARD) qui a raison. Le microbe n’est rien. C’est le Terrain qui est tout ».
PASTEUR a réfuté ses propres conclusions relatives au microbe comme étant la cause des maladies infectieuses. Et, cependant, le corps médical allopathique a continué à affirmer (et continue à affirmer) que c’est le microbe qui crée l’infection, alors qu’en vérité c’est le Terrain (milieu interne) infect, radio-dévitalisé, encrassé, nutrimentairement carencé, qui en est la vraie cause.
Le microbe ne fait qu’aggraver l’altération du Terrain par ses excrétions toxiques, dont la virulence est dictée par celle du milieu interne dans lequel il prolifère.
Le microbe n’est qu’un facteur favorisant.
Le Terrain est, précisément, la radio-vitalité générale, s’exprimant essentiellement à travers le système neuro-végétatif et hormonal, comme déjà dit.
C’est l’abaissement anormal de cette radiation générale qui favorise l’insuffisance fonctionnelle de tous les organes (foie, vésicule biliaire, intestin, rein, poumon, peau, etc.), le ralentissement des éliminations et, conséquemment, les stases digestives, fécales, humoro-cellulaires, étio-morbido-pathogènes.
En luttant contre le microbe saprophyte éboueur (nettoyeur), on se trompe de cible. On s’attaque à l’effet non à la cause de nos maladies non accidentelles, de nos infections, de nos épidémies, de nos pandémies, causées par nos fautes existentielles dues à notre obscurantisme, en fait à notre bêtise (qui est incommensurable, comme l’a si bien dit le grand savant Albert EINSTEIN).
Entretien de la vie biologique par le penser à l’endroit, par le manger-boire à l’endroit, par le vivre à l’endroit.
Le fait que l’aiguille aimantée d’une boussole dérive lorsqu’on déplace la boussole prouve que nous baignons dans un océan d’ondes.
Pour pouvoir mesurer les ondes extra-courtes, il faut un appareil spécial, un vitalimètre.
Le vitalimètre ne mesure pas, à proprement parler, le champ radiant intrinsèque d’un Être pensant, champ qui est méta-physique (au-delà de ce qui est physique), mais l’effet vibratoire qu’il produit physiquement (organiquement).
C’est, donc, en mesurant cet effet physique que l’on peut connaitre son degré d’intensité. En effet, une faible intensité produit un faible effet, tandis qu’une forte intensité produit un fort effet.
Le degré de vitalité d’un Être biologique vivant dépend de la qualité vitale :
– de son attitude mentale, habituelle ;
– des substances qu’il introduit en lui, habituellement ;
– de son hygiène de vie, habituelle.
Lorsqu’il pense à l’endroit (positivement), qu’il mange et boit à l’endroit (ortho-biologiquement), qu’il vit à l’endroit (hygiéniquement), il a un fort degré de vitalité, donc une bonne santé.
Dans le cas contraire, il a un faible degré de vitalité, donc une mauvaise santé.
Et ce faible degré de vitalité, traduit par l’émission d’une mauvaise radiation corporelle, est mesurable, tout comme est mesurable le fort degré de vitalité, traduit par l’émission d’une bonne radiation corporelle.
Non seulement elle est mesurable mais elle permet également de dépister la maladie en cours de formation plusieurs mois avant l’apparition des premiers symptômes.
En d’autres termes, la mesure de la vitalité permet de connaitre la gamme des degrés de vitalité d’un corps ; et, chez l’Être humain, son degré de vitalité depuis la parfaite santé jusqu’à la maladie grave, comme le dit si bien André SIMONETON.
Du fait que le plus petit est identique au plus grand comme l’enseignent les fractales, du fait que les microbes physiologiques de nos microbiotes (intestinal et des autres cavités organiques) sont fabriqués par nous et ont, de ce fait, la même longueur d’onde que nous, il est logique de penser qu’un affaiblissement de notre vitalité générale par suite de nos fautes existentielles, inductrices de nos diverses intoxications (pollutions), entraine, conséquemment, un affaiblissement de nos microbiotes cavitaires et plus particulièrement de notre microbiote intestinal.
Or, comme déjà souligné, il s’avère qu’un affaiblissement de la vitalité générale entraine un ralentissement des fonctions d’assimilation et d’élimination et, conséquemment, des carences nutrimentaires, de même qu’une stagnation des matières fécales et des résidus métaboliques, bref un encrassement humoro-cellulaire, c’est-à-dire une morbidité générale étio-pathogène, pouvant se manifester, symptomatiquement, par une réaction psychorganique générale ou locale.
Du fait que nos microbes physiologiques, saprophytes, éboueurs, sont autogènes (fabriqués par nous) et non exogènes (venant de l’extérieur de nous, selon la croyance de PASTEUR et de ceux qui ont épousé ses idées), ils ont en eux la même morbidité, ce qui les rend pathologiques, toxicogènes, toxinogènes.
Autrement dit, quand nous faisons une crise (des réactions) d’épuration humoro-cellulaire, appelée « maladie » par les médecins allopathes, les éléments de nos microbiotes cavitaires (donc de notre microbiote intestinal) font de même.
Quand nous faisons une crise d’épuration nous expulsons hors de nous quantité de substances plus ou moins toxiques, et nos microbiotes auto-générés font de même : ils sécrètent des poisons, qui augmentent la quantité de ceux que nous éliminons.
Leur forme (fréquence vibratoire) est dictée par la nature (fréquence vibratoire) des poisons que nous éliminons, du fait que ce sont des mangeurs de morbidité (éboueurs), uniquement dominés par leur trophisme.
C’est la nature (fréquence vibratoire) de la crasse (morbidité) qui fait la nature (fréquence vibratoire) du microbe qui accompagne la « maladie » diagnostiquée.
Exemple :
• Le méningocoque accompagne la morbidité des méninges,
• Le pneumocoque accompagne la morbidité des poumons,
• L’entérocoque accompagne la morbidité des intestins, etc., etc.
Ce ne sont pas eux qui créent les morbidités infectieuses en question, mais les diverses morbidités qui induisent leur création par notre organisme, comme c’est le marécage qui induit la création des moustiques (et non l’inverse).
Affirmer que ce sont les microbes (bactéries ou virus) qui sont la cause des maladies infectieuses et des pandémies c’est affirmer que c’est le fils qui fait le père.
C’est raisonner à l’envers, par ignorance.
En vérité, c’est le Terrain infect qui fait l’infection.
C’est dire que pour éliminer une infection il faut supprimer l’infection du Terrain, sa morbidité étio-pathogène.
Lutter contre le microbe, pris pour la cause, c’est agir sur l’effet, tout en laissant, en place, sa cause profonde, psychorganique, qu’on l’admette ou pas.
* *
*
La radio-vitalité, qui fait l’immunité primitive (inconnue de la médecine allopathique, médicamenteuse), comprend les radiations comprise entre les infra-rouges (I.R.) et les ultra-violets (U.V.).
On la mesure à l’aide d’un vitalimètre basé sur l’échelle établie par le physicien BOVIS.
Avec cet appareil extraordinaire, André SIMONETON, ingénieur électricien, a mesuré pratiquement tout.
La mesure de la radio-vitalité mesure le degré d’énergie qu’émet un corps.
La radio-vitalité d’un aliment vivant (cru et frais) ingéré aide à recharger, en énergie dite vitale, notre système neuro-végétatif et hormonal et, conséquemment, nos cellules, de même que nos microbiotes (éboueurs) et nos enzymes d’assimilation et de désassimilation.
L’énergie dite vitale d’un aliment spécifique et naturel (cru), agro-biologique, de préférence, est transmuée en énergie spécifique (propre à notre corps physique) par l’énergie vitale intrinsèque, méta-physique, méta-lumi-neuse, de notre organisme, énergie d’origine sub-conscientielle, s’exprimant essentiellement à travers notre système neuro-végétatif et hormonal.
Toute transmutation libère de l’énergie ionisante.
Le vitalimètre
Cet appareil a été inventé par un pharmacien, qui n’a pas voulu donner son nom pour ne pas avoir de graves problèmes avec l’Ordre des Pharmaciens, d’une part, et l’Ordre des Médecins, d’autre part, Ordres farouchement opposés à tout ce qui va dans le sens d’une méthode naturelle de Santé.
Grosso-modo, le vitalimètre est composé d’éléments électroniques, surmontés d’un pendule servant, en quelque sorte, d’antenne vibratoire.
Le pendule, constitué d’un fil de cuivre très fin, comporte, à une extrémité, une boule en cuivre de 10 grammes, environ, tandis que l’extrémité libre est enroulée fortement à une branche d’arbre vivant (vibrant), dont l’énergie vibratoire sert d’antenne biologique.
Pendule
Vitalimètre
Retenez que c’est la vibration de l’énergie vitale de l’arbre qui sert d’antenne et qui communique la vibration vitale au pendule, et non pas la main d’un « radiesthésiste », qui pourrait influencer le pendule, ce qui prêterait le flanc à tout détracteur.
L’arbre est neutre, alors que le praticien-radiesthésiste ne l’est pas.
On donne au pendule un simple mouvement de va et vient, puis on le laisse osciller à sa guise. Au bout de quelques secondes, il se met à tourner en rond (à faire un cercle) sous l’effet d’un champ radiant, de type bio-électro-magnétique, émis par le sang « témoin » (champs à mesurer).
Le champ radiant (de type électro-magnétique), émis par notre organisme, ressemble à une aura.
La présence de ce champ est indiscutable, sinon on ne pourrait pas obtenir un tracé électro-encéphalographique. On ne pourrait pas, non plus, ni voir, ni entendre, ni sentir quoi que ce soit…
Le Vitalimètre, que chaque naturopathe compétent (hygiéniste ou médecin) devrait posséder, fonctionne comme une balance à 2 plateaux, l’un qui reçoit, sur plaque de verre, le sang (ou la chose) à mesurer, l’autre qui reçoit le témoin étalon.
Chacun de ces plateaux est constitué d’une électrode incluse dans le bois de cet appareil, bois qui est sec, donc inerte, neutre.
La mesure, en angströms (unité de longueur d’onde), est obtenue à l’aide d’un pendule mis en mouvement par le champ radiant (dit magnétique), de la chose à mesurer, et sa lecture s’affiche sur un écran, dont le galvanomètre (gradué en Å) indique la longueur d’onde recherchée.
À l’aide du vitalimètre, il est possible de mesurer le degré de vitalité d’un Être vivant (animaux, végétaux, humains) et même celui d’une substance quelconque (aliments, tabac, alcool, sucreries, chocolats, eaux minérales, infusions ou décoctions, drogues, médicaments, H.E. (huiles essentielles), vitamines et minéraux pharmaceutiques de synthèses, urines, eau du robinet, etc.).
En présence d’un champ bio-électro-magnétique, le pendule du vitalimètre oscille et tourne comme un manège, en faisant un cercle, dont le diamètre est déterminé par l’intensité de ce champ radiant, qui est centrifuge et qui peut être évalué par la formule de mécanique indiquée par SIMONETON, à savoir :
F= en dynes
M = masse de 10 grammes (poids de la boule du pendule).
V = vitesse linéaire tangentielle (de la boule du pendule).
R = rayon (du cercle effectué par la boule du pendule).
Sous l’effet du champ radiant (qui est une force de type électro-magnétique), la boule du pendule peut effectuer 400 à 500 tours par minute, et son rayon d’action peut atteindre 80 millimètres (8 cm).
En connaissant cette force, on peut, alors, connaitre l’intensité du champ radiant entrainant la boule du pendule traduite par la formule suivante :
B = qui donne une force agissant sur une masse magnétique ampérienne
Les mesures maximums obtenues sont :
– 500 tours/minute
– 80 m/m de rayon.
A. SIMONETON affirme ce qui suit (et que j’ai personnellement vérifié avec un vitalimètre que je possède) :
• Un aliment qui émet un champ radiant de 8.000 à 10.000 Å communique à la boule du pendule une force de 400 à 500 tours par minute et un rayon de 80 m/m,
• Un aliment qui émet un champ radiant de 6.000 à 8.000 Å communique à la boule du pendule une force de 300 à 400 tours par minute et un rayon de 60 m/m,
• Un aliment qui émet un champ radiant de 4.000 à 5.000 Å communique à la boule du pendule une force de 200 à 300 tours par minute et un rayon de 40 mm.
• Un aliment qui émet un champ radiant de 3.000 à 4.000 Å communique à la boule du pendule une force d’environ 100 tours par minute et un rayon de 300m/m.
• Un aliment qui émet un champ radiant au-dessous de 2.000 Å ne communique pas à la boule du pendule une force de rotation.
Tout aliment cuit, pasteurisé, stérilisé, upérisé, irradié, émet un champ radiant au-dessous de 2.000 Å, ce qui veut dire qu’il est dénaturé, mort (radio-dévitalisé).
Dès lors, comment, et par quel miracle, un aliment mort (radio-dévitalisé) peut-il entretenir la vitalité, donc la santé (naturelle), d’un Être vivant ?
La viande fraiche, issue d’un animal sain que l’on vient d’abattre, émet un champ radiant de 7.000 à 8.000 Å.
Mais lorsqu’elle entre progressivement en décomposition et qu’elle atteint 4.800 Å, environ, la mouche verte vient y pondre ses œufs blancs.
Or, la mesure d’un sang d’une personne cancéreuse émet un champ radiant de 4 .800 Å, environ, ce qui devrait faire réfléchir non seulement les cancéreux mais aussi les médecins qui les traitent avec des substances chimiques, radio-dévitalisantes.
A. SIMONETON donne l’exemple d’un champ radiant émis par une tomate avant maturité et à maturité :
• Avant maturité = 6.000 Å
• À pleine maturité = 9.000 Å
• Après maturité, son champ radiant (de type bio-électro-magnétique) diminue progressivement en entrainant son pourrissement (décomposition) au bout de 30 jours, environ.
De nos jours, on calcule la valeur d’un aliment au degré de calories qu’il émet lorsqu’on le fait brûler au calorimètre.
La théorie de la calorie n’est pas du tout scientifique, parce qu’un Être vivant en santé naturelle émet un champ radiant, de type bio-électro-magnétique, de 6.500 Å à 10.000, voire à 12.000 Å (et, même, plus), Être vivant qui a impérieusement besoin, pour entretenir son propre champ radiant, d’aliments hautement radio-vitalisés, donc vitalo-protecteurs.
L’Être vivant intelligent mange uniquement pour se vitaliser, et trouve son plaisir dans le fait d’être en santé naturelle. L’Être stupide mange pour le plaisir de manger (n’importe quoi) et croit trouver sa santé (naturelle) dans la consommation de médicaments, qui sont, tous, plus ou moins iatrogènes.
L’aliment vivant (vibrant), donc 100 % naturel, est fait pour nutrir rectement, à condition qu’il soit, en même temps, 100% spécifique, c’est-à-dire adapté à l’anatomo-physiologie digestive (et émonctorielle) de l’espèce qui l’ingère, faute de quoi il devient une substance morbido-pathogène.
Grâce à l’invention du vitalimètre et aux travaux scientifiques, inédits, d’André SIMONETON, il est possible, de nos jours, de mesurer scientifiquement le degré de vitalité d’un Être vivant et le caractère vitalo-protecteur d’un aliment.
Retenons qu’un aliment plus ou moins vivant (vibrant) fait, toujours, tourner en rond, plus ou moins fortement, la boule du pendule, mais qu’un aliment mort ne la fait pas tourner du tout.
Ce fait est reproductible à volonté, et on obtient, toujours, les mêmes mesures, avec le même vitalimètre et les mêmes corps à mesurer.
Or, ce qui est reproductible à volonté est scientifique. C’est indiscutable !
Retenons, aussi, que le pendule doit, toujours, être tenu par un Être vivant, servant d’antenne, que ce soit la main d’un opérateur vivant ou une branche d’arbre vivant en terre, donc récepteur et émetteur d’ondes.
Personnellement, nous avons, toujours, fixé le fil du pendule à une branche d’arbre vivant en terre, ce qui évite toute contestation. C’est un phénomène de résonnance (amplificateur de vibration) qui s’établit entre une source d’ondes et un récepteur d’ondes.
Je le re-dis, la mesure, en Å, est, toujours, obtenue en se basant sur l’échelle de BOVIS.
Peut-on mesurer en Å la longueur d’onde du sang d’un Être vivant
(humain ou animal) ?
Oui, évidemment !
Les liquides humoraux physiologiques d’un Être biologique, vivant, sont constitués essentiellement de sang et de lymphe. Ils sont électriques par le sang et magnétique par la lymphe, donc bio-électro-magnétiques, donc ionisés, et leur circulation, dans l’organisme, assure la diffusion rythmée des ions.
Il n’y a pas de déplacement d’ions sans un courant de type électro-magnétique.
En fait, le système est, à la fois, électro-chimique et magnéto-mécanique, à l’instar du Penser holistique qui anime le corps physique (matériel).
Le sang rouge, force verticale de type électrique, centripète.
Le sang blanc (la lymphe), force horizontale de type magnétique, centrifuge.
A = Action, R = Ré-action
Le sang agit sur la lymphe, laquelle réagit sur le sang.
Sang et lymphe sont 2 demi-piles identiques mais fonctionnellement inverses, à l’exemple des « piles » d’une torche électrique ou d’un magnétophone (d’un lecteur de cassettes).
Et c’est l’inter-action de ces 2 demi-piles, constituant, dès lors, 1 pile, qui induit un champ à la fois électrique et magnétique, donc électro-magnétique.
½ pile½ pile
Toutes nos cellules ne sont que du sang et de la lymphe naturés, autant dire des fréquences vibratoires aqueuses naturées au second degré.
Tout ce qui entretient ou restaure rectement notre champ radiant bio-électro-magnétique est physiologique, et tout ce qui l’altère est anti-physio-biologique.
C’est ce champ radiant qui est la somme de notre vie biologique, donc de notre vitalité, donc de notre santé (naturelle).
Et c’est ce même champ radiant qui constitue notre immunité primitive, dont dépend notre immunité secondaire, d’ultime secours (comme la roue de secours d’une automobile) produisant des anticorps antigéniques.
C’est le fort degré de l’immunité primitive (traduction d’une forte vitalité) qui fait les porteurs sains de microbes, a-symptomatiques, et c’est son faible degré (traduction d’une faible vitalité) qui fait les porteurs mal-sains de microbes (et autres virus, variants ou pas).
C’est ce que n’arrivent pas à comprendre les médecins allopathes, formatés à l’envers par les fausses croyances de Louis PASTEUR, et les Gouvernements conseillés à l’envers par ceux-ci, les seuls auxquels ils font appel.
Un porteur sain, donc fortement vitalisé, a un Terrain réfractaire à la pénétration d’un microbe externe (exogène). Conséquemment, il est a-symptomatique.
N’étant pas contagieux, au sens pasteurien, il n’y a, donc, pas lieu de l’isoler en quarantaine, alors qu’un porteur mal-sain, donc faiblement vitalisé, a un Terrain propice à la pénétration d’un microbe externe (exogène). Conséquemment, il est symptomatique (« malade »). Étant contagieux, au sens pasteurien, il y a, donc, lieu de l’isoler en quarantaine.
Toutefois, la forte vitalité ne dépend pas uniquement de la forte vitalité des aliments que nous ingérons mais aussi de l’hygiène mentale, existentielle et environnementale que nous pratiquons.
L’Être biologique est un sujet par son mental et un objet par son corps physique.
Or, les éléments qu’il ingère, qu’il incorpore en lui, ne s’adressent qu’à son corps physique, dont les effets, assurément, se répercutent dans son mental, par voie de conséquence.
Mais l’inverse est également vrai. Du fait qu’il somatise tous ses sentiments, vécus, en lui, consciemment ou in-consciemment, ceux-ci influent sur sa digestion, sur ses assimilations, sur ses éliminations, donc sur son degré de vitalité, donc sur son degré d’immunité primitive, donc sur son degré d’immunité secondaire.
Mais dans tous les cas, c’est une question de fréquences vibratoires, donc d’ondes.
Une personne qui, habituellement, est mentalement positive, aura une vitalité, donc une immunité primitive (et, donc, secondaire) plus forte qu’une personne qui, habituellement, est mentalement négative qui, de ce fait, digère, assimile et élimine mal ses déchets digestifs et ses résidus métaboliques, même malgré une alimentation vivante (vibrante), correcte (ortho-biologique), à plus forte raison, lorsqu’elle consomme, en plus, des aliments anti-spécifiques et dénaturés, des overtoniens, de l’alcool, des boissons alcoolisées ou sucrées, des sucreries, des farineux, des drogues, du tabac, des médicaments, etc., et si, en plus, elle est sédentaire, vit seule (à se morfondre), ou a une profession épuisante (ou qui lui déplait), des conflits sociaux-professionnels et/ou familiaux ou conjugaux, etc., etc.
Tout Être humain mentalement positif, par habitude, qui est en santé naturelle, qui mange spécifiquement, tout cru, qui a une bonne hygiène de vie (culture physique de santé, transpirante, sur-oxygénante, sommeil profond et suffisant, etc.), émet des ondes aux alentours de 7.000 à 10.000 Å.
Mais ce degré peut chuter au-dessous de 6.500 Å, voire aux alentours de 6.200 Å et même beaucoup plus bas, à cause de ses mauvais sentiments habituels, de sa mauvaise hygiène de vie habituelle et, aussi, à cause de la toxicité plus ou moins importante des divers polluants qu’il incorpore, en lui, habituellement, volontairement ou involontairement, par l’air qu’il respire, par l’eau qu’il boit, par son alimentation plus ou moins saturée de résidus d’engrais et de pesticides chimiques, par des additifs alimentaires d’origine industrielle, par des médicaments, par l’alcool et autres fausses boissons, par des overtoniens, etc.
Ce sont tous ces polluants (poisons) qui altèrent certains éléments de notre microbiote intestinal et, conséquemment, ceux de nos autres cavités organiques, qui vibrent au même diapason, en ne faisant qu’UN.
Et ce sont ces éléments altérés qui mutent, par suite de leur dégénérescence, devenant, ainsi, des bactéries pathogènes, voire des virus, lesquels, à leur tour, peuvent muter lorsque le milieu intestinal continue à être sur-empoisonné par ajout de polluants (de médicaments, notamment).
Lorsque, en parlant, nous projetons dans l’air des virus, dits contaminants pour autrui, ceux-ci ne tombent pas sur nous venant du ciel, comme la pluie ou la neige, mais de nos microbiotes cavitaires (nez, gorge, bronches, intestin, etc.).
Lutter contre ces virus c’est lutter contre des effets, tout en laissant en place la cause profonde qui a induit leur naissance, c’est-à-dire les poisons intestinaux qui ont altéré le microbiote intestinal fabriqué par nos propres cellules en vue de dégrader nos déchets digestifs et métaboliques pour pouvoir mieux les éliminer hors de nous.
Sans ces flores microbiennes cavitaires, intestinales, notamment, on ne pourrait pas éliminer nos déchets, et on périrait sous le poids de leur toxicité.
À l’origine nos microbiotes intestinaux (et de nos autres cavités organiques) sont des saprophytes – éboueurs, physiologiques.
Ils ne deviennent pathologiques (malades et, donc, mutants) que parce qu’ils dégénèrent sous l’effet d’un milieu intestinal infect. Ce qui veut dire que c’est le milieu infect qui fait l’infection, non le microbe dégénéré, lequel ne fait qu’aggraver le mauvais état du Terrain par la virulence de ses toxines et de ses toxiques, virulence dictée par la virulence du milieu intérieur.
Ceci pour dire que nos épidémies et nos pandémies sont également la conséquence d’un milieu environnemental infect, sur-pollué, et qu’elles ne peuvent être éradiquées que par suite d’une dépollution du milieu environnemental, du milieu intestinal et de l’attitude mentale de chaque individu.
Le milieu environnemental (externe) et le milieu intestinal (interne) ne font qu’un seul et même milieu.
Mais allez donc le faire comprendre aux personnes mentalement sclérosées par les fausses croyances du chimiste Louis PASTEUR, uniquement obnubilées par le microbe exogène (externe à l’organisme), ignorant ce qu’a dit le Dr Claude BERNARD : « Le microbe n’est rien. C’est le Terrain qui est tout ».
Or, le Terrain est, précisément, l’immunité primitive, la radio-vitalité (le champ radiant, de type bio-électromagnétique), qui est mesurable, en Å, comme nous l’avons déjà dit.
La longueur d’onde minimum de la vitalité humaine se situe à 6.500 Å, qui est la radiation de la couleur rouge du spectre solaire.
Au-dessus de 6.500 Å, on est dans la santé (naturelle).
Au-dessous de 6.500 Å, on est dans la « maladie ».
Vitalité
Vers la maladie <>Vers la santé
0,1 Å6500 Å 8.000 Å
Ainsi, donc, il y a des degrés de vitalité, pouvant aller jusqu’à 8.000 Å et même plus, et des degrés de sous-vitalité pouvant aller de 6.500 à 0,1 Å.
Comme l’a montré le biologiste Georges LAKHOVSKY, nos cellules sont des circuits oscillants, qui vibrent sous l’effet de diverses radiations émises par :
– Les ondes telluriques,
– Les ondes lumineuses,
– Les ondes alimentaires…
Parmi ces radiations, il y en a de très bonnes, de bonnes, de mauvaises et de très mauvaises.
Rappelons que la longueur d’onde de la lumière est comprise entre 7.500 Å et 3.250 Å.
• Les très bonnes radiations sont celles qui vibrent dans l’infra-rouge et le rouge.
• Les moins bonnes sont celles qui vibrent entre le rouge (IR) et l’ultra-violet (UV).
• Les très mauvaises sont celles qui vibrent au-delà de l’UV.
Pour conserver une radiation de santé, au-dessus de 6.500 Å, la force vitale intrinsèque, innée, d’origine sub-conscientielle, s’exprimant, essentiellement, à travers le système végétatif et hormonal, doit faire, constamment, des efforts homéostasiques, qui l’usent et dont la dépense nécessite une recharge constante, tirée, d’une part, de l’Esprit (force cosmique méta-physique), lors du sommeil profond et suffisant, lors d’une respiration recte et profonde, rhinencéphalique, tirée, également, d’autre part, d’une alimentation recte (ortho-biologique, c’est-à-dire 100 % spécifique et naturelle) appliquée sur la base d’une attitude mentale positive, compte tenu que nous somatisons tous nos sentiments, les mauvais encore plus facilement que les bons.
Une mauvaise radiation n’est morbido-pathogène que lorsqu’elle a une forte énergie. C’est ainsi qu’une émotion paroxystique (négative ou positive) peut induire une crise cardiaque mortelle, une mort subite.
Une bonne radiation, comme celle des infra-rouges (I.R.), n’est dangereuse que lorsqu’elle a une très grande énergie et qu’on la subit durant trop longtemps.
L’organisme humain est en résonnance avec les couleurs du spectre solaire. Or, les couleurs sont des radiations ou causées par des radiations.
Voici, selon A. SIMONETON, les longueurs d’onde de ces rayons visibles du spectre solaire décomposé en diverses couleurs en les faisant passer à travers un prisme spécial :
– de 3.900 à 4.300 Å = violet
– de 4.300 à 4.500 Å = indigo
– de 4.500 à 5.200 Å = bleu
– de 5.200 à 5.800 Å = vert
– de 5.800 à 5.900 Å = jaune
– de 5.900 à 6.200 Å = orange
– de 6.200 à 7.800 Å = rouge
Si l’on nourrit des pigeons uniquement avec des grains de blé dévitalisés par la radiation d’un four à micro-ondes, ils font une maladie cérébelleuse et meurent en moins de deux mois, alors que s’ils se nourrissent de grains de blé naturels, vivants (vibrants), ils vivent normalement.
Cela prouve que nous entretenons la force vitale extrinsèque de notre hologramme, le corps physique, grâce à des forces vitales extrinsèques, non caloriques, fournies, à notre organisme matériel, par des radiations qui n’altèrent pas le degré de la force vitale intrinsèque, innée, de l’organisme, force vitale intrinsèque bio-catalysante qui assimile (intègre) et désassimile (élimine) les forces vitales extrinsèques en question.
La force vitale intrinsèque s’use à digérer des faux aliments et des fausses boissons.
Est un faux aliment toute substance, dite alimentaire, nécessitant le trucage de la cuisson pour pouvoir être consommée, à l’exemple des céréales, des tubercules, des légumineuses et autres substances riches en amidon.
Et cette même force vitale intrinsèque s’use, également, à éliminer tous les poisons résultant de la consommation de ces faux aliments (ou des fausses boissons).
Les forces vitales extrinsèques, qui n’altèrent pas la force vitale intrinsèque, donc qui ne sont pas morbido-pathogènes, sont dites vitalo-protectrices.
La calorie dite d’origine alimentaire est un effet de l’interaction métabolique de ces deux forces (extrinsèque et intrinsèque).
En fait, c’est l’organisme qui est calorigène.
Les scientistes et autres diéto-nutritionnistes de même orientation scolastique ont, donc, tort de calculer la valeur de nos aliments selon la théorie (pseudo-scientifique) des calories.
Un culturiste de haut niveau peut très bien vivre en consommant, chaque jour, 4.000 calories fournies par les aliments spécifiques et naturels (crus) indiqués dans le tableau ci-après, alors qu’il meurt en ne consommant, chaque jour, que du sucre blanc à raison d’1 kilogramme, soit 4.000 calories.
Aliments
Poids
Calories
Poire fraîche crue
100 g
62
Pomme fraîche crue
100 g
58
Raisins frais cru
100 g
77
Banane fraîche crue
100 g
95
Cerises
100 g
70
Figue fraîche crue
100 g
75
Kiwi frais cru
100 g
82
Mangue fraîche crue
100 g
61
Nèfle fraîche crue
100 g
98
Avocat frais cru
100 g
170
Abricot sec cru
100 g
277
Datte fraîche crue
100 g
310
Figue sèche crue
100 g
275
Pruneau sec cru
100 g
293
Raisin sec cru
100 g
298
Noisette sèche crue
50 g
330
Noix sèche crue
50 g
339
Viande de bœuf crue mi- grasse
100 g
252
Jambon cru
100 g
335
Saumon fumé cru
100 g
176
Huître crue
100 g
66
Fromage sec de chèvre au lait cru
50 g
170
TOTAL
4 000
Autre exemple (basé sur l’hérésie de la calorie alimentaire) :
Si on nourrit un sacré gaillard uniquement avec de la viande de bœuf bien cuite, à raison de 1.500 g par jour, soit 3.780 calories, additionnée d’une ration de vin valant 220 calories, soit, 4.000 calories, au total, il meurt en moins de trois mois d’une rupture d’anévrisme généralisé et dans d’horribles souffrances.
C’est comme cela que les condamnés à mort étaient exécutés, autrefois, au Mexique.
Seuls les aliments spécifiques, d’une part, et naturels (crus), d’autre part, peuvent entretenir la vie, qui est fréquences vibratoires, radiations vitales.
Ce sont les seuls à pouvoir entretenir la radio-vitalité d’un organisme biologique, les seuls à pouvoir être assimilés et désassimilés (éliminés) correctement par la force vitale intrinsèque, innée, d’origine sub-conscientielle, s’exprimant, en l’Être vivant, essentiellement à travers son système neuro-végétatif et hormonal et ses liquides humoraux physiologiques (sang + lymphe + fluides lacunaires).
Et la force vitale intrinsèque, bio-catalysante, assimilatrice et désassimilatrice, s’entretient par le penser recte (à l’endroit, par le penser positif, symétrique, conformément à la loi vitale de symétrie (cosmique).
Sans cette force intrinsèque nous ne pouvons rien digérer, assimiler, éliminer, c’est-à-dire vivre tout simplement.
Pour pouvoir applaudir, il faut deux mains œuvrant en phase.
En l’Être biologique (que nous sommes), il faut, aussi, deux forces œuvrant en phase, une force vitale d’origine externe (dite extrinsèque), à assimiler, et une force vitale d’origine interne (dite intrinsèque), assimilatrice.
Voilà pourquoi la santé naturelle ne peut être que psycho-biologique (psychorganique) et non pas seulement organique.
Axer tout sur l’alimentation matérielle (biologique) en oubliant l’alimentation immatérielle (psychologique) est une hérésie encore plus importante que la notion d’hétéro-guérison (d’une « guérison » produite par des éléments matériels, externes à nous).
L’aliment doit être nutrimentaire. Cela veut dire qu’il doit nutrir, c’est-à-dire donner au corps physique, élément inerte par lui-même, les matériaux lui permettant d’être restauré, réparé, voire régénéré par la force vitale intrinsèque, immatérielle, catalysante, issue de l’Esprit (cosmique), qui est immatériel, méta-physique, méta-lumineux, radiant, puissance absolue, matérialisée, en nous, par notre Sub-Conscient ré-actionnel, concrétiseur, s’exprimant à travers notre système neuro-végétatif et hormonal et à travers nos liquides humoraux physiologiques, comme dit précédemment.
Les nutriments constituant un aliment nutrimentaire sont un tout indissociable composé d’eau vitale (vibrante), d’enzymes, de protides, de glucides, de lipides, de radiations vitaminiques et minérales, naturelles, notamment.
Tous ces nutriments vibrent selon leurs propres fréquences, au sein d’un ensemble harmonique, comme les senteurs parfumées d’un bouquet constitué de diverses fleurs ou comme les notes d’une partition musicale, jouées co-rectement pour produire des sons s’harmonisant symphoniquement.
En s’harmonisant, ces fréquences vibratoires constituent une sorte de solénoïde intra-cellulaire, à l’exemple d’un fil métallique enroulé en hélice (comme notre ADN) dans lequel fil parcourt un courant de type électrique d’origine conscientielle produisant un champ magnétique (radiant) revers, ce qui met en place un circuit oscillant électrique et magnétique, donc (bio)- électro-magnétique.
Et c’est la mesure de ce champ radiant, au vitalimètre, qui indique le degré de vitalité d’un aliment (ou de l’organisme par suite d’une petite prise de sang effectuée au bout d’un doigt, piqué avec une fine aiguille stérilisée).
Rappelons qu’un aliment cru et frais est vivant, vibrant, donc doté d’un Conscient et d’un Sub-Conscient. Rappelons, aussi, que le Conscient est de type électrique et que le Sub-Conscient est de type magnétique. Le Conscient fabrique du magnétique parce qu’il a, déjà, en lui, un peu de magnétique, et que le magnétique produit de l’électrique parce qu’il y a, déjà, en lui, un peu d’électrique.
Ce mécanisme est symbolisé par les croquis ci-après :
L’électrique dans le magnétique
Le magnétique dans l’électrique
Le Sub-Conscient
Le Conscient
Le Penser holistique
C
S-C
Force verticaleForce horizontale
Électriquemagnétique
Pour nutrir correctement un organisme vivant, l’aliment doit être, à la fois, spécifique et naturel (cru).
• Spécifique : propre à l’anatomo-physiologie digestive et émonctorielle de l’espèce qui l’ingère,
• Naturel : propre à transmettre entièrement la force vitale extrinsèque qu’il transporte, donc cru.
Dans un aliment nutrimentaire, qui nutrit, il y a deux types d’électrons constituant ses atomes :
– des électrons nucléaires (chargés positivement),
– des électrons satellites (chargés négativement).
EN chargéES chargé
positivementnégativement
Les électrons nucléaires (EN) sont dits positifs, et les électrons satellites (ES), qui gravitent autour d’eux, sont dits négatifs.
Voici, simplifié, un atome à 3 EN et à 3 ES, par exemple.
Un atome constitué de 3 EN (au centre) et
de 3 ES (à la périphérie).
Ces électrons sont, en fait, des demi-piles, identiques mais inversement fonctionnelles, comme main droite et main gauche ou comme mâle et femelle.
Demi-pile
Demi-pile
Demi-piles identiques mais inversement fonctionnelles
L’inter-action de ce dispositif constitue une pile atomique fonctionnelle de type électrique et magnétique, donc électro-magnétique, produisant l’énergie vitale, la Vie (la Conscience).
Après son ingestion, un aliment vivant, donc nutrimentaire, livre ses charges (positives et négatives). Ce sont ces charges qui sont nutritives.
Ce qui veut dire que tout Être biologique vivant se nutrit de charges radiantes, électriques et magnétiques.
C’est un radio-vitalo-phage.
Si on le prive de ces charges radiantes, dites vitalo-protectrices, il se dévitalise, dépérit, s’encrasse, tombe malade et finit par mourir.
C’est ce qui arrive aux personnes qui font un jeûne de longue durée, anti-physiologique, donc anti-biologique, bref qui vont jusqu’à l’inanition.
Un aliment vivant, nutrimentaire, avons-nous dit, est constitué d’atomes.
Quand on consomme cet aliment, on ne se nourrit pas de ses atomes mais seulement des charges électro-magnétiques (forces extrinsèques) qu’ils apportent à notre corps physique et qui sont transmuées en énergie biologique et en tissus spécifiques par la force vitale intrinsèque, innée, bio-catalysante, qui nous anime, dispensée par notre Sub-Conscient ré-actionnel, concrétiseur, l’intelligence absolue en nous, restauratrice, régénérante et homéostasique, donc (auto)-guérisseuse.
Pour bien comprendre ce phénomène radiant, prenons un exemple, celui des vitamines naturelles et des sels minéraux organiques, apportés par un aliment nutrimentaire (vivant, vibrant), donc spécifique et naturel (cru).
Dans un aliment nutrimentaire, il y a deux types de vitamines et deux types de sels minéraux :
a)• Des vitamines sous forme de radiations A, B, C, D, E, etc., invisibles par l’œil humain.
• Des vitamines sous forme de corps solides, visibles, au microscope et que l’on peut, éventuellement, isoler, extraire.
b) • Des minéraux sous forme de radiations Ca, Mg, Na, K, etc., invisibles pour l’œil humain,
• Des minéraux sous forme de corps solides, visibles au microscope et que l’on peut, éventuellement, isoler, extraire.
Ces corps visibles résultent d’un collapse progressif des radiations vitaminiques et minérales qui se produit dans un végétal vivant, par exemple, dès qu’on l’arrache de son sol nourricier. Pour vivre le plus longtemps possible, il consomme ses propres radiations (internes), lesquelles finissent par se collapser et donner, ainsi, de la matière dite inerte. De naturant (dynamisant) ils deviennent naturés (adynamisant).
Ce qui veut dire que les vitamines et les minéraux extraits des aliments vivants, par des procédés industriels, sont biologiquement très peu actifs, pour ne pas dire inactifs.
Une carotte, par exemple, qui pousse dans un jardin est vivante (vibrante), dotée d’un bon champ radiant.
Si on l’arrache et qu’on la replante deux mètres plus loin par exemple, toujours dans sa terre fertile, elle continue à pousser avec un peu d’eau d’arrosage.
Mais si on l’arrache et qu’on la fait cuire et que, ensuite, on la replante à la même place, elle pourrit, preuve que la cuisson (à température usuelle) collapse le champ radiant (de type bio-électro-magnétique) de ce qui est vivant.
Il en est de même avec tout aliment cuit, dont le champ peut tomber au-dessous de 2.000 Å et, même, à 0 Å.
Si l’on met un œuf cru sous le ventre d’une poule (ou dans une couveuse), cela donne naissance à un poussin, contrairement à un œuf cuit (dur, par exemple).
À température usuelle, la cuisson (notamment) tue la vie des aliments vivants, vibrants. Elle les transforme en une masse entropique, étio-morbido-pathogène, qu’on l’admette ou pas.
Autrement dit, l’Être vivant qui ingère des aliments 100% spécifiques et naturels incorpore des radiations néguentropiques, étio-hygiéno-vitalo-protectrices, alors que l’Être vivant qui ingère des aliments anti-spécifiques et dénaturés incorpore des radiations entropiques, étio-morbido-pathogènes.
L’aliment spécifique et naturel
1°) L’alimentation humaine, actuellement pratiquée par le monde entier, est basée sur une affirmation anti-scientifique, à savoir que l’Être humain est un omnivore, qu’il peut, donc, manger de tout, cru ou cuit, peu importe, pourvu qu’au total il absorbe un minimum de 2.500 calories par jour.
On a vu, précédemment, que la théorie de la calorie est fausse.
Ceci pour dire que l’alimentation humaine foisonne de faux aliments, anti-biologiques.
Les vrais aliments humains sont divisés en aliments premiers et en aliments seconds.
Les premiers sont ceux qui sont à la fois spécifiques et naturels et qui vibrent entre 6.500 et 10.000 Å.
Les seconds sont ceux qui vibrent au-dessous de 6.500 Å.
Au-dessous de 6.200 Å, et en allant de plus en plus vers le 0 Å, l’aliment, de plus en plus dévitalisé, devient de plus en plus morbido-pathogène, voire mortigène.
Tout aliment mort, dénué de champ biologiquement radiant, ne peut pas entretenir la vie, la santé naturelle (donc l’immunité primitive, qui rend l’Être vivant réfractaire à la maladie), surtout si, en plus, il est franchement anti-spécifique, comme les céréales, les tubercules, les légumineuses, par exemple, qui nécessitent le trucage de la cuisson pour pouvoir être consommés.
Tout aliment qui n’est pas spécifique et qui ne peut pas être mangé cru et qui, de ce fait, nécessite la cuisson est, biologiquement, un faux aliment humain, qu’on l’admette ou pas, même si on le dit « comestible », l’organisme faisant feu de tout bois, mais au prix d’une usure vitale et d’un encrassement pathogène, comme une cheminée ou comme un moteur thermique.
L’Être humain est un anthropoïde, avons-nous dit et redis. Il fait partie intégrante de la famille des Singes.
C’est, donc, à l’origine, un grand mangeur de fruits (crus), un moyen mangeur de pousses tendres et de racines sucrées, et un petit carnivore.
Le Singe n’est pas omnivore.
Son petit carnivorisme n’est pas le viandisme humain actuel. On peut le résumer à la consommation de certains insectes, d’œufs d’oiseaux, de coquillages…
Son petit carnivorisme n’est pas sanglant, comme le viandisme humain. Le singe, effectivement, ne tue pas autrui pour s’en nourrir. Ce n’est pas un carnassier, comme le lion, le tigre, par exemple.
Son moyen végétalisme n’est pas, non plus, l’herbivorisme des herbivores comme la vache, par exemple.
C’est parce que l’Être humain vit dans des cités concentrationnaires, hyper-trépidantes, hyper polluées, hyper bruyantes, habillé et chaussé, isolé du sol et de la Nature naturelle, subissant un mode existentiel qui l’épuise, qu’il a dévié vers le viandisme sanglant, qui lui donne un coup de fouet, qu’il prend pour un regain d’énergie.
Et c’est parce qu’il est un grand frugivore, à l’origine, aimant la sucre et les aliments sucrés, qu’il a dévié vers le sucrisme et l’amidonisme, faux fruitarisme, pour les mêmes raisons sociétales.
Les aliments premiers de l’Être humain sont, d’abord, les fruits crus (les juteux et les gras), ensuite les légumes crus (non farineux), agro-biologiques, de préférence.
Ses aliments seconds sont les coquillages, les crustacés de mer, les petits poissons, les œufs frais (du jour), les fromages frais (bien égouttés) fabriqués avec du lait cru, issus de petits animaux comme la Brebis et la Chèvre, par exemple.
Ses aliments tiers (à consommer sans abus), sont les fruits secs sucrés (dattes, pruneaux, raisins et abricots secs, figues séchées, etc.), le miel et les fromages fermentés à croûte dure et non moisie fabriqués avec du lait cru de Brebis ou de Chèvre, par exemple.
Les corps gras devront être, de préférence, d’origine végétale, comme l’huile d’Olive vierge, première pression à froid, riche en omégas 9, les huiles de Périlla, de Cameline, de Chanvre, de Colza, riches en omégas 3.
Le beurre doit être cru (non pasteurisé), issu d’un lait cru produit par des animaux sains, vivant librement sur des pâturages naturels, non chimiqués.
On doit le consommer très parcimonieusement, parce que c’est un corps gras saturé favorisant le surmenage (la surcharge) du foie et, conséquemment, l’athéro-sclérose, notamment, comme tous les corps gras saturés (et trans).
D’une façon générale, tout aliment pouvant être mangé à l’état cru est un aliment premier ou second.
Par contre, toute substance, dite alimentaire, qui nécessite le trucage de la cuisson pour pouvoir être consommée ou qui est altérée par des procédés industriels (pasteurisation, stérilisation, conservation chimique, coloration artificielle, exhausteurs de goût, etc.) n’est pas un aliment nutrimentaire, même si la quantité des calories qu’elle est censé fournir à l’organisme est conforme aux données de la diététique et nutrition classiques (officielles).
Un aliment dont la longueur d’onde est de 6.500 Å et au-dessus de cette valeur est nutrimentaire, sain (ortho-biologique), à condition qu’il soit spécifique.
Plus cette valeur vitale est faible et plus la substance dite alimentaire est malsaine, voire morbido-pathogène, d’où les intoxications, les troubles digestifs, les intolérances, les stases fécales, l’urticaire, les allergies, l’eczéma, le psoriasis, notamment, les affections respiratoires, comme la bronchiolite, la bronchite, l’asthme, etc.
La fraîcheur d’un aliment spécifique et naturel, de même que sa culture agro-biologique, sont de prime importance.
Un aliment dénaturé, mort, totalement radio-dévitalisé, est un trompe la faim. Non seulement il ne nutrit pas, donc ne peut pas entretenir la vie biologique, mais, en outre, il dévitalise, cause des carences, encrasse, rend malade, surtout s’il est anti-spécifique, comme tous les « farineux », notamment.
298
2ème partie
Les aliments spécifiques de l’Être humain
Est spécifique tout aliment propre à l’anatomie et à la physiologie (digestive et émonctorielle) d’une espèce donnée.
Or, l’Être humain, avons-nous dit, est un anthropoïde, donc anatomo-physiologiquement constitué comme un Singe (anthropoïde). Il devrait donc se nutrir comme lui.
Les singes sont essentiellement frugivores. Les fruits sont leurs aliments premiers.
À maturité, la chair d’un fruit cru et naturel (agro-biologique) a une longueur d’onde variant de 8.000 à 10.000 Å.
Après avoir été cueilli à maturité, sa longueur d’onde reste stable durant 1 à 3 jours, puis elle décroit plus ou moins lentement jusqu’au zéro de la pourriture.
Sa décroissance est due au fait que, pour subsister, pour survivre, il se nourrit de ses propres radiations aqueuses, vitaminiques, minérales, glucidiques, protéiques, lipidiques… C’est pour cette raison qu’il se déshydrate, se dessèche ou qu’il pourrit.
En fait, un fruit agro-biologique, cru, frais, mûri naturellement (tout comme d’ailleurs, un légume agro-biologique, cru, frais) est un accumulateur d’énergie extrinsèque, naturée, un ensemble de radiations, essentiellement d’origine solaire, vibrant depuis l’infra-rouge jusqu’à l’ultra-violet.
Ce sont ces radiations (forces vitales extrinsèques) qui sont assimilées (spécifiées puis intégrées corporellement) par la force vitale intrinsèque, innée, bio-catalysante, de l’organisme s’exprimant essentiellement à travers son système neuro-végétatif et hormonal.
L’assimilation obéit à l’activité du Penser holistique, qui est constitué de deux demi-piles identiques mais inversement fonctionnelles, d’un Conscient (force verticale, électrique, centripète, de type mâle) et d’un Sub-Conscient (force horizontale, magnétique, centrifuge, de type femelle).
Le Penser est symbolisé, ci-après, par un cercle partagé en deux parties égales.
Le Sub-Conscient
Le Conscient
A= Action du Conscient sur le Sub-Conscient
R= Réaction du Sub-Conscient sur le Conscient
Le Conscient agit en premier. Il a le premier mot.
Le Sub-Conscient agit en second. Il a le dernier mot.
Le Conscient programme le Sub-Conscient, lequel concrétise (matérialise, nature, somatise) le contenu informationnel du Conscient, que ce contenu soit positif ou négatif, vécu consciemment ou in-consciemment.
L’assimilation d’un aliment dépend intimement de l’action du Penser holistique.
Le système fonctionne comme deux engrenages articulés tournant en sens inverse.
Le Conscient
Le Sub-Conscient
L’un et l’autre ne font qu’UN, qu’un même système.
De leur inter-action normale (symétrique) résulte un effet normal (symétrique).
De leur inter-action a-normale (dissymétrique) résulte un effet a-normal (dissymétrique).
Retenir que c’est la dissymétrie fonctionnelle qui induit la dissymétrie structurelle (les lésions).
C’est le Conscient (celui qui a le premier mot) qui détermine l’action normale ou anormale, concrétisée par le Sub-Conscient (celui qui a le dernier mot).
Imaginons que le Conscient est fait pour tourner dans le sens des aiguilles d’une montre, donc de gauche à droite, le Sub-Conscient, lui tourne, donc, de droite à gauche, exactement comme le recto-verso de cette page.
Lorsque le Conscient fonctionne co-rectement, on dit alors qu’il pense positivement, symétriquement (à l’endroit), selon la Loi vitale de symétrie cosmique, et son partenaire intime, le Sub-Conscient, ainsi co-rectement programmé, effectue co-rectement les bio-catalyses. Il en résulte, alors, une magnétisation co-recte des éléments organiques (du Soma ou corps physique).
Mais, lorsque le Conscient pense négativement, dissymétriquement (à l’envers de la Loi vitale de symétrie), il entrave le fonctionnement normal (homéostasique) du Sub-Conscient ré-actionnel, lequel ne peut pas, dès lors, effectuer co-rectement les bio-catalyses. N’étant plus correctement magnétisés, les éléments organiques s’altèrent, entrainant des pathologies et, finalement, la mort de l’organisme (de l’Être biologique).
En fait, le fonctionnement recte du Conscient entraine une production recte de magnétisme organique, somatique, produit par le Sub-Conscient.
Et, de son côté, le Sub-Conscient, rectement programmé, produit rectement de l’électrique, comme dans une batterie d’automobile.
Étant donné que c’est l’électrique qui fait le magnétique et que c’est le magnétique qui fait l’électrique, que c’est l’homme qui fait la femme et que c’est la femme qui fait l’homme , que c’est la poule qui fait l’œuf et que c’est l’œuf qui fait la poule, que c’est le yang qui fait le ying (inn), que c’est le ying qui fait le yang, que inn et yang ne sont, en fait, qu’un même système, qu’une même entité, sous deux aspects identiques mais inversement fonctionnel,
Étant donné que c’est le magnétique qui fait les œstrogènes (hormones femelles) et que c’est l’électrique qui fait la progestérone et la testostérone (hormones mâles),
Étant donné que ce sont les hormones mâles qui donnent du tonus, du dynamisme, de la vigueur et du rendement aux muscles lisses des organes viscéraux et aux muscles striés des organes de locomotion,
On peut donc dire que toute carence magnétique, donc que toute démagnétisation, entraîne une carence d’électricité, donc d’hormones mâles, lesquels président aux assimilations (et, conséquemment, aux désassimilations, c’est-à-dire aux éliminations).
Ceci pour dire que c’est l’attitude mentale, le Conscient, qui induit la bonne ou la mauvaise assimilation et, conséquemment, la bonne ou la mauvaise élimination de nos déchets digestifs et de nos résidus métaboliques, l’alcalinité ou l’acidité de nos liquides humoraux, physiologiques et, conséquemment, de nos tissus, donc la bonne ou la mauvaise santé.
La santé (naturelle) ne dépend donc pas uniquement d’une alimentation (physique, matérielle) recte, notamment, mais aussi d’une activité mentale recte, étayées par une bonne hygiène de vie (pas d’entraves homéostasiques, causées par tous dévitalisants-encrassants : tabac, alcool, overtoniens, médicaments, drogues, surmenage, insomnie, bruits, abus orgasmiques, sédentarité, sous-oxygénation, conflits psychologiques, socio-profession-nels ou familiaux ou conjugaux, bruits infernaux, noctambulisme, etc.).
Le juste milieu
Rappelons que penser négativement c’est penser à l’envers, soit à droite, soit à gauche, soit alternativement, mais jamais dans le juste milieu. Or, c’est dans le centre (dans le juste milieu) que se situe le sentiment positif. Ce qui veut dire que penser justement (rectement, à l’endroit) c’est être dans la neutralité des sentiments.
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Le penser positif
La neutralité des sentiments (la symétrie), qui vitalise et
fait la santé parfaite et, donc, la vie éternelle,
le Bonheur absolu, dans l’Amour vrai.
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Le penser négatif (la dissymétrie) qui dévitalise
et qui fait la maladie, la mort.
Toutefois, consommés à jeun, le matin, en guise d’un petit déjeuner copieux, les fruits crus (non seulement les juteux, mais aussi les secs sucrés et les secs gras) sont d’excellents vitalo-protecteurs qui apportent une énergie extrinsèque considérable, à condition de ne pas l’annihiler en suscitant, en soi, des sentiments négatifs (déviants) et en consommant des substances plus ou moins toxiques socialement acceptées (tabac, drogues, alcools, médicaments, etc.).
Lorsque, pour des raisons de transport, de « conservation », les fruits sont cueillis trop verts puis stockés dans des réfrigérateurs à températures trop froides, et du fait qu’ils sont riches en eau vitale, ce froid excessif fait éclater leurs cellules, et ils meurent. Conséquemment, ils pourrissent au lieu de mûrir.
Pour faire de la vitalité, donc de la santé naturelle, il ne faudrait consommer que des fruits mûris naturellement sur le végétal en terre, ce qui n’est possible que si l’on change la façon de les cultiver et de les transporter jusqu’à l’étalage.
Pour bien faire, les aliments d’une ville devraient être produits alentour et à proximité de celle-ci, puis cueillis ou arrachés du sol à 6 h le matin, mis à l’étalage à 7 h et dans l’estomac au cours de la même journée.
C’est tout notre mode existentiel (toute notre civilisation) qui est à corriger, parce que la santé naturelle est la base du Bonheur et de la longévité active.
Un fruit frais cueilli avant complète maturité, placé sur de la paille, dans un endroit aéré et bien sec, continue à mûrir naturellement mais perd progressivement sa radio-vitalité par suite de son autolyse (autophagie), qui est la base de sa survie (que nous appelons conservation naturelle).
De ce fait, il est moins énergisant et, donc, cause de carences.
On peut accélérer le mûrissement d’un fruit frais et cru, cueilli avant maturité, en l’enfouissant au milieu de grains de blé, naturels, cueillis à maturité et non irradiés artificiellement.
Ainsi soumis à la radio-vitalité du blé naturel, qui a une longueur d’onde de 9.000 à 10.000 Å, à maturité, ce fruit immature, qui a, de ce fait, une radio-vitalité inférieure à 9.000 Å, est dynamisé naturellement, ce qui accélère son mûrissement, lui faisant atteindre le même degré de radio-vitalité que celui du blé.
La chair d’une banane mûrie naturellement, au soleil, a une radio-vitalité moyenne de 9.000 Å. C’est à ce moment-là qu’elle est la plus digestible.
Il en est de même de la chair d’une poire mûrie naturellement.
Lorsqu’une poire est cueillie verte, telle qu’on la trouve souvent chez les primeurs, sa longueur d’ondes n’a que 3.000 Å, environ.
Il ne faut pas la manger parce qu’elle ne fournit pas suffisamment d’ondes hygiéno-vitalo-protectrices (dites nutritives). Au contraire, elle surmène l’estomac et, donc, le foie. Et un foie surmené ne peut s’épurer et, conséquemment, épurer correctement l’organisme, d’où une morbidité étio-pathogène.
Le mûrissement d’un fruit frais accroit sa radio-vitalité.
Mais quelques jours après, celle-ci décroit progressive-ment jusqu’à tomber à 1.000 Å, environ, qui induit son pourrissement.
Les aliments premiers, comme les fruits frais, mûrs, par exemple, se conservent plus longtemps que les aliments seconds. Mais, à mesure que le temps passe, la radio-vitalité diminue progressivement, même dans les fruits oléagineux (noix, noisettes, amandes douces, etc.), qui se traduit par leur rancissement (oxydation).
La radio-vitalité des légumes frais, crus, suit la même courbe de croissance et de décroissance radio-vitales. C’est dire que les fruits frais, juteux, bien mûrs, et les légumes frais (non farineux) doivent être consommés non seulement à l’état cru mais aussi à l’état très frais, dès leur récolte, d’où nécessité de les cultiver à proximité des villes.
La radio-vitalité des fruits juteux, dits frais et bien mûrs, que l’homme a fait sécher ou a fait déshydrater, comme les pruneaux, les abricots secs, les raisins secs, les dattes, bananes, poires, pommes, séchées, ne donnent que 4.000 à 5.000 Å.
Pour redynamiser les fruits juteux qui ont été déshydratés, il faut les mettre à tremper dans du jus cru de carottes très fraiches, par exemple, durant quelques heures, à l’abri de la poussière et de la lumière.
Au bout de ce laps de temps, leur radio-vitalité peut passer de 4.000 Å à 6.500 Å (et même plus).
À ce moment-là, il faut les consommer rapidement, car dès que la radio-vitalité tombe au-dessous de 2.000 Å, apparaissent les moucherons Mycoderma aceti du vinaigre.
Pour réhydrater des fruits secs sucrés (type pruneaux, abricots et raisins secs, etc.) ne jamais utiliser l’eau morte du robinet, dont la longueur d’onde va de zéro à 1.000 Å seulement.
Les smoothies (compotes finement broyées au Mixeur-Blender) aux fruits crus, frais, bien mûrs, pelés, sans sucre ajouté, sont une merveille de radiations vitalo-protectrices, particulièrement vivifiantes.
Elles peuvent servir à faire des mono-diètes rassasiantes, tout en étant relativement épurantes.
Si on ne les trouve pas suffisamment sucrées, on peut y ajouter quelques fruits secs sucrés comme les dattes ou les raisins secs, par exemple, et un peu de poudre d’écorce de cannelle, que l’on trouve dans les Biocoops et les Boutiques de diététique, par exemple.
On peut les composer avec des mangues, des kiwis, des fraises, des framboises, des pêches, des pommes, des groseilles, des prunes, des poires, des abricots, etc., en y ajoutant, éventuellement, de la chair de banane et du lait d’amandes douces dégraissées que l’on fait soi-même, sur le moment, avec de l’eau de Volvic.
Les fruits juteux, frais, doivent être pelés. Leur peau irradie peu et ne présente aucun intérêt nutritionnel. Il ne faut pas, non plus, manger les pépins, comme ceux des pommes, par exemple, seulement la chair.
Les grands Singes, qui sont, comme l’Être humain, des anthropoïdes, ne mangent que des fruits mûrs, et ils les pèlent, sans peine, avec leurs doigts et leurs incisives.
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Conclusion
On ne se revitalise pas seulement avec des aliments spécifiques et naturels d’une longueur d’ondes de 7.000 à 10.000 Å, mais aussi et surtout en dormant profondément et suffisamment, en cessant de parler et de cogiter, surtout à l’envers, en pensant positivement et en respirant profondément, car c’est par le rhinencéphale qu’entre la force vitale cosmique, méta-physique (le prana des Indous), qui nutrit le Sub-Conscient réactionnel, concrétiseur, lequel le transmute à l’échelle de la matière entropique dite vivante, comme un transformateur de courant dit électrique transforme du 375 volts, par exemple, en 110 volts, par exemple.
Cœur droit
Cœur gauche
Le piston de la pompe représente le diaphragme, qui aspire et refoule le sang.
L’entraînement respiratoire journalier donne de bons résultats au Pulmo-Expanseur (P.E.) de HUSSON et de PLENT, qui ont bien compris l’importance capitale de la respiration et, donc, du muscle diaphragme, lequel fait office de pompe aspirante et refoulante, qui vascularise et oxygène l’organisme et, conséquemment, aide à se revitaliser.
L’arrêt du parler, souvent pour ne rien dire ou pour dire des idioties, et l’arrêt de la cogitation (positive ou négative), lesquels sollicitent constamment le Sub-Conscient réactionnel, donc le système neuro-végétatif et hormonal, parfois jusqu’à épuisement (dystonie neuro-végétative et hormonale), peuvent être obtenus à l’aide d’une re-positivation mentale effective, généralement appliquée sous (auto-) hypnose, mais surtout par le sommeil profond et suffisant, vagotonique, apaisant, qui permet au Conscient de recevoir, par l’intermédiaire de son partenaire intime , le Sub-Conscient, l’énergie vitale cosmique, intrinsèque, méta-physique, catalysante (assimilatrice et désassimilatrice), qui l’anime, le fait vivre.
La respiration a une double finalité : apporter de l’oxygène (O2) pour le corps physique et apporter du prana (force cosmique, méta-physique) pour le Sub-Conscient, le moteur vitalisant, s’exprimant essentiellement à travers le système neuro-végétatif et hormonal.
L’agitation constante du Conscient (du mental), entraîne un encrassement du connecteur d’avec le Sub-Conscient, ce qui équivaut à un déphasage d’avec le S-C capteur-transformateur-distributeur de l’énergie cosmique (de l’Esprit), déphasage indiqué par la Figure B, ou par la Figure C, ci-après.
45
55
50
50
L’Esprit cosmique
infini
(le Générateur)
Le Sub-Conscient
(le Transformateur)
Le Contacteur
(l’Utilisateur ou Consommateur)
Le Conscient
La connexion revitalisanteLa déconnexion dévitalisante
par cessation de cogitation.par suite de cogitations.
Figure B
Carence
Carence
Excès
Excès
Les cogitations empêchent de se positionner dans le juste milieu pleinement l’énergie vitale immatérielle du Cosmos à travers le rhinencéphale.
Figure C
Autrement dit, la crasse entropique (morbidité), produite par les cogitations permanentes, surtout par celles qui sont négatives, empêche le Conscient et, donc, son hologramme, le Soma, de recevoir pleinement de son partenaire intime, le Sub-Conscient, l’énergie que celui-ci puise dans le Cosmos (dans l’Esprit, force méta-physique) pour la donner à son partenaire intime, le Conscient, après transformation (l’avoir « bio-disponibilisé »).
Il faut, aussi, se taire, parce que parler use l’énergie vitale, dévitalise.
Par ailleurs, se taire permet de réfléchir, de raisonner (résonner), d’entendre (de prendre conscience de) ce que l’on va dire. Cela aide à ne pas dire des âneries.
En d’autres termes, le Conscient consomme l’énergie intrinsèque fournie par le Sub-Conscient. Mais celui-ci ne peut le recharger en énergie, que si les activités hégémoniques et discursives du Conscient (distorsions mentales) cessent du fait qu’elles l’empêchent de s’exprimer librement.
L’Être biologique est psychorganique. Il est, à la fois, sujet par son mental et objet par son corps physique. Il n’est pas un corps physique seulement.
Il doit, donc, nourrir, simultanément, son mental ortho-psychologiquement et son corps physique ortho-biologiquement.
Toute Hygiène et toute Médecine de santé ne peuvent être que ortho-psycho-biologiques, donc naturelles.
Les nourritures ortho-psychologiques sont les sentiments positifs, symétriques, immatériels ; et les nourritures ortho-biologiques sont les aliments matériels, spécifiques et naturels dont les longueurs d’ondes varient entre 6.500 Å et 10.000 Å (ou plus).
C’est la conjugaison de ces deux forces (intrinsèque et extrinsèque), agissant rectement et simultanément, qui fait la vitalité générale, l’immunité primitive et secondaire, qui rendent le Terrain psychorganique réfractaire aux maladies non accidentelles (usuelles).
Pour pouvoir applaudir, il faut deux mains agissant en phase.
Il en est de même en science de la santé, c’est-à-dire en hygiène et médecine de santé, qui est la vraie Naturopathie, que j’enseigne depuis plus de 62 ans.
* *
*
La cuisson dévitalise nos aliments
Lorsque l’on mesure la radio-vitalité des fruits cuits on constate qu’elle est presqu’à 0 Å. Ce sont des fruits morts, incapables de nutrir ortho-biologiquement.
Ce qui est dit, ici, pour les fruits cuits est également valable pour les légumes cuits.
À la page 91 de son formidable livre, André SIMONETON écrit ceci :
« Les légumes devraient être mangés crus, comme les fruits. La cuisson est une invention de l’homme. Elle est néfaste pour les fruits et les légumes ».
Il aurait dû ajouter : …et pour la santé de ceux qui les font cuire.
Du fait que leur radio-vitalité est quasiment nulle, ils ne nutrissent pas. Voilà pourquoi celles et ceux qui refusent de manger tout cru se gavent d’aliments (toujours cuits), qui les laissent sur leur faim cellulaire, ne voulant pas savoir que ce gavage surmène leur foie et leur intestin, notamment, et crée, ainsi, en eux, une morbidité étio-pathogène.
A la même page, A. SIMONETON écrit, encore, ceci :
« Deux carottes crues valent (plus qu’) un plat entier de carottes cuites ».
Une pomme de terre crue a une radio-vitalité de 2.000 Å, alors qu’une carotte, une betterave, un navet, un radis ont, à maturité, une radio-vitalité de 8.000 à 9.000 Å dès qu’on les arrache du sol. Ce sont les seules racines, sortant presque de terre, qui ont une radio-vitalité aussi élevée, parce que ayant été vitalisées par les radiations solaires. Les Lapins ne s’y trompent pas. Ils s’en nourrissent, mais ne mangent pas de pommes de terre, dont la radio-vitalité ne dépasse pas 2.000 Å dès sa récolte, ce qui prouve que l’animal dit inférieur est beaucoup plus intelligent que l’Être humain, dont la bêtise est incommensurable, comme l’a si bien dit le génial Savant Albert EINSTEIN (Prix Nobel en 1921).
À l’état frais, les légumineuses comme les haricots, les lentilles, les pois, etc., ont une radio-vitalité de 8.000 Å, environ. Mais à l’état sec, elles ont une faible radio-vitalité. Il faut s’abstenir de les consommer à cause de cela mais aussi du fait que ce sont des farineux (des substances très riches en amidon fermentescible produisant, dans l’Être humain, de l’alcool hépato-pathogène), d’autant plus que, pour pouvoir être consommées, elles nécessitent le trucage de la cuisson, qui tue tout.
Toutefois, on peut les faire germer, mais à condition que le germe ne soit pas, ensuite, parasité par des moisissures hépato-pathogènes et de ne manger que la jeune pousse (le germe), non la graine elle-même, pousse que l’on coupe aux ciseaux. Le germe frais de blé germé émet une longueur d’ondes de 8.500 à 10.000 Å à condition qu’il soit sain (non souillé par des moisissures). C’est un super-nutriment, à l’état cru, pour les personnes affaiblies et convalescentes. Rappelons qu’il ne faut manger que la pousse, pas la graine.
La meilleure façon de manger des légumes crus est de composer un mélange de diverses espèces, préparé en « salade » de crudités que l’on doit mastiquer soigneusement, parce que l’animal humain n’est pas un herbivore-type, comme la vache , par exemple, laquelle a 4 estomacs et un intestin de près de 40 mètres de long, doté de sucs spéciaux capables de digérer les celluloses, ce que n’a pas l’animal humain.
Toutefois, les personnes qui ne supportent pas les légumes crus parce qu’ils ont un intestin délabré, par suite d’une alimentation habituellement anortho-biologique (anti-spécifique et dénaturée) pratiquée depuis des lustres, peuvent consommer des légumes crus mais sous forme de jus frais, obtenus extemporanément et avalés après les avoir insalivés très longuement, ou bien, encore, sous forme de légumes finement broyés au Mixeur (Blender), en guise d’une soupe crue, que l’on fait chauffer au bain-marie, à température désirée.
Un mélange de plusieurs légumes crus, non farineux, composé de salade verte ou rouge ou autre (chou-fleur, carottes, céleri branche, radis noir ou rouge, oignon, échalote, persil, mâche, olives noires, betterave rouge), de pignons de Pin, etc., aspergés d’un peu d’huile d’olive vierge (première pression à froid) et de quelques gouttes de citron naturellement très mur (à la place de vinaigre), fournit une radio-vitalité de 9.000 à 11.000 Å.
L’huile d’olive vierge (première pression à froid) a une radio-vitalité de 8.000 à 9.000 Å, l’huile de noix une radio-vitalité de 7.000 à 8.000 Å, l’huile d’arachide une radio-vitalité de 7.000 à 6.500 Å.
Un citron bio, qui a mûrit naturellement, a une radio-vitalité de 8.000 à 9.000 Å, tandis que le vinaigre, qui est du vin-aigre, a une radio-vitalité presque nulle.
Des crudités végétales variées, à l’huile d’olive vierge et au jus de citron très mur, plus quelques œufs à la coque ou, mieux, crus, plus du fromage blanc, frais (bien égoutté), au lait cru, de chèvre ou de brebis (lait partiellement égoutté) ou un morceau de fromage de Brebis ou de Chèvre à croûte dure et non moisie, toujours fabriqués avec du lait cru issu de ces petits animaux, devrait suffire pour nutrir les populations n’effectuant pas des travaux pénibles, comme le travail des éboueurs, des maçons et des charpentiers, par exemple, sans oublier, bien évidemment, les fruits juteux, frais, bien mûrs, pelés, les fruits secs sucrés (dattes, pruneaux, raisins et abricots secs, figues séchées, etc.) et les fruits secs gras (noix, noisettes, amandes douces, pignons de Pin, etc.), bien mastiqués et bien insalivés, qui sont à consommer surtout le matin, en guise de petit déjeuner ou l’après-midi, vers 17 h, en guise de goûter, mais qui peuvent, aussi, constituer un repas de fruits variés, à eux seuls.
On ne risque pas de mourir de faim en ne mangeant que des fruits variés, 1 ou 2 fois au cours d’une même journée et, même, durant 2 à 15 jours consécutifs.
En règle générale, les gens ont peur de mourir de faim, oubliant ou ignorant que l’on peut faire des jeûnes à l’eau uniquement durant 30 à 45 jours consécutifs.
Personnellement, je suis contre ces types de jeûnes longs, qui peuvent dévitaliser. Je préfère purger et drainer intensivement durant 1 à 3 jours de suite, lorsque la force vitale du jeûneur est suffisamment réactionnelle, puis faire une monodiète aux fruits durant 2 à 4 jours de suite, et adopter, ensuite, une alimentation 100 % spécifique et naturelle, revitalisante, de préférence en mode existentiel, quitte à refaire ce programme tous les mois.
La mono-diète au gel de froment du Dr Argiris KOUSAS, est excellente contre la dyspepsie, l’hyper-chlorhydrie, la constipation rebelle, l’ulcère d’estomac et du duodénum, l’entérocolite, l’ictère, l’amibiase et autres affections gastriques, hépatiques et rénales, en général contre toutes les causes alimentaires dévitalisantes, encrassantes.
Ce gel, on peut le fabriquer soi-même en faisant bouillir à l’eau de Volvic, par exemple, et à petit feu, durant 72 à 75 heures, des grains de froment (blé). Après quoi, on récupère seulement le gel, sans le grain de blé. On laisse refroidir, mais on peut, aussi, le manger légèrement chaud. On ne consomme que ce gel, durant 3 à 7 jours consécutifs, à raison de 4 assiettes par jour, en plus des fruits juteux, crus, et de la soupe de légumes (non farineux) crus, chauffée au bain-marie. Bien entendu, on ne consomme que ça, et rien d’autre, sauf de l’eau pure à pH 7,5 ou 8, maximum.
Rappelons, également, que les farineux sont toutes les céréales, les tubercules, les légumineuses.
Les fruits oléagineux (riches en corps gras) ont la même longueur d’onde que tous les fruits frais, crus. On devrait en manger le matin, sur un estomac vide.
De l’olive mûre on extrait, par première pression à froid, une huile naturelle qui a une radio-vitalité de 8.000 à 9.000 Å. Selon A. SIMONETON, cette huile, riche en oméga-9, conserve sa radio-vitalité durant 10 ans ; et selon le physicien BOVIS elle aide à annuler les ondes nocives.
Mais lorsqu’elle a été décolorée et désodorisée, sa radio-vitalité tombe alentour de 4.000 à 4.500 Å.
L’huile d’olive extraite des tourteaux, à l’aide de solvants chimiques volatils, comme le sulfure de carbone, par exemple, que l’on évacue, ensuite, par distillation, n’a plus de radio-vitalité.
De la noix on extrait, également, l’huile de noix naturelle, de première pression à froid, qui est riche en oméga-3 et qui a, elle aussi, une radio-vitalité de 8.500 Å.
Par contre, les huiles de colza et de navette n’ont qu’une radio-vitalité de 5.000 Å, selon A. SIMONETON.
Selon A. SIMONETON, l’huile extraite de l’amande de graines de citrouille n’a que 3.000 Å. Celle extraite de l’œillette n’a que 1.000 Å, et celles extraites des noyaux d’abricots, de pêche et d’amandes douces zéro Å.
Parmi les aliments seconds, d’origine animale, il y en a qui ont une longueur d’onde de 6.500 à 7.000 Å.
Parmi ceux-ci, citons le fromage frais de Brebis ou de Chèvre au lait cru, le beurre cru, frais, le jambon cru fumé ou salé au sel marin, longueur d’onde qui dure 2 mois, avant de diminuer régulièrement.
Le sel marin est extrait de l’eau de mer dont la longueur d’onde varie de 8.000 à 9.000 Å.
Un poisson vivant librement, dit sauvage, a une longueur d’onde de 8.000 à 8.500 Å.
A. SIMONETON indique la longueur d’onde de certains poissons vivants :
• Maquereau et thon : 8.500 Å,
• Sole : 8.000 Å,
• Tombe, barbue, sardine, rouget : 7.500 à 8.000 Å.
Il indique, également, la longueur d’onde de quelques fruits de mer vivants :
• Huîtres, langoustes : 8.500 Å,
• Crabes, crevettes, bigorneaux : 8.000 Å.
À propos de l’alimentation crue, voici ce qu’il écrit :
« Pour manger les poissons avec le plus de profit pour l’organisme, il faudrait les manger crus. (…) pas mal d’Êtres humains mangent du poisson cru : les Indous, les Chinois, les Japonais, les Habitants des îles du Pacifique.
Les polynésiens mangent de la pieuvre crue, selon Alain GERBAULT cité par A. SIMONETON.
« …les sardines crues sont très digestes.
« Le poisson gelé et mangé cru est l’aliment de choix des esquimaux ».
Les poissons d’eau douce ont une radio-vitalité moins importante que les poissons de mer.
Ci-après, A. SIMONETON indique la longueur d’onde de quelques poissons d’eau douce :
• Goujon et perche: 6.000 Å,
• Gardon : 5.500 Å,
• Vairon: 5.000 Å.
Il indique, aussi, la longueur d’onde de certains produits laitiers :
• Lait, à la sortie de la mamelle de tous les mammifères : 6.500 Å.
12 h après la traite : 5.000 Å.
24 h après la traite : 2.000 Å.
• Lait caillé : 4.000 Å,
• Fromage : 1.000 Å,
• Lait en poudre : 0 Å,
• Lait bouilli avec de la farine : 0 Å.
Et il ajoute :
« Pour qu’un lait apporte la longueur d’onde nécessaire à la vie, il doit, donc, être bu cru et très frais ».
Pour conserver, durant quelques jours, la radio-vitalité d’un lait frais, cru, ayant une longueur d’onde de 6.500 Å, les indigènes du Brésil y mettent dedans des grains de maïs crus (naturels), qui ont une longueur d’onde variant de 6.500 à 7.000 Å, minimum.
Qu’il soit frais, cru, ou pasteurisé, stérilisé, upérisé, le lait de vache n’est bon que pour le veau, destiné à peser plus de 100 kilo au bout de 6 mois, alors que le lait de Brebis ou de Chèvre, même s’il n’est pas fait pour l’hom-me, n’est destiné qu’à faire des petits animaux. Il est mieux accepté par l’intestin humain que le lait de vache.
Seul le lait de femme, ingéré aux seins, est fait pour le petit de l’homme, qui n’atteint que quelques kilos seulement au bout de 6 mois.
Après barattage, le beurre cru, frais, a une longueur d’onde de 7.500 à 8.000 Å, toujours selon SIMONETON.
Et il ajoute (page 126 de son livre précité) que les microbes, quels qu’ils soient, ne peuvent pas résister à la radiation de 8.500 Å du beurre baratté (cru, frais).
Le beurre baratté n’est nocif que lorsque sa radio-vitalité tombe à 2.000 Å, et que, de ce fait, il est rance, oxydé, ou bien, encore, lorsqu’on en abuse, ce qui met le foie en insuffisance fonctionnelle, voire en dysfonctionnement.
C’est dire qu’il vaut mieux le consommer quand il est très frais, parce que sa radio-vitalité tombe à 0 Å après 40 jours, toujours selon A. SIMONETON, bien qu’il se conserve plus longtemps lorsqu’il est placé au réfrigérateur ou, mieux, au congélateur.
Quant au beurre salé au sel marin, gris (déliquescent), il conserve sa radio-vitalité durant un laps de temps plus long, surtout lorsqu’il est placé au réfrigérateur ou au congélateur.
Des aliments spécifiques et naturels additionnés de beurre frais, cru, sont, assurément, nourrissants mais moins que s’ils sont additionnés d’huile d’olive vierge, première pression à froid, qui conserve, à l’abri de la lumière, sa radio-vitalité d’une année sur l’autre.
La radio-vitalité des margarines, produit artificiellement par certaines industries, est nulle, toujours selon A. SIMONETON.
Et celle des fromages fermentés est quasiment nulle, contrairement aux fromages frais de Brebis ou de Chèvre au lait cru.
Les œufs fraîchement pondus ont une radio-vitalité de 6.500 Å. Mais cette radio-vitalité diminue de jour en jour. La consommation d’œufs de plus de 10 jours, donc radio-dévitalisés, induit, dans l’organisme, des radiations néfastes.
Pour conserver plus longtemps leur radio-activité, il faut, dès après leur ponte, les enfouir dans de l’argile en poudre fine additionnée de très nombreux grains de blé et/ou de maïs, naturels, non altérés par des irradiations ionisantes ou par la chaleur excessive ou par des substances chimiques ou par des moisissures, etc.
Mais, à défaut d’argile en poudre fine, on peut les enfouir au sein de grains de blé ou de maïs seulement.
Après avoir fait cela, il faut placer les bacs dans un endroit froid et sec. La radio-vitalité des œufs peut, alors, se conserver durant 6 mois, et le vitellus (le jaune d’œuf), à l’ouverture de l’œuf, sent le blé ou le maïs, selon A. SIMONETON, qui ajoute : « Les œufs en poudre sont des cendres mortes, sans radiation ».
Le vin et la bière, le cidre, par exemple, ont une radio-vitalité allant de 5.500 à 1.000 Å, mais, à vrai dire, ne sont pas des boissons pour Êtres humains, parce qu’ils contiennent une quantité (non négligeable) d’alcool qui altère le foie et le cerveau, notamment.
Leur faible radio-vitalité résulte surtout des substances qu’ils renferment.
Ingérer ces fausses boissons humaines lors des repas c’est abaisser la radio-vitalité des aliments ingérés, même de ceux qui sont spécifiques et naturels (vibrant à 6.500 Å au moins).
La vraie boisson de l’Être humain anthropoïde est l’eau vitale des fruits juteux, frais, matures, crus, agro-biologiques, et secondairement l’eau en vrac, de sources, comme la Volvic, la Montcalm, la Mont-Roucous, notamment.
L’eau dite en vrac n’est pas une boisson. Elle a une très faible radio-vitalité, donnée par les minéraux qu’elle a lessivés lors de son parcours en terre. Son ingestion affaiblit la radio-vitalité de l’homme en spoliant la radio-vitalité de celui-ci pour s’équilibrer osmotiquement autour de 6.500 Å. Toutefois, on peut la vitaliser en y ajoutant du jus de citron très mur, par exemple.
Une bonne eau en vrac est celle de sources. Celle provenant des rivières, des drainages, des citernes d’eau de pluie, est néfaste. Elle favorise la dévitalisation et, conséquemment, la maladie.
Treize à quinze jours après leur mise en bouteilles, les eaux dites minérales n’ont aucune radio-vitalité, sauf les eaux d’Amélie-les-Bains petite et Berthemont Saint Julien qui avaient un bon degré de radio-vitalité au bout d’un mois.
L’eau de Lourdes irradie à 15.000 Å, selon SIMONETON.
En Italie, il y a, à San Damiano, une eau de source qui radie à 14.000 Å, toujours selon SIMONETON.
Un jus frais de pommes crues, matures, par exemple, obtenu extratemporanément (sur le moment), à l’aide d’un extracteur de jus, a une radio-vitalité de 8.500 Å.
C’est une eau hautement vitalisée.
Un jus frais de raisin cru, obtenu dans les mêmes conditions, a également une radio-vitalité de 8.000 à 9.000 Å.
Les jus de fruits frais, crus, matures, doivent, toujours, être consommés en dehors et loin des repas, quand l’estomac est vide, vraiment vide de tout aliment dit solide ou liquide.
Actuellement, on conserve les jus de fruits par pasteurisation (75 – 80 °C), par stérilisation (110 – 120 °C), par upérisation (130 – 140 °C).
Malheureusement, ces procédés détruisent plus ou moins complètement leur radio-vitalité, nutrimentaire.
On devrait essayer de les conserver dans des cuves en acier inoxydable L316 à double parois :
• La paroi intérieure en verre de quartz,
• La paroi extérieure en acier.
Et, entre les deux, un espace suffisant pour y mettre soit des grains de moutarde (qui émettent une radio-vitalité de 11.000 à 12.000 Å), soit des grains de blé matures, naturels, soit des huiles essentielles hydro-solubilisés, orthobiologiquement (H.E. HSOB), qui émettent une radio-vitalité de 10.000 à 12.000 Å, le tout fonctionnant en anaérobie stricte (sans oxygène).
Rappelons que le verre de Quartz laisse passer ces types de radiations (senteurs). Les jus peuvent, donc, s’en imprégner et conserver ainsi leur propre radio-vitalité, durant un certain temps, surtout si, en plus, on y enlève l’air à l’aide d’une pompe électrique spéciale.
Paroi interne (en verre de Quartz
Paroi externe (en bois ou en acier
Produit à conserver
Grains ou H.E HSOB
La méthode BOCHI est similaire. Elle consiste à conserver des jus frais, crus, non pasteurisés, dans des récipients fermant hermétiquement et dans lesquels on a chassé l’air oxygéné par du CO2 sous pression.
Un autre procédé, celui du Dr KRAUSS, qui utilise une carafe, dite Katadyne, qui contient de l’eau dans laquelle on a mis des sels colloïdaux d’argent enrobés dans des petites masses neutres.
Deux heures après, elle est buvable.
Avec son Radiogène à base de sels d’argent (émettant une longueur d’onde de 8.500 Å), fonctionnant sous vide d’air (d’O2), A. SIMONETON a réussi à maintenir la radio-vitalité d’un jus de raisin mature, frais, cru, durant 8 à 24 mois consécutifs, sans pasteurisation, sans stérilisation.
Comme quoi, les scientistes officiels n’ont pas la science infuse ni le monopole du savoir.
En France, notamment, les chercheurs classiques, dits officiels, sont payés pour chercher, souvent pendant des centaines d’années, sans jamais rien découvrir de vrai, de sérieux, d’indispensable.
Nous, en Médecine de Santé, on cherche non pas pour chercher mais pour découvrir ce qui est excellent pour entretenir la santé ou la reconstituer lorsqu’on l’a altérée bêtement.
Un jus frais de raison mature (cru) a un pH de 3.6. Celui d’un jus frais de raisin traité au Radiogène a un pH de 4.
La consommation de jus de fruits crus, sains, mature, pelés, radiant à 8.000 Å, donc vivants, vibrants, est l’idéal pour faire ou refaire de la vitalité, donc de la santé naturelle ; ils sont donc excellents non seulement pour les bien-portants mais aussi pour les malades et pour les convalescents, notamment, à condition de les ingérer dès leur obtention, en les insalivant longuement.
Voici un autre exemple :
Le jus frais d’ail cru a une longueur d’onde de 8.500 à 9.000 Å.
Après un an de conservation, dans un endroit sec, il a, encore, 7.500 Å, selon A. SIMONETON.
Si on pasteurise ce jus frais, on le radio-dévitalise, et, alors, il flocule, coagule, ce qui prouve que la mort résulte d’une floculation micellaire, comme l’a si bien dit, il y a fort longtemps, le biologiste Auguste LUMIÈRE, qui n’a jamais été un scientiste officiel.
À propos des microbes dits pathogènes
Tous les microbes, dits pathogènes, sans exception, ont une radio-vitalité inférieure à 6.500 Å. Généralement, leur fourchette d’adaptation va de 0,1 Å à 6.200, voire 6.300 Å, maximum.
Lorsqu’ils cherchent à s’adapter à une longueur d’onde supérieure à la leur, ils dépensent leur énergie jusqu’à ce qu’ils se collapsent, et – alors – vidés de toute leur énergie, les microbes meurent.
C’est dire que toute personne affectée par un microbe dit pathogène a une longueur d’onde inférieure à 6.500 Å. Elle est en dévitalisation, donc en morbidité.
Et un Terrain radio-dévitalisé, donc morbide (par suite de fautes existentielles : mal-bouffe, stress constant et autres conflits psychologiques (socio-professionnels, familiaux, conjugaux, etc.), surmenage, insomnie, sédentarité, tabagisme, alcoolisme, droguisme, sucrisme, amidonisme, médications chimiques, abus orgasmiques, bruits excessifs, constants, etc.) est propice à toutes infections (bactérioses, viroses) et infestations (parasitoses).
C’est la faiblesse du Terrain qui fait la force des microbes dits pathogènes et des parasites (des micro-organismes).
Lutter contre les micro-organismes dits pathogènes par les antibiotiques, les antiviraux, les vaccins, etc., c’est agir sur l’effet et perpétuer, aussi, les épidémies et les pandémies, par refus d’admettre ce qu’a dit le Dr Claude BERNARD, à savoir :
« Le microbe n’est rien ; c’est le Terrain qui est tout ».
Et même le chimiste (non médecin, non biologiste) Louis PASTEUR l’a reconnu à la fin de sa vie lorsqu’il a dit au Professeur RENON qui le veillait au moment de sa mort :
« RENON, c’est Claude (Claude BERNARD) qui a raison : le microbe n’est rien. C’est le Terrain qui est tout ».
Mais la médecine allopathique (par les médicaments chimiques et les vaccins, notamment), s’est bien gardée de faire savoir cela au grand public et aux instances officielles. Aujourd’hui, on sait pourquoi.
Louis PASTEUR a affirmé que l’organisme est aseptique, c’est-à-dire qu’il n’y a pas du tout de microbes dans le corps, alors qu’en vérité, il y a, dans notre organisme, beaucoup plus de microbes que de cellules.
Louis PASTEUR a également affirmé que c’est le microbe extérieur (exogène), après avoir pénétré dans l’organisme, qui cause les maladies infectieuses.
Le médecin de santé psycho-biologique, que nous sommes, affirme que c’est la dévitalisation du Terrain psychorganique qui induit une morbidité étio-pathogène, c’est-à-dire propice à la pénétration et à la prolifération des microbes exogènes.
Autrement dit, c’est le Terrain radio-dévitalisé, carencé et, conséquemment, encrassé, qui favorise la pénétration du microbe exogène, lequel n’est qu’un facteur favorisant par ses sécrétions toxiniques, lesquelles toxines augmentent la toxicité de la morbidité ainsi que la dévitalisation.
En fait, la virulence d’un microbe est dictée par la virulence de la morbidité, de l’encrassement humoro-cellulaire.
En d’autres termes, c’est le Terrain infect qui fait l’infection, ce qui rejoint l’affirmation du Docteur Claude BERNARD, l’un des plus grands physiologistes de tous les temps.
Affirmer que c’est le chimiste Louis PASTEUR qui a raison c’est affirmer que le médecin-physiologiste Claude BERNARD est un charlatan.
Il y aurait de quoi sourire, si ce n’était aussi grave.
L’eau ozonisée
Lorsqu’on sature une eau de boisson avec de l’ozone (O3) pur, à forte concentration, on obtient une eau ozonée buvable, qui a une longueur d’onde de 6.825 Å, selon A. SIMONETON.
Si, dans cette eau, on introduit des colibacilles, dont la longueur d’onde ne dépasse pas 5.000 Å, ils meurent.
La réhydratation des légumes (non farineux) déshydratés et des fruits (juteux) déshydratés (comme les pruneaux, par exemple) devraient, toujours, être réalisée avec une eau fraîche puisée à une bonne source et radio-vitalisée par les procédés précités. Il ne faut surtout pas la réaliser avec l’eau du robinet (javellisée, désinfectée au chlore, toxique, dans le but de tuer les microbes dits pathogènes), ni avec l’eau de refroidissement des piles atomiques de thorium ou d’uranium utilisées par certaines usines. Cette eau est fortement radio-dévitalisée et, même, franchement néfaste à la santé.
Seules les eaux potables radiant entre 6.500 et 10.000 Å sont bonnes pour la santé.
Le sel marin gris (plus ou moins déliquescent) et frais, dès sa sortie du marais salant, a une radiation de 9.000 Å, et – après quelques mois – 7.000 à 7.500 Å, toujours selon A. SIMONETON.
Une chair animale conservée grâce à du sel marin gris, comme la chair de morue (ou de porc), par exemple, a une radiation moyenne de 6.500 Å, donnée par le sel marin naturel.
Mais dès qu’on la dessale, elle entame sa décomposition. Voilà pourquoi il faut la consommer immédiatement après dessalage.
Le pollen des fleurs (qui radie à 8.500 Å) et la gelée royale (qui radie à 11.000 Å), selon A. SIMONETON, sont excellents pour tous, mais surtout pour les convalescents et pour toute personne dévitalisée, affaiblie ou affectée soit d’anémie, soit de diabète, soit d’artério-sclérose, de cardio-vasculopathie, de prostatisme…
La consommation de viande de boucherie et/ou de charcuterie pose un sérieux problème de santé parce que l’Être humain, n’est pas un omnivore, comme l’affirment les ignares, mais un anthropoïde, donc un grand frugivore comme les singes (anthropoïdes). Anatomo-physiologiquement, c’est un singe et non pas un carnassier, comme les tigres, les lions, etc.
Certes, biologiquement, c’est un petit carnivore, mais son carnivorisme est vivant (vibrant) et non sanglant, alors que le viandisme humain, actuel, est mort (radio-dévitalisé).C’est, en fait, du nécrophagisme.
Même en mangeant cru la chair des animaux tués, on fait de son intestin un cimetière. Seuls les charognards sont anatomo-physiologiquement organisés pour se repaître de cadavres.
Les singes consomment des œufs et des petits poussins pouvant se trouver à l’intérieur, en développement. Ils mangent, aussi, la chair des coquillages de mer, etc.
Mais ces chairs animales sont consommées crues et issues d’Êtres vivants, dont la longueur d’onde, minimale, est de 6.500 Å.
Ainsi, la vie entretient la vie des Singes.
L’Être humain, lui, consomme des chairs animales issues d’animaux abattus depuis plusieurs mois, donc à l’état second de la matière, ayant une longueur d’onde de 2.000 à 3.000 Å °, maximum.
De plus, comble de malheur, il les fait cuire, parfois archi-cuire, détruisant, ainsi, totalement, leur radiation vitale et coagulant, ainsi, irréversiblement, leurs protéines, qui entrent, alors, en putréfaction, ce qui altère l’intestin, notamment, et favorise les stases fécales toxicogènes et toxinogènes, donc les infections et les infestations.
Un aliment qui a une longueur d’onde altérée, vibrant dans l’ultra-violet du spectre, ne peut pas entretenir une longueur d’onde de 6.500 Å minimum d’un Être vivant, surtout s’il est consommé habituellement comme base alimentaire.
Les carnassiers digèrent avec leur estomac, dont les sucs peuvent dissoudre les os, et ils expulsent leurs déchets digestifs avec leur intestin, qui est très court pour éviter la putréfaction des chairs, pourtant mangées crues, à l’état hautement « vibrant ».
L’Être humain, lui, en raison de sa constitution de frugivore, digère avec son intestin, qui est 4 à 5 fois plus long que celui des carnassiers.
Et les déchets digestifs résultant des viandes mortes, radio-dévitalisées, qu’il ingère, entrent en putréfaction, laquelle induit, dans son intestin et dans ses autres cavités organiques, un microbisme toxicogène et toxinogène, catastrophique, mettant à mal tous ses organes : son foie, ses reins, ses poumons, son cerveau, sa peau, ainsi que ses défenses naturelles, notamment.
Toutes les chairs animales cuites et archi-cuites, de même que les abats, les pâtés, etc., mènent au cloaque intestinal et à la même morbidité étio-pathogène et au même microbisme (et autres parasitismes).
Une nourriture à base de viande, comme c’est, notamment, le cas dans les pays dits développés, est effectivement étio-morbido-pathogène et, même, étio-mortigène, qu’on l’admette ou pas.
Pour s’en convaincre, il suffit de savoir qu’autrefois, au Mexique, les condamnés à mort n’étaient pas exécutés mais simplement soumis à une alimentation exclusivement composée de viandes cuite et de vin.
Ils passaient de vie à trépas en l’espace de quelques mois, seulement, dans d’horribles souffrances, par suite d’une rupture d’anévrisme généralisée.
On sait que la viande cuite altère les structures des vaisseaux sanguins. Mais le vin, lui, s’il n’est pas néfaste par lui-même, contient de l’alcool qui altère le foie ; mais, dès son ingestion, il se met à vibrer à la longueur d’onde humaine. Il absorbe l’énergie des électrons du corps, pour entrer en syntonisation avec lui. Conséquemment, il radio-dévitalise tout le système neuro-végétatif et hormonal. Il tue ce qui est vivant et conserve ce qui est mort.
Et, lorsque, habituellement, on associe l’amidonisme au viandisme, on altère la santé encore plus profondément.
Pour être vraiment nutrimentaire, ai-je déjà dit, un aliment doit être, à la fois, spécifique et naturel (cru) et avoir une longueur d’onde supérieure à 6.500 Å.
Ingérer de temps à autre un aliment radiant au-dessous de 6.500 Å n’est pas grave. Ce qui est nocif (étio-morbido-pathogène, étio-morbigène) c’est de ne consommer que des aliments radiant au-dessous de 6.500 Å.
En vérité, ce qui empêche les gens de mourir trop vite, c’est le fait qu’ils consomment, chaque jour, quelques aliments radiants au-dessus de 6.500 Å. Les aliments radiants au-dessous de 6.500 Å ne servent qu’à remplir la panse, à se rassasier, et à dire : « J’ai bien mangé ».
Oui, c’est vrai, mais bien manger n’est pas, forcément, bien nutrir.
Pour calmer la faim (stomacale) d’une population croissante (lapinisme humain) et, donc de plus en plus polluante, les humains, se disant omnivores, ont fabriqué quantité de faux aliments étio-morbido-pathogènes-mortigènes, lesquels calment la faim stomacale mais pas la faim cellulaire.
Les chairs animales sanglantes (le viandisme), surtout si elles sont cuites, provoquent, chez l’Être humain, des digestions pénibles, qui surmènent le foie. Elles échauffent, favorisent l’acidose tissulaire, la carence en Mg, en Ca, en K, en Na, en vitamines, C en particulier, les gingivites, les caries dentaires, l’arthrose, l’ostéoporose, l’artério-sclérose, les anévrismes, les céphalées, les dermatoses, la furonculose, les lithiases, etc., et le microbisme pathogène, les infestations parasitaires, comme déjà dit.
Mais calmer la faim avec des substances dénuées de tout nutriment hautement radiant (vibrant) c’est tromper la faim et les nécessités nutritionnelles (besoins vitaux) de l’organisme. C’est induire des carences vibratoires et bio-chimiques et, conséquemment, c’est a-dynamiser les fonctions d’assimilation et d’élimination. C’est produire et accumuler quantité de déchets digestifs et de résidus métaboliques ; c’est favoriser les stases fécales (constipation) et les surcharges tissulaires, notamment, donc ouvrir la porte aux pathologies.
Nos aïeux ne mangeaient de la viande que de temps à autres, notamment lors des grandes réunions de familles.
Le reste du temps, ils se contentaient de soupes de légumes, de diverses crudités végétales (salades) arrosées d’huile d’olive, accompagnées, parfois, d’œufs, de fromages, de beurre cru (dit fait maison), de pain (souvent de campagne), de fruits…
Ils n’étaient pas viandistes, comme la majorité de nos contemporains, et ils ne se portaient pas plus mal que nous, aujourd’hui, bien au contraire. Ma propre mère est décédée à l’âge de 105 ans. Elle aurait pu vivre bien plus longtemps, mais elle voulait mourir parce qu’elle s’ennuyait de plus en plus depuis la mort de son mari, 30 ans plus tôt. Le fait de vouloir vraiment mourir accélère l’échéance.
Tout aliment cuit, stérilisé, upérisé ou stabilisé par des radiations ionisantes ou par des substances chimiques, bref, qui se conserve durant des mois, voire des années dans un emballage de vente, classique, sont morts, radio-dévitalisés, radio-dévitalisants.
Par quel miracle pourrait-il entretenir la vie ?
Par quel miracle un œuf bouilli, par exemple, pourrait-il donner naissance à un poussin ?
La vie (donc la santé naturelle), ne peut être entretenue que par la vie, par des aliments vivants, vibrants, donc crus, et spécifiques, bien évidemment.
Par quel miracle un intestin altéré, a-dynamisé par des aliments morts, toxicogènes et toxinogènes, peut-il expulser toutes les matières fécales, tous les jours ?
Et ce qui valable pour l’intestin l’est aussi pour tous les autres organes.
Un vrai aliment, vraiment nutrimentaire, est vitalo-protecteur à son début et vitalo-draineur à sa fin, à l’exemple de fruits juteux, frais, crus, matures, comme, par exemple, la prune, la poire, le raisin, le kiwi, etc.
Les fruits crus, qu’ils soient juteux, frais ou secs sucrés ou secs gras, sont dynamisants, parce qu’ils ont, généralement, une radio-vitalité supérieure à 6.500 Å.
La dynamisation de tout l’appareil digestif, avec des aliments vivants, vibrants (et avec un mental positif), entraine la dynamisation de tous les autres organes.
On en revient toujours à la nécessité vitale d’obéir à la Loi Vitale :
– Du penser rectement (à l’endroit),
– Du manger-boire rectement (à l’endroit),
– Du vivre rectement (à l’endroit).
La médecine allopathique (de maladies), des effets, ne peut pas comprendre la conception de la médecine naturopathique (de santé naturelle), causale, parce qu’elle n’a pas vocation à faire de la santé naturelle, mais seulement à réprimer des symptômes ou à pallier, artificiellement, une insuffisance fonctionnelle, le tout à l’aide de substances chimiques, plus ou moins toxiques, iatrogéniques. Elle n’est, en vérité, qu’une médecine d’urgence et d’exception, complémentaire de la vraie Médecine de santé, laquelle devrait, logiquement, être appliquée en 1er lieu, avant toute médication.
L’allopathie est un système, et qui plus est un système de maladie, non un système de santé, comme la Naturopathie (la Vraie Naturopathie, celle que j’enseigne depuis plus de 60 ans).
Ce qui veut dire que le Ministre de la santé est, en vérité, le Ministre de la maladie.
Au sein des divers Gouvernements, vraiment « démocratiques », il devrait y avoir, logiquement, un Ministre de la santé à côté d’un Ministre de la maladie. Ce serait la parité, l’équité, la vraie liberté d’expression, la vraie justice.
Hélas, c’est loin d’être le cas.
Lorsque la force vitale homéostasique est, encore, suffisamment réactionnelle, elle expulse les aliments radio-dévitalisés, donc inutiles, donc plus ou moins toxiques, par des selles tri-journalières, voire par des crises de diarrhée, de vomissements.
Mais lorsqu’elle est trop affaiblie, par suite de divers stress constants, de surmenage physique ou intellectuel, d’un intense travail des yeux fixés sur un écran d’ordinateur, durant 8 à 10 heures par jour, elle ne peut réagir suffisamment, d’où la constipation (les stases fécales toxicogènes et toxicogènes), la porosité de l’intestin, l’auto-intoxication, la contagion par un microbe exogène et les divers symptômes, qui peuvent conduire en réanimation…
Courbe de fatigue et courbe de dévitalisation sont les mêmes. Elles se superposent.
Tout ce qui dévitalise fatigue et tout ce qui fatigue dévitalise.
Or, toute substance anti-spécifique et dénaturée, qui radie à 1.000 ou à 0 Å, vide l’organisme de son énergie vitale pour entrer en syntonisation avec celui-ci (pour vibrer à son diapason), d’où la fatigue, la dévitalisation.
Or, un organisme radio-dévitalisé et a-dynamique est, conséquemment, en insuffisance fonctionnelle. Et c’est cette perte de rendement organique qui entraine les mauvaises digestions, les mauvaises assimilations et les mauvaises éliminations, d’où une accumulation de déchets digestifs (stases fécales) et de résidus métaboliques (cause d’acidose, etc.).
Et c’est cette morbidité (crasse humoro-cellulaire) qui entraine une réaction (révolte) d’auto-défense organique visant à l’expulser, d’où l’apparition de symptômes qui effrayent la personne qui est affectée et qui est pris pour une « maladie » par la Médecine allopathique usuelle (chimique), dite conventionnelle.
Et c’est cette ré-action normale (physio-biologique), d’auto-défense, qui est appelée « maladie » par la médecine allopathique et crise épurative par la médecine naturopathique.
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2ème PARTIE
Degré de radio-vitalité dans les états pathologiques.
Rappelons que la longueur d’onde d’un Être humain en santé naturelle varie de 6.500 Å à 10.000 Å (et parfois plus).
Au-dessous de 6.500 Å il est plus ou moins radio-dévitalisé. Il y a, donc, des degrés de dévitalisation. Et, à chacun de ces degrés, correspond une pathologie donnée.
Ci-après, nous indiquons les pathologies correspondant à ces degrés de dévitalisation, degrés établis par le physicien BOVIS :
• 6.250 Å : amibe dysentérique,
• 6.200 Å : choléra, bacille du chancre mou,
• 6.000 Å : zona,
• 5.700 Å : spirochaeta bronchaoli,
• 5.600 Å : streptocoque, bacille typhique, hérédo-syphilis, micrococus mélitansis, pneumocoque,
• 5.595 Å : rougeole,
• 5.525 Å : tréponème pâle (syphilis), bacille de Pfeiffer (grippe), bacille de Koch (tuberculose),
• 5.505 Å : Paludisme intra-globulaire,
• 5.500 Å : microfilaire,
• 5.460 Å : influenza, spirulus volutans,
• 5.400 Å : colibacille de la peste, bacille de la morve, association frix spriliraire, microbe peri-pneumonie des bovidés, fausse diphtérie, staphylocoque,
• 5.100 Å : spirille, fièvre récurrente,
• 5.000 Å : colibacille,
• 4.900 Å : proteus vulgaris (de la putréfaction), cocobacille acridorium, tétanos,
• 4.875 Å : cancer,
• 4.500 Å : diphtérie, gonocoque (blennorragie),
• 4.475 Å : grippe
• 4.200 Å : scarlatine,
• 4.000 Å : bubon,
• 3.800 Å : bactéridie du charbon,
• 3.500 Å : vibrion septique (gangrène),
• 3.400 Å : trypanosoma Gambiense, trypanosoma dimorphon (maladie du sommeil),
• 3.250 Å : Rhumatismes,
• 3 100 Å : Méningocoque (méningite).
Comme on le constate, les maladies les plus courantes se situent au-dessous de 6.500 Å, généralement entre 6.250 Å et 3.000Å.
A. SIMONETON fait remarquer que la longueur d’onde de la tuberculose, qui radie à 5.525 Å, correspond à celle de la viande crue de deux jours (hors frigo) et à un œuf de 11 jours ( hors frigo)…Que le cancer, qui radie à 4.875 Å, correspond à celle de la viande crue de 3 jours (hors frigo), que le rhumatisme, qui radie à 3.250 Å, correspond à celle de la viande crue (hors frigo) de 4 jours et à celle d’un œuf cru de 24 jours (hors frigo).
Par ailleurs, on a constaté que la viande crue (hors frigo), dont la longueur d’onde est de 4.875 Å, émet une odeur (fréquence vibratoire) qui attire la mouche verte qui pond, alors, sur elle, ses œufs blancs, lesquels donnent naissance à des asticots, lesquels trouvent, là, leur nourriture pré-digérée par la décomposition.
Cela doit faire réfléchir les malades, en général, et les médecins, spécialistes des parasitoses ou des cancers, en particulier.
A. SIMONETON fait, régalement, remarquer que le pain blanc froid a, lui aussi, une longueur d’onde correspondant à celle du cancer (4.875 Å).
C’est dire que la consommation de sandwichs préparés au pain blanc et à la viande est très nocive pour tous mais surtout pour les cancéreux.
Manger, de temps à autre, un sandwich au pain blanc et à la viande n’a jamais tué personne, mais ce qui est nocif c’est d’en manger souvent. Cela affaiblit la force vitale extrinsèque du corps physique et, conséquemment, la force vitale intrinsèque, ré-actionnelle, du Sub-Conscient, lequel, alors, s’épuise (se vide) à tenter de normaliser la longueur d’onde physio-biologique de 6.500 à 7.000 Å, minimum, à travers le système neuro-végétatif et hormonal, qui est son principal outil expressionnel.
Résultat : dystonie neuro-végétative et hormonale, a-dynamisme organique, insuffisance fonctionnelle, éliminations ralenties et, donc, incomplètes et, conséquemment, accumulation de déchets digestifs et de résidus métaboliques, constitutive d’une morbidité (encrassement humoro-cellulaire), qui ouvre la porte aux diverses infections (microbisme), aux diverses infestations (parasitisme), aux diverses lésions, aux diverses inflammations réactionnelles, notamment.
Tout commence par une allergie, puis un prurit, une irritation, une inflammation, une ulcération, pour se terminer en cancérisation.
Si, de nos jours, les gens, en règle générale, mangent trop et trop souvent, c’est parce qu’ils sont gourmands, comme les porcs, et c’est, aussi, parce que les aliments dont ils se gavent sont morts, vides de radiations vitalo-protectrices, et que, de ce fait, leurs cellules crient famine, alors qu’elles sont déjà étouffées, asphyxiées, par la morbidité étio-pathogène qui en résulte.
Les maladies non accidentelles, avons-nous dit, résultent d’un effort psychorganique d’élimination de la morbidité accumulée par suite d’un amoindrissement, plus ou moins important, du degré de la force vitale, réactionnelle.
Donc, il s’agit, là, d’un problème de Terrain psychorganique plus ou moins infect (donc infectieux) et non pas d’un facteur favorisant, comme les microbes, par exemple.
Consommer, habituellement, les faux aliments (ceux qui ne sont ni spécifiques ni naturels) nous dévitalisent et nous encrassent et, conséquemment, finissent par nous rendre malades, de trois façons principales :
a) Premièrement parce qu’ils n’apportent pas d’énergie radiante (de type bio-électromagnétique), ce qui oblige l’organisme à épuiser ses réserves,
b) Deuxièmement parce qu’ils volent l’énergie vitale de l’organisme pour s’équilibrer osmotiquement, comme l’eau distillée et/ou bi-distillée, ce qui diminue, encore plus, le degré de la force vitale,
c) Troisièmement parce qu’ils apportent, à l’organisme, une grande quantité de substances inutilisables, donc plus ou moins toxiques, comme les molécules de Maillard, les acroléines, etc., constitutives d’une morbidité, contre laquelle l’organisme va mobiliser toutes ses forces vitales, déjà affaiblies pour toutes ces raisons, pour essayer de l’éliminer afin de ne pas en mourir.
Et c’est cette usure vitale, inutile, qui rend le Terrain propice à toutes les agressions, externes et internes, et aux pires dégradations psychorganiques.
Après un intense effort d’élimination, on peut se trouver littéralement épuisé, sans force, ce qui nécessite, alors, un repos forcé, plus ou moins prolongé, appliqué sur la base d’une véritable hygiène de vie (penser à l’endroit, manger-boire à l’endroit, vivre à l’endroit, conformément à la loi vitale de symétrie cosmique, qui régit tous nos processus vitaux, qu’on l’admette ou pas).
Voici un « remontant » naturel préconisé par A. SIMONETON, qui affirme que cela l’a aidé à se guérir, seul, de sa tuberculose pulmonaire, qui l’a affecté durant 3 ans.
« Ingérer, tous les matins, durant au moins 15 jours par mois, une dissolution de 2 coquilles d’œuf, fraiches, non bouillies, finement broyées (au Mixeur-Blender), dans du jus frais de citron (très mur), radiant à 14.000 Å.
« Cette très haute radiation ne dure que 72 heures dans une glacière ».
Bien entendu, il ne faut ingérer que le liquide (solution) enrichi de calcium naturel fourni par les coquilles d’œufs, que l’on prend soin de bien brosser, sous l’eau courante, avant de casser les œufs, lesquels doivent être issus de poules saines, vivant en liberté totale dans la Nature naturelle et supplémentées aux céréales issues de culture biologique.
Toutefois, rappelons que l’on cultive, également, la force vitale intrinsèque, bio-catalysante, avec des sentiments positifs (symétriques) et que l’on cultive, également, la force vitale extrinsèque (à bio-catalyser) avec des aliments spécifiques et naturels (crus à 100%), dits ortho-biologiques, d’où nécessité vitale d’une hygiène à la fois mentale et physique (alimentaire et existentielle).
L’aliment est un élément du puzzle, comme la main droite, par exemple.
Et le mental est également un élément du puzzle, comme la main gauche, par exemple.
Pour pouvoir applaudir, il faut deux mains, mises en phase.
Là est le secret de la vraie santé (naturelle), donc de la vraie médecine de santé (psycho-biologique).
Autrement dit, l’aliment ortho-biologique seul ne suffit pas pour faire ou pour refaire de la santé (naturelle, c’est-à-dire sans médicament). Cela dit, il est d’importance capitale, mais doit, également, être étayé par une hygiène existentielle, dépourvue de toute toxico-manie.
Dans les Cliniques et les Hôpitaux classiques (allopathiques), privés ou publics, on « nourrit » ( ?) les malades qui y séjournent uniquement avec des aliments cuits, voire archi-cuits (totalement radio-dévitalisées), par peur des microbes.
Ainsi, on remplit leur panse mais leurs cellules s’encrassent et crient famine, d’où le faible taux de vraies guérisons, les rechutes, les complications, parfois la mort.
C’est en épurant l’organisme, d’abord, et en le re-vitalisant, ensuite, avec du repos physique et mental, avec un sommeil profond et suffisant, avec des aliments frais, crus, hautement radiants, avec de l’air oxygéné, avec une re-positivation mentale effective, que l’on fait remonter, progressivement, le degré minimum (6.500 Å) de la vitalité.
Plus la radio-vitalité (immunité primitive) est élevée (entre 6.500 et 10.000 Å) et plus celle-ci « court-circuite » la radio-vitalité des microbes dits pathogènes, laquelle vibre au-dessous de 6.500 Å, comme on l’a constaté dans les pages précédentes.
La contagion, que l’on confond avec la contamination, n’est pas due aux microbes dits pathogènes mais au Terrain psychorganique radio-dévitalisé.
C’est la faiblesse du Terrain qui fait la force des microbes dits pathogènes, exogènes et même autogènes ; et c’est le degré de toxicité (morbidité) du Terrain qui fait le degré de virulence du microbe dit pathogène.
Pour éliminer les microbes dits pathogènes, toxicogènes et toxinogènes, il suffit d’épurer l’organisme et de le revitaliser, ce qui revient à dire ce qu’a dit le Dr Claude BERNARD :
« Le microbe n’est rien. C’est le Terrain qui est tout ».
Qu’ils soient exogènes ou autogènes, les microbes dits pathogènes ne sont pas des facteurs favorisants par suite de la virulence de leurs excrétions toxiques et toxiniques, dictée par la virulence du Terrain infect.
Essayer de les détruire avec des antibiotiques ou des anti-viraux classiques ou avec des huiles essentielles c’est agir sur l’effet, tout en laissant subsister la morbidité qui en est la cause véritable.
Le médecin allopathique, aveuglé par le microbe, a tort de ne voir que lui.
En effet, une semence n’est rien par elle-même, sans la prédisposition du Terrain (du sol) dans lequel elle s’est introduite ou on l’a introduite.
Allez, donc, semer des graines de légumes ou de fruits dans le sable désertique, déshydraté, du Sahara, par exemple, où rien ne peut pousser.
C’est là que l’on voit que c’est le Terrain qui fait ou défait la vie.
Mais, le Terrain, qui s’exprime essentiellement à travers le système neuro-végétatif et hormonal et à travers les liquides humoraux physiologiques (bouillon de culture cellulaire), n’est pas que physique (organique) ; il est, aussi, mental (psychologique), notion totalement oubliée en médecine allopathique.
Autrement dit, un Être vivant sain émet une onde de 6.500 Å minimum. Il a, donc, de ce fait, une radio-vitalité (de type bio-électro-magnétique) suffisamment forte pour résister à des radiations inférieures à sa propre émission.
Au contraire, un Être malsain, qui émet une onde inférieure à 6.500 Å, donc, ayant une faible radio-vitalité, n’aura pas suffisamment de force ré-actionnelle pour résister à l’influence néfaste d’une radiation inférieure émise par un élément exogène, en l’occurrence par une bactérie ou un virus exogène ayant pénétré en lui.
Voici ce qu’écrit A. SIMONETON :
« En mesurant la longueur d’onde des Êtres humains, il est possible de connaitre leur état de puissance et de réserve en radiation atomique (en radio-vitalité) ».
À propos des cancéreux, notamment, il précise que leur longueur d’onde est de 4.500 à 4.900 Å et qu’on peut la mesurer 6 à 8 mois avant l’apparition du premier symptôme douloureux ou visibles.
Et il ajoute :
« Pour ne pas être malade d’une maladie quelconque, il suffit d’être en radio-vitalité élevée, et pour cela de ne s’alimenter qu’avec des aliments ayant une radiation élevée ».
Or, les aliments humains qui ont une radiation élevée sont, justement, les fruits crus, matures, et les légumes frais, crus, non « farineux » (tous agro-biologiques, de préférence), les œufs frais, crus, les chairs animales crues issus d’animaux vivants, comme les huitres, les palourdes, etc., cultivées en mer, sainement, loin des villes et de leurs déjections contaminantes, puis les fromages frais, bien égouttés, fabriqués avec du lait cru, de Chèvre et/ou de Brebis vivant naturellement sur des pâturages sauvages (naturels), non chimiqués.
Les aliments radio-dévitalisés favorisent la dysbiose (l’altération du microbiote intestinal et des autres cavités organiques) et, conséquemment, affaiblissent la force vitale générale, d’auto-défense, c’est-à-dire l’immunité primitive.
En affaiblissant la force vitale, on affaiblit les fonctions de digestion, d’assimilation et d’élimination. On favorise, aussi, l’atonie intestinale, les stases fécales, donc les fermentations anormales et les putréfactions intestinales. Et les éléments du microbiote intestinal, rendus malades, se mettent à proliférer massivement, dans ces stases, en sécrétant de redoutables toxines, qui empoisonnent tout l’organisme, ce qui le dévitalise encore plus, mettant à mal le foie et, par conséquent, les immunités naturelles.
Ces microbes, dits pathogènes, par dégénérescence, peuvent muter et engendrer des virus encore plus virulents, qui amoindrissent encore plus la vitalité générale. Pour sortir de ce cercle vicieux, il faut, alors, purger et drainer (épurer) sérieusement le foie, sa vésicule, et l’intestin, bref expulser les fermentations et les putréfactions intestinales toxicogènes et toxinogènes. Et, après avoir bien vidangé ces organes, il convient de pratiquer une journée de jeûne hydrique, suivi de quelques jours de monodiète aux fruits juteux, crus, bien murs, ou aux légumes aqueux, crus, frais (non farineux), puis d’adopter (en mode existentiel) une alimentation ortho-biologique, hautement vitalisés (vitalo-protectrice). C’est la logique d’une vraie médecine de santé, toujours appliquée, bien sûr, sur la base d’une re-positivation mentale et d’une hygiène de vie stricte. C’est ça le fondement de la Sagesse (de l’intelligence du Cœur, qui n’est pas l’intellectualisation idiote dont l’humain est généralement si fier).
Les vaccins ne font que stimuler l’immunité secondaire (par les anticorps antigéniques). Ils n’immunisent, éventuellement, que pour les microbes exogènes mais pas pour les microbes autogènes, ceux résultant de l’altération de nos microbiotes cavitaires, qui sont fabriqués par nous. Ils n’augmentent pas le degré de l’immunité primitive (la radio-vitalité).
Les stases fécales (pudiquement appelées « constipation »), qui ne sont pas, hélas, le souci majeur de la médecine de maladie (allopathique, chimique), affectent, de nos jours, la presque totalité des humains du Monde entier.
Elles constituent le principal facteur du microbisme, des épidémies et des pandémies, qu’on l’admette ou pas.
L’alimentation habituelle, morte (radio-dévitalisée ou fausse, est, à 90 %, le premier responsable de ce microbisme épidémique et pandémique. Le deuxième responsable est le stress par suite d’un penser habituellement négatif, conflictuel, hyper-sympathicotonisant, radio-dévitalisant. Et le troisième responsable est le droguisme (l’usage habituel de tabac, d’alcool, de médicaments, d’overtoniens, de sucreries, etc.), qui radio-dévitalise celles et ceux qui s’y adonnent, auquel viennent s’ajouter d’autres radio-dévitalisants (les polluants environnementaux, les métaux lourds, les pollutions électro-magnétiques, les résidus de pesticides, d’OGM, d’engrais chimiques, d’hormones de croissance, d’antibiotiques, les bruits infernaux, les abus orgasmiques, l’insomnie, le noctambulisme, le surmenage physique et/ou intellectuel, les conflits socio-professionnels et/ou familiaux et/ou conjugaux, la sédentarité, la sous-oxygénation, etc.).
Le café au lait de vache bouilli, un autre facteur morbido-pathogène, qui favorise les leucorrhées (pertes vaginales blanches, verdâtres, jaunâtres) et qui disparaissent par suite de la suppression totale de ce faux aliment, radio-dévitalisé.
Tant que le degré de radio-vitalité ne chute pas au-dessous de 6.500 Å ou tant que le Terrain puise dans ses réserves vitales, ou ne rend pas compte des altérations organiques provoquées par les faux aliments et par les vrais aliments mais radio-dévitalisés (morbido-pathogènes).
Toutes les fautes existentielles commises par les humains en matière de santé est le fait de leur ignorance (souvent cultivée) et/ou de leur refus de se corriger quand ils connaissent ce que nous enseignons ici.
Est étio-morbido-pathogène, voire étio-mortigène, tout ce qui radio-dévitalise directement ou qui induit une dévitalisation en obligeant l’organisme à lutter contre une nocivité quelconque, qui lui fait perdre de l’énergie vitale. C’est, notamment, le cas des mauvaises odeurs, des radiations ionisantes, des rayons X, radium, thorium, cobalt, et de leurs isotopes, de la radio-thérapie classique (dite anti-cancéreuse), qui brûle les cellules, induisant des blessures ou brûlures graves ; c’est, également, le cas des drogues, des overtoniens, des médicaments, des vaccins, des coups violents, du froid ou du chaud excessifs, des microbes exogènes, des faux-aliments ou des vrais aliments radio-vitalisés, des abus orgasmiques, de la sous-oxygénation, de l’acidose tissulaire, des stress en tout genre, etc.
Le principe de la médecine de santé (psycho-biologique) est, justement, d’aider une personne dévitalisée à se revitaliser, à accroitre la force vitale de son Terrain psychorganique, bref son immunité primitive, auto-défensive. Mais avant de pouvoir re-vitaliser, il faut purger, drainer, épurer, bref désintoxiquer, tant le mental que le corps physique.
Mais comment faire comprendre cette logique aux personnes formatées (programmées) à l’envers, depuis leur naissance, par des parents, des éducateurs et autres enseignants ignorants et, par la suite, par des média, notamment, tout aussi ignorants, tous mentalement bornés et sclérosés dans leurs fausses croyances et la pensée unique, comme si les instances officielles avaient la science infuse et le monopole du savoir.
Retenons que tous les Êtres vivants radient, émettent, un champ de force, radiant (de type bio-électro-magnétique) dans lequel se superposent deux ondes : l’une extrinsèque (physique, matérielle), l’autre intrinsèque (psychique, immatérielle, méta-physique), la première, à catalyser, étant supportée par la seconde, catalysante.
La première dépend du physique (du Vouloir abstracteur), la deuxième du psychique (du Pouvoir concrétiseur).
Lorsque l’onde du Vouloir se superpose à l’onde du Pouvoir les deux ondes superposées (en vibrant au même diapason) engendrent une troisième onde, un phénomène de résonnance, qui a un effet de type bio-électro-magnétique, très puissant, magique, qui neutralise les radiations négatives, étio-morbido-pathogènes, comme celles des microbes dits pathogènes.
Une radiation plus forte détruit une radiation plus faible. Or, la radiation d’un Être humain en santé naturelle fait 6.500 Å, minimum, alors que celle des micro-organismes dits pathogènes ne fait que 6.000 Å maximum, comme le virus du zona, qui est un élément dégénéré de notre propre microbiote intestinal, fabriqué par nous.
Les microbes ne sont que des saprophytes éboueurs, des mangeurs de morbidité. Ils nous aident à nous épurer. Ils ne sont dominés que par leur trophisme. Ils n’ont pas une finalité pathogène. Leur degré de virulence est dicté uniquement par le degré de radio-dévitalisation et, conséquemment, de morbidité (de crasse) du Terrain psychorganique.
Un malade ne peut pas se guérir radicalement de quoi que ce soit tant qu’il n’élimine pas sa pourriture mentale, qui induit sa pourriture physique, toutes deux se traduisant non seulement par des maladies mais aussi par des échecs existentiels en tous genres (conjugaux, familiaux, socio-professionnels, financiers, etc.).
La Nature se venge sur tous ceux qui dédaignent ses exigences. Elle nous oblige à nous servir de ses bactéries, car il s’agit d’une loi naturelle…
Dr Johannes KUHL
Qu’est-ce que la pourriture mentale ?
Est mentalement pourri toute personne qui pense à l’envers de la loi vitale de symétrie cosmique qui régit tous nos processus vitaux, donc toute personne qui vole, qui arnaque, qui ment, qui se moque, qui cultive la haine, les colères, les ressentiments, la jalousie, l’envie, l’égoïsme, l’orgueil, la vanité, le mépris, la cruauté, etc.
Et parlant aux gens sans foi ni loi, Jésus, qui était un très grand Naturopathe, disait, notamment, ceci :
« À l’extérieur de vous, vous êtes beaux comme les pierres tombales des cimetières. Mais, à l’intérieur de vous, vous êtes aussi corrompus (pourris) que les cadavres qu’elles recouvrent ».
Ceci rejoint ce que Napoléon BONAPARTE a dit, un jour, à TALLEYRAND-PÉRIGORD, qui était son Ministre des Affaires étrangères : « Vous n’êtes que de la merde dans un gant de soie ».
Alors comment faire pour être en santé naturelle ?
Pour conserver sa santé naturelle ou pour la retrouver après l’avoir ébréchée, il faut, tout simplement, obéir à la Loi vitale de symétrie cosmique qui la régule (qui régit tous nos processus vitaux).
« On ne commande bien à la Nature qu’en obéissant à sa Loi » (Francis BACON, Philosophe 1561 – 1626).
Cette loi est celle de la symétrie, du parfait équilibre, de la neutralité, du juste milieu, de la justesse (justice).
50
50
La neutralité des sentiments, qui fait la perfection, la vie pérenne.
La justesse a pour base la logique, qui dit que, logiquement, le parfait équilibre est dans le 50/50.
Tout raisonnement logique, basé uniquement sur la logique, est scientifique. Par conséquent, tout ce qui est illogique est anti-scientifique.
Est-ce logique de penser à l’envers de la loi vitale, de manger-boire à l’envers de la loi vitale, de vivre à l’envers de la loi vitale ?
La réponse logique est, évidemment, non.
Et, pourtant, c’est ce que font tous les humains du monde :
• Penser à l’envers,
• Manger-boire à l’envers,
• Vivre à l’envers.
Et, après cela, ils s’étonnent de tomber malades, de puer, d’être morphologiquement laids…et la proie des épidémies et des pandémies.
« L’Être vivant, a écrit DIDEROT, est un Être naturel au-dedans duquel il ne faut pas introduire un Être artificiel ».
Et c’est, pourtant, ce que font presque tous les Êtres humains du Monde entier.
Mettre un Être artificiel dans un Être naturel c’est y mettre ou y faire naître quantité de poisons.
Le penser à l’envers (négatif) fait tourner à l’envers les moteurs cellulaires et leur fait fabriquer des poisons endogènes.
Le manger-boire à l’envers (anti-biologique) apporte quantité de poisons issus des molécules de Maillard par suite de cuisson, de stérilisation, d’upérisation, notamment, mais apporte, aussi, des résidus d’engrais et de pesticides chimiques, d’OGM, d’hormones de croissance et d’antibiotiques vétérinaires, ainsi que des métaux lourds et des œstrogènes environnementaux, sans compter les additifs, plus ou moins toxiques, dont sont truffés les aliments industrialisés.
Le vivre à l’envers (anti-hygiénique) apporte, également, quantité de poisons issus de la consommation de substances plus ou moins toxiques, socialement acceptées, telles que tabac, drogues, alcool, médicaments, overtoniens, sucreries diverses, etc., auxquels poisons viennent s’ajouter les poisons résultant de la sédentarité, de la sous-oxygénation, du noctambulisme, de l’insomnie, du surmenage, etc.
Bref, les stress psychologiques et les stress biologiques induisent une radio-dévitalisation et, conséquemment, une morbidité étio-pathogène par suite d’une diminution concomitante des fonctions de digestion, d’assimilation, d’élimination… Ils peuvent être mortels.
Pour acquérir la santé naturelle, base du Bonheur, il faut corriger, simultanément, les 3 paramètres suivants :
1°) Le penser à l’envers,
2°) Le manger-boire à l’envers,
3°) Le vivre à l’envers.
Agir rectement par une hygiène vitale stricte, c’est lutter contre tous les polluants du Milieu externe, environnemental, et du Milieu interne, psychorganique, qui altèrent quantité d’éléments de nos microbiotes cavitaires (intestinal, notamment), lesquels, par dégénérescence, mutent en engendrant des bactéries dites pathogènes, lesquels peuvent, également, muter, toujours par dégénérescence causée par un surplus de poisons psychorganiques, et engendrer, à leur tour, des virus, dits pathogènes, que l’on trouve dans les épidémies et pandémies de grippes, de Covid 19, notamment.
L’alimentation gastro-omnivoriste, anortho-biologique (anti-spécifique et dénaturée), de l’humain actuel contribue, largement, à cette dégénérescence. Le viandisme, l’amidonisme, le sucrisme, le médicamentisme, le chimisme et le cuissonisme en sont les principaux facteurs.
La viande stimule, affirme-t-on, généralement, mais cette stimulation est due, essentiellement, à la ré-action de défense organique (qui mobilise un surcroit d’énergie vitale) contre les toxines et les toxiques qu’elle apporte quand elle est à l’état second, issue d’animaux nourris anti-biologiquement et quand on la consomme surtout à l’état cuit.
La malbouffe (radio-dévitalisée, radio-dévitalisante) favorise, effectivement, la constitution d’un Terrain infectieux, et ce d’autant plus que les individus qui s’y adonnent sont, habituellement, mentalement infectieux, surtout si, en plus, ils ont une hygiène de vie déplorable, radio-dévitalisante par abus orgasmiques, noctambulisme, et autres facteurs intoxicants (alcool, sucreries, overtoniens, amidons, viandes, drogues, médicaments, tabac, sédentarité, sous-oxygénation, etc.).
Pour faire remonter le degré de vitalité, il convient donc de se corriger :
1°) De supprimer tout ce qui l’abaisse, l’amoindrit, donc, en premier lieu, les sentiments négatifs, qui sont particulièrement morbido-pathogènes et, même, mortigènes, les stases fécales (la « constipation »), les poisons pré-cités, les faux-aliments, les faux-remèdes de bricolo-thérapie. Les abus orgasmiques, le surmenage, l’insomnie, les bruits infernaux, etc.,
2°) De respirer et sur-respirer profondément, durant au moins 15 à 20 minutes le matin et autant le soir, parce que c’est par l’inspiration nasale (rhinencéphalique) qu’entre, en nous, la force vitale intrinsèque (cosmique) qui assure toutes les fonctions catalysantes et enzymatiques de nos cellules, donc l’assimilation et la désassimilation s’exprimant à travers le système neuro-végétatif et hormonal, notamment.
3°) De se nutrir d’aliments vivants, vibrants, qui aident à nous « vitaliser » à leur début et à nous « drainer » à leur fin, quitte à broyer finement au Mixeur (Blender) les crudités végétales à celluloses dures pouvant irriter douloureusement (colite) la muqueuse intestinale déjà altérée (irritée, enflammée) par les faux aliments habituels et par les poisons environnementaux et socialement acceptés.
Sans oublier de faire, au moins une fois par semaine, un bain chaud (entier) transpirant, aux huiles essentielles relaxantes, hydro-solubilisées ortho-biologiquement. Mais, attention, un bain hyper-calorique qui fait suer abondamment mobilise la force vitale et ne doit pas être réalisé lorsqu’on est, déjà, épuisé.
Néanmoins, il est bon de savoir que ce type de bain présente plusieurs avantages :
1°) Il stimule l’activité de la peau et, à travers elle, l’élimination des poisons que les autres émonctoires naturels n’ont pas pu éliminer par suite de leur insuffisance fonctionnelle due à nos fautes existentielles quasi-permanentes.
2°) Par les infra-rouges longs qu’il émet et par son hyper-vascularisation, il induit une fièvre artificielle qui aide à détruire nos virus, lesquels tendent à proliférer au sein de nos tissus peu vascularisés et, conséquemment, plus ou moins refroidis (comme dans le cas d’un « refroidissement », par exemple).
Ainsi dégagé d’un surmenage dégénératif, le foie peut, enfin, assurer l’épuration et la régénération de l’organisme. On voit, alors, disparaître, plus ou moins rapidement, les symptômes caractérisant nos divers maux.
Ceci peut être expliqué par l’épuration de nos liquides humoraux physiologiques (sang + lymphe + fluides lacunaires) et par la régénération de nos cellules, de nos tissus, sous l’effet des radiations vitalo-protectrices fournies par les aliments vivants (vibrants).
On remarque cette amélioration par une amélioration du transit intestinal (re-dynamisé), libérant les selles au moins deux fois par jour, également par des selles presque inodores, de couleur marron foncé, moulées et facilement expulsées.
En même temps que disparaissent les putréfactions intestinales, donnant des selles putrides, pestilentielles, une bouche pâteuse et une mauvaise haleine, la langue (habituellement chargée, crasseuse) devient rose, l’haleine plus douce, plus neutre, et les urines, à leur tour, habituellement chargées et, souvent, nauséabondes, deviennent plus claires, plus neutres….
Aucune amélioration sérieuse, effective, ne peut se réaliser naturellement sans vidange intestinale (purgation diarrhéique) avant tout, jeûne hydrique nutrimentaire d’une ou deux journées consécutives, lui-même suivi d’une monodiète aux fruits juteux, crus, frais, matures, pelés (si l’on n’est pas diabétique insulino-dépendant) ou aux légumes aqueux, crus, frais, non farineux, d’une durée de 3 à 7 jours consécutifs, elle-même suivie d’une alimentation 100 % spécifique et naturelle, techniques naturopathiques pratiquées sur la base d’une re-positivation mentale, effective, d’une sur-respiration rhinencéphalique et d’un sommeil profond, de longue durée, notamment.
En se nourrissant ortho-biologiquement, on se nutrit mieux, on se revitalise bien, nos cellules ne crient plus famine, on mange moins, on se porte mieux, on reprend son poids physiologique de sa jeunesse, on rajeunit réellement et, conséquemment, on s’éloigne des diverses infections et des diverses infestations (parasitoses) qui molestent les gens crasseux (mentalement et, conséquemment, organiquement).
La première chose à faire, chaque matin, au saut du lit, c’est de tirer la langue à un miroir pour examiner son état net (rose) ou crasseux.
Une langue chargée (crasseuse), souvent accompagnée d’une haleine de chacal, indique un encrassement du foie, de la vésicule biliaire et de l’intestin, donc la nécessité de les épurer, ortho-psycho-biologiquement.
L’estomac, le foie et l’intestin doivent servir silencieusement l’organisme sans lui faire dégager des mauvaises odeurs, toxiques.
« Sortir de table, écrit A. SIMONETON, en dégrafant sa ceinture ou en s’esclaffant « Comme j’ai bien mangé ! » est une référence de mauvais aloi ».
On doit manger pour vivre non pour le plaisir gustatif.
Se nutrir ortho-biologiquement est, à la fois, un savoir, un apprentissage, un devoir, une discipline, une maitrise de soi, une maitrise de ses faux désirs, de ses faux besoins, de ses fausses croyances, qui poussent aux comportements aberrants, étio-morbido-pathogènes, voire mortigènes.
Il faut prendre l’habitude de résister à l’envie de penser à l’envers, de manger-boire à l’envers, de vivre à l’envers, bref de faire comme tous les ignares, qui croient savoir alors qu’ils ne savent pas qu’ils ne savent rien.
Il vaut mieux être un original qu’un mouton de panurge irréfléchi, irresponsable, heureux d’être imbécile.
Les cuisiniers sont des chimistes qui s’ignorent et qui ignorent totalement l’art et la science de la nutrition recte, donc l’art de crusiner. C’est pour combler cette lacune que mon assistante et collaboratrice, Madame Marie FERHAT, Docteur en Biologie et Nutrition humaines, a rédigé, en ce sens, un livre plein de recettes crues, aussi savoureuses que nutritives.
On se nutrit mieux avec des fruits crus, matures, avec des légumes crus, frais (non farineux), des œufs frais (de bonnes provenances) et des fromages frais (bien égouttés) au lait cru de chèvre ou de brebis, qu’avec de la viande, de la charcuterie, des farineux, des fromages fermentés (surtout ceux fabriqués avec du lait de vache), des conserves classiques (cuites) et des fruits cuits (ou en compotes industrielles, notamment).
Les aliments cuits nous gavent, mais ne fournissent pas à nos cellules toute l’énergie radiante dont elles ont impérieusement besoin pour faire fonctionner leurs moteurs bio-électro-magnétiques d’assimilation et de désassimilation (d’élimination). Ils remplissent la panse, donnent une impression de satiété, mais ils nous font mourir de faim cellulaire, insidieusement.
Ils sont, certes, très appétents, par suite des arrangements aromatiques et culinaires, mais ils ont le grave défaut de nous faire manger beaucoup, sans combler, cependant, nos multiples carences vitales.
C’est à cause de cela qu’ils nous encrassent énormément.
Les aliments crus (et spécifiques), par contre, sont nutritifs, mais moins appétents, à part les fruits mûrs ; et c’est, aussi, à cause de cela que l’on en mange moins, ce qui nous maintient sveltes et dynamiques.
En fait, l’alimentation classique, de type gastronomiste-omnivoriste, conduit à la sur-alimentation étio-morbido-pathogène, des diabétiques, des arthrosiques, des ostéoporosiques, des obèses et autres ventripotents, notamment.
A. SIMONETON cite des catégories de personnes qui se nutrissent de peu tout en effectuant des travaux pénibles, tel ce terrassier qui se contente d’un repas de tomates crues, d’oignons crus et de pain fabriqué à l’ancienne avec du blé complet.
« Quel est l’ouvrier français ou le parisien bureaucrate, écrit-il, qui se contenterait d’un tel repas ? »
Et, avec juste raison, il ajoute :
« Il est grand temps que l’on considère l’alimentation comme un problème scientifique et que les repas cessent d’être ces passe-temps réglés par la seule anarchie de nos goûts ».
Dès que l’on ingère un aliment spécifique et naturel (cru) frais et agro-biologique, riche en radiations vitalo-protectrices nutrimentaires, directement assimilables par la muqueuse sub-linguale, notamment, qui augmentent la radio-vitalité de l’organisme, on ressent, presque aussitôt, un certain bien-être euphorisant.
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3ème partie
L’alimentation ortho-biologique
Normalement, on devrait se nutrir de la façon suivante :
A. – Le matin (après brossage des dents et de la langue) :
• Fruits frais, juteux, matures, crus (mangues, poires, prunes, bananes, pommes, kiwis, kakis, pêches, raisins, mandarines, figues fraiches, etc.), à satiété, mais en mastiquant et en insalivant bien la bouchée.
Éventuellement, en complément, dattes, pruneaux, abricots et raisins secs, figues sèches ou noix, noisettes, amandes douces…
Les pruneaux doivent être mis à macérer dans du jus de pruneaux ou dans de l’eau de Volvic, la veille au soir, après les avoir entaillés au couteau.
Ce « petit » déjeuner ne doit pas être, simplement, un déjeuner, mais un vrai repas.
Si l’on est en hiver, rien n’empêche de boire, ensuite, une petite infusion bien chaude de menthe, mélisse, verveine, gingembre, camomille, etc., additionnée de quelques gouttes de jus de citron très mûr. Un citron très mûr est un citron agro-biologique que l’on a placé dans un endroit très sec et que l’on utilise que 30 à 35 jours plus tard, si l’on ne souffre pas, habituellement, de douleurs articulaires, d’arthrose ou d’ostéoporose, notamment, du fait que son jus a un pH très bas (donc très acide et décalcifiant), alentour de 2,5 à 3.
Les vrais sucres, biologiques, humains, dynamisants, sont ceux des fruits et, plus particulièrement, ceux des fruits secs sucrés (dattes, pruneaux, raisins secs, etc.) et non pas les farineux (céréales, tubercules, légumineuses) et les sucres industriels, comme on le croit, naïvement.
Les fruits secs sucrés, pré-cités, sont les vrais sucres lents, directement assimilables, sans usure hépatique, contrairement aux « farineux ».
Les farineux (tout comme les sucres industriels) sont des faux sucres humains, qui usent le foie. Pour pouvoir être consommés, ils nécessitent, d’une part, le trucage de la cuisson, qui les dévitalise ; et, d’autre part, ils fermentent dans le tube digestif de l’humain (qui n’est pas un gallinacé) en donnant naissance à de l’alcool hépato-pathogène. Ils favorisent la stéatose et, même, la cirrhose hépatique, notamment.
Si, avant le petit déjeuner, on se livre à des exercices de culture physique relativement intenses, ne serait-ce que durant 30 minutes, le petit déjeuner devrait être supplémenté avec du germe (pousse) de blé germé, mélangé à un lait d’amandes douces, partiellement dégraissé, que l’on fait soi-même, extemporanément, au Mixeur (Blender), en l’espace de 4 minutes, montre en main.
Le fait de ne pas avoir vraiment faim le matin prouve que le foie est encore surchargé à cause des faux aliments des repas précédents. Et un foie surchargé est un foie en souffrance, qu’il faut aider à épurer. Ce qui veut dire que l’on ne doit manger que lorsqu’on a une vraie faim de loup. La vraie faim indique que l’on est en épuration, donc capable de bien digérer et, donc, de bien éliminer.
Les personnes diabétiques, insulino-dépendantes, peuvent remplacer les fruits juteux et les fruits secs sucrés par un repas de légumes aqueux, crus (non farineux), bien mastiqués, tels que radis, tomates, oignons, carottes râpées, champignons, etc., supplémentés avec des fruits oléagineux (olives noires, noix, noisettes, amandes douces, pignons de Pins, etc.).
On peut, aussi, le matin, remplacer tous ces nutriments par une bonne soupe épaisse de légumes aqueux variés (non farineux), crus, finement broyés au Mixeur avec de l’eau de Volvic, soupe que l’on peut, ensuite, chauffer au bain-marie et dans laquelle on peut ajouter du germe de blé en poudre (type Germalyne) ou de la protéine de riz germé et des morceaux d’avocat pas trop mûrs, voire un œuf entier très frais, cru.
Bref, toutes les compositions et combinaisons sont possibles.
Il ne faut surtout pas avaler de café ni de café au lait ni de chocolat au lait (ni de thé), qui n’apportent aucune énergie et qui nécessite une digestion pénible durant 2 à 4 heures consécutives, ce qui épuise le foie et le pancréas, notamment.
Il faut se méfier des oignons. Il ne faut surtout pas consommer l’oignon vert, qui vibre à 1.000 Å, environ, selon A. SIMONETON, et qui, de ce fait, est difficile à digérer. Il ne faut consommer que l’oignon mature, à peau jaune or et à chair blanche et un peu sucrée, qui vibre à 8.000 Å, environ.
Toutefois, il ne faut pas en abuser pour ne pas que ses composés soufrés irritent les muqueuses digestives.
Dans ma tendre enfance, j’ai vu ma tante, une femme solide et de caractère encore plus fort, consommer des oignons au croque-sel, accompagnés de pain fabriqué à l’ancienne dont elle frottait la croûte avec de l’ail et du sel gris de Guérande.
Elle pétait des flammes, et son haleine d’ail et d’oignon tenait à distance insectes volants et microbes de toutes espèces. C’est dire qu’elle ignorait la grippe et autres infections de ce genre. Elle est décédée à plus de 110 ans, usée par le travail de titan qu’elle abattait, tous les jours, dans son bar-restaurant, où elle servait, elle-même, plus de 100 repas, chaque jour, jusqu’à des heures indues.
La longueur d’onde des aliments spécifiques et naturels, crus, d’origine végétale, varie de 7.000 à 9.000 Å, selon leur fraicheur.
En se nourrissant journellement et habituellement de ces types d’aliments, on n’épuise pas ses réserves radio-vitales, détenues essentiellement par le système neuro-végétatif et hormonal et on évite le surmenage hépatique et la fatigue qui en résulte, dont la courbe se superpose à celle de la dévitalisation.
B. – À midi, une bonne soupe de légumes crus, aqueux, non farineux, mixés finement et chauffés au bain-marie, ouvre l’appétit, et réchauffe l’estomac. Mais, durant la période d’été, on peut la remplacer par toutes sortes de crudités végétales, assaisonnées avec des huiles d’Olive vierge (première pression à froid) riche en oméga 9), dans laquelle on peut ajouter des huiles de Périlla, de Cameline (riches en oméga 3), notamment. Dans ces crudités végétales, on peut ajouter divers aromates crus (oignons ou échalote, persil, cèleri branche, etc.) et sel marin, gris (type Guérande), etc. Éventuellement quelques gouttes de citron très mûr ou de vinaigre des 4 voleurs, moutarde à l’ancienne… (ou autres aromates mais crus, c’est-à-dire non altérés, non radio-dévitalisés par la pasteurisation, la stérilisation, l’upérisation ou par les radiations ionisantes, anti-microbiennes, anti-fongiques…
Rien n’empêche, également, d’ajouter, dans ces crudités végétales, comme, d’ailleurs, dans la soupe, de la protéine de riz ou du germe de blé (type Germalyne, par exemple) ou des jeunes pousses fraîches de blé germé que l’on coupe aux ciseaux dès qu’elles font 4 à 6 cm de haut.
D’autres germes (jeunes pousses) peuvent être obtenus, également, avec d’autres semences (radis, fenouil, persil, céleri, basilic, sarriette, etc.).
Rien n’empêche, également, d’y ajouter des fruits secs oléagineux (olives noires [bio], noix, noisettes, amandes douces, pignons de Pin, etc.), que l’on mastique soigneusement avec les végétaux.
À ce repas de midi, on peut, éventuellement, ajouter des légumes cuits à la vapeur (ou, mieux, cuits sous vide), en sachant, toutefois, que toute cuisson, même à basse température, radio-dévitalise, plus ou moins tout aliment.
Et les protéines animales, assimilables, peuvent être apportées par des petits poissons crus (type sardine, anchois, etc.), très frais, péchés le jour même ou de la veille. Elles peuvent, aussi, être apportées, de préférence, par le fromage blanc frais, bien égoutté, provenant d’un lait cru de Brebis ou de Chèvre et/ou par des œufs frais, crus (gobés, si possible).
L’américain Sylvester STALLONE, acteur de Cinéma mondialement connu, absorbe (à jeun) les œufs tout crus et entiers (ovalbumine et vitellus) après les avoir broyés au Mixeur (Blender) durant 1 à 2 secondes. C’est comme ça qu’il fabriquait ses beaux muscles, sa sveltesse et son merveilleux dynamisme, notamment dans les films ROCKY BALBOA, ex-champion de Boxe.
L’une de mes anciennes étudiantes, qui exerce, encore, la Naturopathie à l’âge de 80 ans, fait comme STALLONE, une omelette de 6 œufs qu’elle consomme tout cru à la cuillère à soupe.
Elle mange tout cru, est mince et jamais malade.
Des gens comme elle ne coûtent rien à la Sécurité Sociale et aux Mutuelles d’Assurances maladie. On devrait les décorer pour cela. Évidemment, ils ne font pas les affaires financières des Trusts pharmaceutiques. Voilà pourquoi ces organismes, ceux de l’État et les mal-bouffeurs, les traitent de marginaux dangereux voire d’illuminés (de fous). Dangereux ils le sont pour les affairistes, plus préoccupés de leur argent que de la santé publique. Illuminés ils le sont aussi mais dans le vrai sens du mot, qui veut dire initiés, éclairés, lucides, savants, et certes pas fous du tout. Les fous sont, justement, ceux qui les traitent de fous ; les vrais fous sont les ignares qui cultivent leur ignorance crasse, comme ils cultivent leur morbidité étio-pathogène.
Quant aux fruits frais, dits juteux, il ne faut jamais les manger au début ou à la fin d’un repas, même lorsque celui-ci est constitué uniquement de légumes crus et cuits-vapeur. Seuls les fruits secs gras (oléagineux) peuvent être consommés en même temps que des légumes crus et cuits-vapeur et comportant, en plus, le cas échéant, des protéines d’origine animale.
Si l’on décide de manger des fruits juteux, accompagnés, éventuellement, de fruits secs sucrés, il ne faut manger que ça, à satiété, et en guise de repas. Ce ne sont pas des desserts mais les vrais aliments des anthropoïdes, que nous sommes.
Plus on dissocie les aliments et plus on les digère mieux.
Les singes de la jungle font cela instinctivement : ils mangent les fruits le matin et ne mangent les feuilles tendres et les protéines animales que l’après-midi.
Rien n’est plus préjudiciable à la santé que les repas composés de viandes et de farineux, généralement au même repas, le tout arrosé de vin, que les mal bouffeurs terminent, souvent, avec des desserts sucrés, du café et, parfois, avec des alcools, suivis, souvent, de tabagisme et de verbiages inutiles : bonjours les fermentations et les putréfactions intestinales, étio-morbido-pathogènes.
La boisson
Le fait de boire en mangeant (ou immédiatement après avoir mangé) dilue les sucs digestifs et affaiblit leur pouvoir digestif. Donc, ne pas boire du tout en mangeant facilite la digestion. Les animaux ne boivent pas en mangeant, et se taisent en mangeant, contrairement aux Êtres humains qui parlent en mangeant, souvent pour ne rien dire de positif.
Par ailleurs, la boisson des Anthropoïdes (donc de l’Être humain est l’eau vitale des fruits juteux, crus, bien mûrs, et l’eau en vrac. Les autres boissons sont de fausses boissons, étio-morbido-pathogènes.
Le Professeur P.-V. MARCHESSEAU, biologiste et médecin-naturopathe, avait l’habitude de dire :
« Le buveur d’alcool est un fou, le buveur de vin un faible et le buveur d’eau un sage ».
En effet, dans nos veines, il ne coule pas, normalement (physiologiquement), de l’alcool ou du vin mais de l’eau.
L’angle d’ouverture de l’eau en vrac est de 105°, environ, alors que celle de l’eau vitale des fruits et des légumes frais, crus, est de 180°. Ce qui veut dire que l’eau en vrac doit être dépolymérisée pour pouvoir être assimilée et utilisée par nos cellules, alors que l’eau vitale des fruits et des légumes aqueux est déjà dépolymérisée, donc directement assimilable.
Contrairement à l’eau vitale, l’eau en vrac n’apporte pas une radiation vitale.
Du fait qu’elle est neutre, elle freine la digestion, le temps, pour elle, d’emprunter (de spolier) de l’énergie au bol alimentaire pour s’équilibrer (se radio-vitaliser).
En fait, on ne devrait boire l’eau en vrac qu’après l’avoir radio-vitalisée, ce qui est possible à l’aide d’ampoules de quartz qui laissent passer les radiations vitalo-protectri-ces, de 8.000 à 15.000 Å, émises par un complexe d’huiles essentielles (H.E.) hydro-solubilisées ortho-biologiquement qu’on y a mis dedans, ampoules que l’on place, ensuite, dans une bouteille d’eau de Volvic, par exemple.
Cette eau s’imprègne, alors, de ces hautes radiations vitales, et les apporte à toutes les cellules organiques après l’avoir bue.
C. – Le soir, une bonne soupe crue de divers légumes aqueux, non farineux, frais, crus, finement mixés au Mixeur (Blender), soupe que l’on peut faire chauffer, à sa guise, au bain-marie, dans laquelle on peut ajouter des morceaux d’avocat cru, pas trop mûr, pour obliger à mastiquer et, donc, à insaliver la soupe. On peut, aussi, y ajouter de la protéine de riz (en poudre) et/ou du germe de blé en paillettes, ou en poudre. Mais on peut, aussi, y ajouter des morceaux de carottes cuites à la vapeur durant un temps très court, pour les conserver un peu croquantes.
On peut, aussi, y ajouter un peu de beurre cru et divers aromates crus, à l’état frais ou à l’état sec.
Après la soupe, on peut consommer des légumes cuits vapeur, toujours non farineux. Jamais de chairs animales le soir, qui nécessitent 4 à 5 heures de digestion et qui abandonnent des résidus putrescibles, propices à la prolifération de microbes dits pathogènes, dits infectieux.
Après la consommation de légumes cuits-vapeur, on peut consommer soit des œufs frais, à la coque, soit du fromage blanc (bien égoutté), issu d’un lait cru de Brebis ou de Chèvre, soit des pommes cuites au four, sans sucre ajouté, soit des yaourts, de Brebis ou de Chèvre, soit – de préférence, des fruits secs gras (oléagineux) soit, éventuellement, des fruits secs sucrés (dattes, pruneaux, figues sèches, raisins et abricots secs, etc.).
Surtout ne jamais manger des fruits juteux (frais) ou des fruits secs sucrés lors des repas comportant des protides d’origine animale, pour éviter les mélanges à digestions contraires, étio-morbido-pathogènes.
Le soir, éviter les fruits juteux, dits frais, au risque de passer une mauvaise nuit, du fait qu’ils apportent beaucoup d’énergie et qu’ils sont très diurétiques, ce qui oblige à se réveiller souvent pour uriner.
Il est préférable de les consommer le matin, après brossage des dents et de la langue, laquelle est toujours oubliée dans le nettoyage de la cavité buccale.
Quand on mange peu et ortho-biologiquement, donc spécifiquement et naturellement, on peut avoir faim vers les 17 heures. C’est surtout à ce moment-là que nous devrions manger des fruits secs sucrés (pruneaux, dattes, raisins et abricots secs, figues sèches, pommes et poires déshydratées, etc.), si l’on n’est pas diabétique insulino-dépendant, évidemment.
Les pruneaux, par exemple, peuvent être sucés comme des bonbons. Ils donnent une bonne énergie et, en outre, ils favorisent le transit intestinal (les exonérations).
Mais, en règle générale, il faut éviter, autant que possible (si l’on n’est pas en hypo-glycémie), de manger vers les 17 h, pour laisser le foie s’épurer et se régénérer. Il est, alors, préférable de boire plusieurs gorgées d’une eau dynamisée selon le procédé précité.
La vraie faim est un bon signe. Elle signifie que l’on est en autolyse, donc en épuration. L’eau et de bonnes inspirations nasales et de bonnes expirations buccales, aident à calmer cette faim.
Mais rien n’empêche d’ajouter dans cette eau quelques gouttes de citron très mûr ou de mandarine, par exemple, ou bien, encore, une cuillère à soupe de Vigarom, par exemple, complexe liquide composé d’extraits aqueux de plantes aromatiques crues, fraîches et séchées, hautement radio-vitalo-protectrices et, donc, vitalo-protectrices, vitalo-dynamisantes.
Toute prise alimentaire ne doit être effectuée que lorsque l’estomac est vide, libre. C’est ainsi que l’on digère et assimile mieux et qu’on élimine mieux les déchets de digestion (les selles), ce qui évite d’engorger le foie et de créer des troubles circulatoires (hémorroïdes, varices, etc.).
Le Mixeur (Blender) est un outil indispensable en crusine. Il permet de faire des soupes de légumes crues, assimilables, sans irriter l’intestin. Il permet, aussi, de faire des laits d’amandes douces et de noisettes (à la datte), ainsi que des crèmes, des purées, des mayonnaises, des entremets et, surtout, des smoothies de fruits (compotes finement pulvérisées), particulièrement nutritifs et rassasiants, que l’on peut consommer en monodiète (épurative), durant plusieurs jours de suite, sans risque de dénutrition.
Il permet d’obtenir de véritables cocktails de fruits et de légumes crus, que l’on peut, ensuite, consommer froids ou légèrement chauffés au bain-marie, notamment pour les convalescents, les surmenés, les anémiés, les édentés, notamment, et pour les enfants nourris au biberon.
Ces cocktails conservent la longueur d’onde de chacun des nutriments utilisés.
Le bol du Mixeur doit être en verre, ses couteaux doivent être en acier inoxydable L316 et doivent tourner entre 10.000 et 20.000 tours/minute.
Si, ensuite, on chauffe l’aliment cru, ainsi finement pulvérisé, sa température ne devra pas dépasser 40°C.
La pratique d’une alimentation
ortho-biologique.
Une alimentation ortho-biologique est une alimentation 100 % spécifique et naturelle, donc totalement crue.
Il ne faut pas la confondre avec les aliments dits bio, achetés dans les boutiques spécialisées, dans lesquelles on vend des aliments cuits (donc anti-bio) de culture biologique.
Bio veut dire vivant.
Une carotte crue, par exemple, de culture chimique ou biologique, est vivante, donc bio.
Ceci dit, pour éviter toute confusion mentale entre ce qui est bio et ce qui est de culture biologique.
On n’adopte une alimentation ortho-biologique que progressivement, en abandonnant progressivement ses mauvaises habitudes de penser à l’envers, de manger-boire à l’envers, de vivre à l’envers, et après purgations (vidanges intestinales), jeûne hydrique nutrimentaire, monodiète, régime hypo-toxique, etc.
Même en mangeant correctement, c’est-à-dire ortho-biologiquement, il est impossible de se construire une bonne santé si on continue à susciter, en soi, des sentiments négatifs (de haine, de colère, de jalousie, etc.), étio-morbido-pathogènes, si on continue à fumer, à boire des alcools, à consommer des overtoniens (chocolat, thé, café, etc.), des drogues, des médicaments, étio-morbido-pathogènes, si continue à se vautrer dans la sédentarité, la sous-oxygénation, à faire des abus orgasmiques, du noctambulisme, de l’insomnie, du surmenage physique et/ou mental, étio-morbido-pathogènes, si l’on continue à cultiver les fausses croyances, les préjugés, les à priori, l’obscurantisme, qui caractérisent ceux qui refusent de réfléchir par eux-mêmes, de voir plus loin que le bout de leur nez, par manque de lucidité, de simplicité, d’humilité, d’objectivité, de logique, bref de sagesse, laquelle est l’Intelligence du Cœur de l’Être.
Penser logiquement c’est penser scientifiquement.
La vérité, car il n’y en a qu’une, c’est la Loi Vitale qui régit tous nos processus vitaux. Et cette loi est celle de la neutralité, de la perfection, donc de la symétrie, de la vitalité totale, qui fait la vie pérenne.
Quiconque pense mal, mange et boit mal, vit mal, est en état d’imperfection, de dissymétrie, de dévitalisation, donc de morbidité étio-pathogène.
Le degré de morbidité résulte du degré de dévitalisation.
Plus un Être vivant est dévitalisé, par suite de surmenage, d’insomnie, de contrariété, de soucis et autres conflits psychologiques (vécus consciemment ou in-consciemment), par suite d’erreurs ou de carences alimentaires ou autres, par suite de sédentarité, de sous-oxygénation, etc., et moins il élimine de déchets digestifs et/ou métaboliques.
Conséquemment, plus il est encrassé, intoxiqué, mal-sain, morbide et plus il a un Terrain (psychorganique) mal-sain, infect, donc propice aux infections et, même, aux infestations (parasitoses).
Lorsqu’une personne fait une infection, sous quelque forme que ce soit, cela prouve, par là même, qu’elle est mal-saine, morbide, même si elle refuse de l’admettre.
Ce caractère mal-sain peut être passager ou plus ou moins chronique (larvé). Tout dépend du mode existentiel habituel, psychorganique, donc du degré de la radio-dévitalisation du moment.
Tout ceci pour dire qu’il faut oublier les théories officielles (pseudo-scientifiques) relatives à l’omnivorisme, à la calorie, aux rations chimiques, au microbisme pasteurien, etc., qui mènent à la dévitalisation et, conséquemment, à la morbidité étio-pathogène, notamment.
Le problème de la santé naturelle (et non pas de la médecine allopathique) réside, à la fois, dans le penser, le manger-boire et le vivre, habituels.
Notre santé naturelle dépend, effectivement :
• de nos sentiments (négatifs ou positifs), habituels,
• de nos ingestions ortho-biologiques ou anortho-biologiques, habituels,
• de notre bonne ou mauvaise hygiène de vie, habituelle.
Et les fruits mûrs et les légumes aqueux, non farineux, bien frais et crus (agro-biologiques de préférence), malgré leur très haute radio-vitalité, ne sont qu’un élément de cette trilogie.
Miser uniquement sur eux pour se faire ou se refaire une santé naturelle c’est se leurrer, parce qu’elle résulte d’un état psycho-biologique et pas uniquement biologique. C’est ce que les gens, en général, ainsi que les médecins conventionnels, allopathes, n’arrivent pas à comprendre, parce qu’on ne leur a pas appris ce qu’est la santé naturelle et, donc, ce qu’est la « maladie ».
On ne leur a pas appris que l’on somatise tous nos sentiments ni le mécanisme du Penser holistique. On ne leur a pas appris que les sentiments négatifs (dissymétriques) sont dévitalisants, donc entropiques, constitutifs d’une morbidité étio-pathogène.
Penser négativement c’est penser à l’envers de la loi vitale de symétrie cosmique qui régit tous nos processus vitaux. C’est se mettre hors la loi vitale, donc dans la morbidité étio-pathogène.
Inversement, penser à l’endroit, symétriquement, c’est concrétiser, en soi, de la néguentropie (de la force vitale) qui favorise les processus vitaux, d’assimilation et d’élimination.
Une personne qui fournit à son corps des aliments vivants, vibrants, hautement radio-vitalo-protecteurs, mais qui pense négativement, très souvent inconsciemment et d’une façon habituelle, qui se surmène, qui s’épuise au travail, digèrera mal, assimilera mal et éliminera mal. Elle accumulera, alors, en elle, quantité de substances toxiques, exogènes et autogènes, c’est-à-dire une morbidité propice à l’apparition de maladies non accidentelles, notamment infectieuses.
Quantité de gens ont une haleine de Chacal, preuve qu’ils sont intoxiqués ; et s’étonnent, ensuite, de tomber malades, de faire des maladies infectieuses. Et, quand on le leur dit, croyant leur rendre service, ils se vexent, s’irritent et, très souvent, se rebiffent…
L’attitude mentale est plus importante que tout le reste, parce qu’elle conditionne l’attitude comportementale et, conséquemment, l’état du Terrain, c’est à dire les bons ou les mauvais processus d’assimilation et d’élimination des forces extrinsèques, vitalo-protectrices, fournies par les vrais aliments humains.
C’est, effectivement, le Conscient (le mental) actionnel qui programme son partenaire intime, le Sub-Conscient, fournisseur de la Force Vitale intrinsèque, bio-catalysante, s’exprimant essentiellement à travers le système neuro-végétatif et hormonal.
Lorsque le Conscient pense à l’envers, négativement, il programme à l’envers son Sub-Conscient ré-actionnel, concrétiseur ; et, conséquemment, il lui fait concrétiser de l’entropie qui entrave les processus vitaux d’assimilation et d’élimination, ce qui favorise, ainsi, la constitution d’une morbidité étio-pathogène par accumulation et stagnation de déchets digestifs et des résidus métaboliques, toxiques.
Dans tous les cas, l’état du Terrain est toujours oublié par ceux qui ne voient que les microbes lors d’une maladie dite infectieuse, ignorant ce qu’a dit un grand savant, le Dr Claude BERNARD :
« Le Terrain est tout. Le microbe n’est rien ».
Or, le Terrain est, précisément, l’immunité primitive, naturelle, la radio-vitalité, de type bio-électromagnétique.
C’est cette immunité primitive qui s’oppose à la prolifération des microbes exogènes (externes) lorsqu’ils parviennent à pénétrer dans l’organisme.
C’est toujours cette immunité primitive qui fait les porteurs sains, alors qu’ils sont contaminés par des germes dits pathogènes, d’origine externe.
C’est toujours cette immunité primitive qui fait que ses porteurs sont a-symptomatiques, dits anergiques, qu’ils ne développent pas une réponse biologique d’infection, non pas parce qu’ils ont, en eux, suffisamment d’anticorps antigéniques contre ces germes exogènes, mais parce que leur radio-vitalité, suffisamment élevée, court-circuite celle des germes exogènes, plus basse.
C’est toujours la radiation la plus forte qui annihile la radiation la plus faible, comme dit précédemment.
Tous ces processus, bien connus en médecine de santé (naturopathique ortho-psycho-biologique), sont inconnus de la médecine de maladie (allopathique), parce que la médecine allopathique, dite conventionnelle, n’a pas la science infuse ni le monopole du savoir, comme je ne cesse de le répéter.
Quand la radio-vitalité de l’organisme humain est abaissé au niveau de celle du microbe dit pathogène, par suite de nos fautes existentielles, les deux ondes se superposent, sont en phase, ils s’additionnent ; et alors la morbidité étio-pathogène augmente.
=
Ici, les 2 ondes sont en phase et, conséquemment,
multiplient leur puissance.
C’est le système de la fermeture éclair.
Par contre, lorsque les ondes sont déphasées, il n’y a pas de morbidité, parce que l’onde la plus intense (forte) absorbe l’onde la plus faible.
Par exemple, deux ondes identiques déphasées à 180°, comme indiqué par le croquis ci-après, se soustraient et se compensent mutuellement. Résultat : l’onde morbide (polluante) est annulée.
C’est comme cela que fonctionne l’immunité primitive (la radiation vitale).
Amplitude
+
+
+0
Amplitude
–
–
–
« Il y a, comme nous le savons, deux sortes de santé, la santé naturelle et la santé artificielle. Nous désirons la santé naturelle, celle qui vient de la résistance des tissus aux maladies infectieuses et dégénératives, de l’équilibre du système nerveux. Et non pas la santé artificielle qui repose sur des régimes alimentaires, des vaccins, des sérums, des produits endocriniens, des vitamines, des examens médicaux périodiques et sur la protection coûteuse des médecins des hôpitaux.
« L’homme doit être de telle sorte qu’il n’ait pas besoin de ces soins. La médecine remportera son plus grand triomphe, quand elle découvrira le moyen de nous permettre d’ignorer la maladie, la fatigue, la crainte. Nous devons donner aux êtres humains la liberté et la joie qui viennent de la perfection des activités organiques et mentales.
« Cette conception de la santé rencontrera une forte opposition, car elle dérange nos habitudes de penser. La médecine moderne tend vers la production de la santé artificielle vers une sorte de physiologie dirigée. Son idéal est d’intervenir dans les fonctions des tissus et des organes à l’aide de substances chimiques pures, de stimuler ou de remplacer les fonctions insuffisantes, d’augmenter la résistance aux infections, d’accélérer la réaction des organes et des humeurs pathogènes, etc. Nous considérons encore le corps humain comme une machine mal construite dont les pièces doivent être constamment renforcées ou réparées… » (Docteur Alexis CARREL. Prix Nobel de Médecine 1912, extrait de son livre « L’homme cet inconnu »).
Tous les médecins allopathes et homéopathes devraient lire cet ouvrage, qui est un véritable chef-d’œuvre de logique, de bon sens, de lucidité, bref d’intelligence.
Il est préférable (et moins coûteux) de prévenir la formation de la maladie plutôt que d’essayer de la supprimer.
La maladie est la conséquence de fautes existentielles, plus ou moins graves.
« La médecine allopathique ne sait pas grand-chose en comparaison de ce qui lui reste à savoir » (René DESCARTES dans son livre : « Le discours de la méthode »).
Dans les états dits pathologiques, la purgation et le jeûne dynamisent et accélèrent la phagocytose. Bien conduit, le jeûne hydrique et, parfois, le jeûne sec, de durée plus ou moins courte, par l’effet autolytique qu’ils induisent, aident à se guérir de pathologies parfois très graves, comme la tuberculose, par exemple.
Après la purgation et le jeûne, les deux techniques de base, le fruit juteux, mature, cru, pelé, frais (agro-biologique), est l’aliment parfait pour l’Être humain.
Hippocrate, le Père de la Médecine (laquelle était naturelle à son époque), a dit :
« Il faut, autant qu’on le peut, remonter à la cause et à la cause de la cause »…
Exemple : la morbidité humoro-cellulaire est la cause de nos maladies non-accidentelles, lesquelles sont des crises d’épuration. Mais la cause de la morbidité est le mental qui a parlé à l’envers (le mal a dit), et c’est cette distorsion mentale qui est la cause première de nos comportements déviants, de notre mode existentiel anti-hygiénique, anti-biologique.
Hippocrate a, encore, dit :
« Un homme ne tombe point malade brusquement et tout de suite. Les causes s’accumulent avant de se manifester par un effet morbide…
« Quand on est tombé malade, il faut changer la façon de vivre. Il est clair que celle qu’on suivait est mauvaise, en tout ou en grande part, ou en quelque chose».
De son côté, le Dr Paul CARTON écrit :
« Les maladies sont des crises de nettoyage. La fièvre est un agent de guérison…
« La vie sobre met à l’abri des épidémies ou tout au moins atténue l’imminence du danger, les intempérants étant, en cas d’épidémie, atteints les premiers ».
Les aliments ortho-biologiques humains, hautement radio-vitalisés, sont un des principaux agents qui entretiennent la radio-vitalité humaine, donc l’immunité primitive et, conséquemment, l’immunité secondaire (roue de secours), par les anticorps antigéniques, notamment. Je dis notamment parce que la médecine allopathique est loin de connaitre toutes les fonctions psycho-neuro-hormonales, la psycho-neuro-immunologie, en particulier.
Dans les pages précédentes, nous avons vu que les ondes bienfaisantes, favorables à la vie humaine, sont comprises entre 8.000 Å (celle des infra-rouges) et 6.500 Å. Au-dessous de ce chiffre, on entre en pathologie.
Et, au-dessous de 4.000 Å (celle des ultra-violets), on entre dans les ondes très nocives, comme celles du radium, du thorium, de l’uranium, des rayons X, etc.
Les aliments vivants, vibrants, les plus vitalo-protecteurs, sont ceux cultivés sur des sols agro-biologiques, non intoxiqués par des métaux lourds industriels, des engrais (et des pesticides) chimiques…
Les meilleurs engrais sont ceux issus de certaines algues marines, comme le Fucus, les Laminaires, le Lithotamne, par exemple, qui ont la longueur d’onde de la mer.
Après lacto-fermentation en anaérobie, durant un certain temps, avec d’autres déchets alimentaires (résultant de fruits et légumes crus), on obtient un excellent fertilisant, pour les sols et les plantes.
Les radiations émises par les faux aliments, surtout s’ils ont été cuits (radio-dévitalisés), induisent, dans notre organisme, une carence radio-vitale comme celle induite par une cage de FARADAY.
Les bâtiments ferraillés et bétonnés sont des cages de FARADAY. Quand on passe 2 ou 3 heures à faire des courses alimentaires et autres dans des Supermarchés, véritables cages de FARADAY, on sort de là complètement épuisé, comme déchargé de sa radio-vitalité, ce qui est le cas, en vérité.
Je le redis, le germe de blé frais et l’huile de Germes de blé, frais, obtenue par pression à froid, radient entre 6.500 et 8.000 Å. Tout le monde en retire un grand bienfait, surtout les anémiés, les convalescents, les dénutris, les femmes enceintes et autres carencés…
L’irradiation des fruits et des légumes
Sous prétexte de prolonger la durée de la conservation des fruits et des légumes, les Américains irradient les fruits et les légumes frais.
Cette irradiation est effectuée aux ultra-sons, ce qui a pour effet de radio-dévitaliser, de tuer ces aliments. Leur consommation calmera la faim sans nutrir les cellules qui continuent à crier famine, ce qui conduit à la malbouffe, à la surbouffe, donc à la constitution d’une morbidité étio-pathogène.
L’énergie dégagée par un Être humain dépend de sa radio-vitalité générale (intrinsèque et extrinsèque).
Or, de nos jours, la majorité des aliments, dont dispose l’Être humain, est carencé en haute radio-vitalité et surchargée en ions positifs, dévitalisants, acidosants.
Il est bon de rappeler que ce sont les hautes radiations qui court-circuitent les basses radiations comme celles des microbes, par exemple.
Et c’est cette haute radio-vitalité qui est l’immunité primitive, en fait le Terrain dont parle le Dr Claude BERNARD.
A. SIMONETON affirme que l’on peut dynamiser ou re-dynamiser un aliment, à condition qu’il soit liquide, à l’aide d’un Dynamiseur TS, appareil d’électronisation, qui peut faire monter le dynamiseur jusqu’à 10 500 Å en négativité pulsée.
Mais, du fait que cette dynamisation ne dure qu’un laps de temps très court, il faut ingérer l’aliment immédiatement après sa dynamisation ou re-dynamisation, laquelle aide à mieux le digérer. Les premiers à en profiter sont les malades…
Il est intéressant de noter qu’un pansement humidifié avec de l’eau pure dynamisée, qu’un enveloppement humidifié de cette façon, puis appliqué sur la peau d’une personne affectée par un problème de Santé, absorbe la longueur d’onde du mal dont souffre cette personne. Ceci est prouvé par une mesure au vitalimètre de l’agent « thérapeutique » en question, ce qui entraîne, souvent, un soulagement rapide.
A. SIMONETON dit ceci :
« Au contact de l’antenne du Dynamiseur TS, un orgelet rébarbatif disparaît en trois minutes. Une douleur due à une piqure de guêpe ou d’abeille disparait en quelques minutes. La douleur due à une brûlure plus ou moins grave sur laquelle on a appliqué une compresse d’eau négativée disparaît en 15 minutes… ».
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Les compléments alimentaires
Il y en a d’excellents et de dangereux, voire de nocifs.
Hippocrate, le Père de la Médecine, a dit :
« Que ton aliment soit ton médicament ».
Ceux qui fabriquent et qui vendent des médicaments ont mal compris ce qu’il a dit. Ils ont compris ce qui suit :
« Que ton médicament soit ton aliment ».
Pour les gens sensés, il est évident que l’on ne fait pas de la santé naturelle avec des médicaments, qui sont tous plus ou moins toxiques. Et c’est, justement, parce qu’ils sont toxiques qu’ils peuvent réprimer des symptômes. D’ailleurs, plus ils sont anti-symptomatiquement efficaces et plus ils sont toxiques.
Ici, je ne fais pas le procès des médicaments, qui sont fort utiles dans les cas d’urgence et d’exception. Je dis, simplement, qu’un médicament n’est pas un aliment et qu’un aliment n’est pas un médicament.
Il est faux d’affirmer qu’un aliment est thérapeutique.
Une guérison, lorsqu’elle se produit vraiment, est toujours causée par l’homéostasie de la force vitale, libérée par l’élimination de la cause qui l’entravait dans son expressivité normale (vitale).
Les vrais aliments humains et, donc, les principes vitaux dont ils sont dotés, ne sont que des aides métaboliques et uniquement des aides, des agents naturels qui aident à éliminer non pas une « maladie » mais la cause de telle ou telle « maladie ».
Il ne faut, donc, pas parler comme les allopathes et dire que le Curcuma, par exemple, est anti-inflammatoire, anti-migraineux, anti-coryza, anti-coagulant, anti-plaquettaire…
Ceci dit, les vrais et bons compléments alimentaires sont-ils utiles ou inutiles ?
a) Inutiles lorsqu’on est un petit exploitant agricole, calme et serein, et que, chaque jour, on ne consomme que des aliments crus, très frais, très vivants, très vibrants, produits artisanalement chaque jour, tels quel :
-œufs pondus le jour même par des poules saines nourries aux céréales naturelles, et vivant nuit et jour en totale liberté dans la Nature naturelle, non chimiquée,
-fromage blanc frais, bien égoutté, issu d’un lait cru de chèvre ou de brebis (trait le jour-même),
-légumes aqueux (non farineux) arrachés du sol naturel à 7 ou 8 heures le matin et consommés tout cru le jour-même,
-fruits naturellement mûris et cueillis sur l’arbre…
-chairs animales crues issues d’animaux de bouche nourris naturellement et vivant en totale liberté dans la Nature naturelle, chairs animales préparées spécialement par un savoir ancestral, produisant des saucissons de canard cru, de cochon cru, de bœuf cru…,
-l’eau de source naturelle, non polluée,
-air pur, très oxygéné par les arbres et autres végétaux foisonnants…
b) utiles lorsqu’on vit dans des villes plus ou moins concentrationnaires, bruyantes et trépidantes, polluées, sous-oxygénées, où l’on exerce une profession stressante, souvent épuisante et mal rémunérée, à laquelle s’ajoute d’innombrables conflits mentaux, de divers ordres, qui usent les nerfs, vident les glandes hormonales, dévitalisent profondément, surtout lorsque le mode existentiel est, habituellement, anti-hygiénique (tabac, alcool, overtoniens, drogues, médicaments, faux aliments, fausses boissons, abus orgasmiques, sédentarité, in-somnie, constipation…).
Dans les grandes villes, les aliments sont de mauvaises qualités vitales (vibratoires) du fait qu’ils sont, généralement, de cultures classiques (chimiques), donc plus ou moins pollués, donc radio-dévitalisés.
Pour des raisons de transport, les fruits sont cueillis verts et stockés dans des frigorifiques trop froids. Le froid excessif fait geler puis éclater les cellules vivantes constituant la chair des fruits et des légumes, si bien que les fruits ne murissent pas après leur achat. Ils pourrissent. Les légumes, également altérés, pourrissent de même dans leur emballage plastique.
À mesure que le temps passe, fruits et légumes stockés à la maison, encore « mangeables », ne fournissent plus l’énergie extrinsèque indispensable à la biologie humaine. Ils induisent, ainsi, de redoutables carences, notamment en vitamines naturelles C, B…
Ces types d’aliments sont creux et morbides, donc nocifs. Ils a-tonifient et a-dynamisent l’organisme et, donc, l’intestin, ce qui entraîne un ralentissement du transit intestinal, propice aux stases fécales (constipation), toxinogènes, toxicogènes, auto-intoxiquantes.
Il en est de même des viandes (surtout cuites), des fromages fermentés, des œufs de plusieurs semaines, etc.
En fait, ils ne servent qu’à remplir la panse. Du fait qu’ils ne nourrissent pas, qu’ils n’apportent rien de bon à l’organisme, les cellules organiques crient famine, ce qui provoque la fringale. Et, alors, le citadin carencé, croyant se nutrir, se gave d’aliments industrialisés, tout aussi carencés, dévitalisés, morbides, étio-pathogènes.
Résultat : au lieu de se nutrir, il s’encrasse et finit par tomber malade. Et là, encore, croyant que le médicament (chimique) comblera ses carences ou le guérira de ses maux, il se sur-intoxique, ce qui le rend encore plus malade, fondamentalement, même si ses symptômes ont été réprimés par celui-ci. Et d’épuisement en dégénérescence, altérant de plus en plus ses microbiotes cavitaires éboueurs, il finit par créer, en lui, un Terrain infect, propice, d’une part, aux infections (caractérisées par des affections bactériennes et virales) et, d’autre part, aux infestations (caractérisées par des affections parasitaires).
Quand les gens sont carencés, dévitalisés, encrassés, voire déprimés, les bons compléments alimentaires peuvent les aider à se calmer, à s’épurer, à se re-dynamiser…
Mais ils s’avèrent peu efficaces lorsqu’on ne corrige pas, en même temps, l’attitude mentale (habituellement négative), l’alimentation (habituellement anti-biologique), la façon de vivre (habituellement anti-hygiénique), qui sont psychorganiquement conflictuelles, donc étio-morbido-pathogènes.
Pour que les bons compléments alimentaires puissent libérer leur pleine efficacité, il faut, donc, dans le même temps, éliminer, au maximum, les agents polluants, intoxicants.
Le stress, qui est souvent à la fois mental et physique (psychologique et biologique) est hyper-sympathico-tonisant. Il induit une hyper-tension nerveuse, qui provoque la fermeture des émonctoires naturels (foie, vésicule biliaire, intestins, reins, poumons, peau), fermeture qui entrave, ainsi, les éliminations, d’où les stases fécales (fermentescibles et putrescibles, auto-intoxicantes) et les stases métaboliques, l’acidose tissulaire, notamment, qui ronge les tissus, les os, les dents, la peau, les nerfs, etc. et qui favorise la fibromyalgie, la coagulation du sang, donc l’hyper-tension artérielle, les céphalées, les vertiges, les phlébites, les thromboses, l’infarctus du myocarde, les ruptures d’anévrisme, les AVC, le coma, les paralysies, etc.
Qu’entend-on par bons ou mauvais compléments alimentaires ?
Un bon complément alimentaire est un complexe constitué de nombreux principes vitaux agonistes-antagonistes capables d’aider l’organisme à s’épurer et à se re-vitaliser simultanément.
Or, l’épuration commence, toujours, par le foie (qui est l’organe essentiel, capital), donc par la vésicule biliaire et l’intestin.
Un complément alimentaire dénué de principes vitaux épurateurs de l’appareil digestif est une substance à visée uniquement anti-symptomatique, à l’instar des médicaments.
Prescrire ou conseiller un tel produit, c’est surcharger le foie, déjà intoxiqué, donc en insuffisance fonctionnelle, incapable d’en tirer le moindre profit.
Un principe isolé et ingéré isolément est toujours dangereux, voire nocif, d’où ses contre-indications. Il convient, donc, de toujours inclure un complément alimentaire dans un complexe agoniste/antagoniste, dit synergisant, et de toujours l’utiliser dans le cadre d’une correction mentale, alimentaire et existentielle, toujours précédée d’une épuration hépato-intestinale effective.
Voici quelques exemples de ces mauvaises prescriptions :
• Contre la dégénérescence, le vieillissement, supplémenter avec uniquement de l’Acétyl-L-Carnitine (une forme biologiquement active de l’Acide Aminé L-Carnitine), sous prétexte que cet acide aminé peut aider l’organisme à protéger ses cellules, notamment celles du cerveau.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de troubles gastro-intestinaux, nausées, diarrhée, insomnie, problèmes de thyroïde…
• Contre l’oxydation cellulaire, supplémenter avec uniquement de l’acide alpha-lipoïque ou de l’acide R-alpha lipoïque, additionné ou non de vitamines B1, B8, etc., qui renforcent son action.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques d’hypoglycémie, de diabète insulino-dépendant, d’a-vitaminose B, d’alcoolisme…
• Contre les radicaux libres, inducteurs de pathologies inflammatoires, supplémenter avec uniquement de l’acide férulique.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques d’étourdissements, de somnolence, d’irritabilité mentale, de bouffées de chaleur…
• Contre l’anxiété et l’excitation excessive du cerveau, supplémenter avec uniquement du GABA (Acide Gamma-amino-butyrique), qui est un neuro-transmetteur inhibiteur dans les neurones du cortex.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de flush, de somnolence, d’amoindrissement de la vigilance…
• Contre l’alcoolisme, le tabagisme, le vieillissement, supplémenter avec uniquement de l’Acide Gamma-Linolénique (GLA), extrait de la Bourrache et de l’Onagre, par exemple, qui est riche en oméga-6, pro-inflammatoire.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques d’inflammation articulaire et/ou d’exacerbation cérébrale (donc de crises épileptiques)…
• Contre la formation de caillots sanguins, supplémenter uniquement avec des huiles de poissons gras des mers froides, riches en oméga-3, sous prétexte qu’elles fluidifient le sang et la fluidité membranaire.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques d’allergie aux poissons, d’hyper-glycémie, d’hyper-cholestérolémie, d’hyper-fluidité sanguine et d’hémorra-gies lors d’une opération chirurgicale.
• Contre les problèmes cardiaques et musculaires, supplémenter uniquement avec de la L-Carnitine.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de nausées, de vomissements, de coliques et, même, de crises épileptoïdes.
• Contre la glycation, supplémenter avec uniquement de la carnosine (bêta-alanyl-L-histidine), un di-peptide formé de deux acides aminés (l’alanine et histidine).
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de spasmes musculaires.
• Contre l’affaiblissement immunitaire et la surcharge graisseuse, supplémenter avec uniquement du 7-céto-DHEA, un produit chimique (3-acétyl-7-oxo-Dé-Hydro-Epi-Androstérone).
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de cancérose.
• Contre l’altération et l’inflammation des structures articulaires, supplémenter avec uniquement du sulfate de chondroïtine d’origine bovine ou marine.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de troubles hépatiques et d’allergies, surtout au poisson.
• Contre la surcharge graisseuse, supplémenter avec uniquement de l’acide linoléique conjugué (CLA).
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de troubles intestinaux et de cardio-vasculo-pathies.
• Contre les infections urinaires, supplémenter avec uniquement du D-mannose (un sucre proche du glucose).
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de troubles digestifs et rénaux.
• Contre l’a-dynamisme et la fatigue, supplémenter avec uniquement du D-ribose (un glucide qui favorise la production d’ATP : d’Adénosine Tri-Phosphate).
Contre-indications ou effets secondaires : Risques d’hypo-glycémie, dangereuse en cas de diabète insulino-dépendant.
• Contre les troubles menstruels et les bouffées de chaleur des femmes ménopausées, supplémenter avec uniquement du Dong Quaï (Angélique chinoise), qui a des effets œstrogéniques, donc anti-progestéroniques.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de cancer hormono-dépendant ou d’antécédents cancérologiques.
• Contre la surcharge graisseuse, supplémenter avec uniquement du Garcinia cambogia, un fruit indien jaune, riche en acide hydroxy-citrique (HCA), acide qui inhibe la production, par le foie, de l’enzyme ATP citrate-lyase qui joue un rôle clé dans la transformation des glucides en tri-glycérides et en lipo-protéines (LDL) de basse densité.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques d’inter-agir avec les nitrates intestinaux, les médicaments dits cardio-régulateurs ou bloqueurs des canaux calciques.
• Contre la fatigue, les troubles mnésiques, la mauvaise humeur, supplémenter avec uniquement de la L-Glutamine (un précurseur du GABA).
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de troubles cérébraux, de manifestations épileptoïdes…
• Contre la surcharge graisseuse du foie, supplément avec uniquement du Glycéro-phospho-choline (GPC), qui augmente la production d’acétyl-choline et de phosphatidyl-choline.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de nausées, de céphalées, de brûlures d’estomac, d’insom-nie…
• Contre les bouffées de chaleur des femmes ménopausées, supplémenter avec uniquement des isoflavones de soja (composés phénoliques hétéro-cycliques) qui ont une activité œstrogénique, donc anti-progestéronique.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de surcharges graisseuses et/ou cellulitiques et de cancérose.
• Contre l’hyper-cholestérolémie, supplémenter avec uniquement de la levure de riz rouge, en remplacement des statines (médicaments allopathiques).
Contre-indications ou effets secondaires : Risques d’altération hépatique (et d’ictère), prouvée par une augmentation des transaminases, notamment.
• Contre la dépression nerveuse, supplémenter avec uniquement du millepertuis (Hypericum perforatum), riche en hypéricine et en hyperforine.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques d’altération hépatique.
• Contre la maladie de Parkinson et la chute de la libido et l’infertilité, supplémenter avec uniquement du mucuna pruriens, qui contient, notamment, de la L-dopa (3,6 à 4,2 de levodopa), connu comme un stimulant de la libido.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques d’hyper-excitabilité sexuelle et d’hyper-tension artérielle.
• Contre les prostatites et l’hypertrophie bénigne de la prostate, supplémenter avec uniquement du pollen de fleurs classique, voire frais, entier.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques d’allergies et d’altérations rénales. Seul le pollen lacto-fermenté en anaérobie stricte est sans danger.
• Contre la constipation, supplémenter avec uniquement du psyllium (plantago SP).
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de flatulences, de coliques, de ballonnements, d’allergies, de constipation, voire d’occlusion gastro-intestinale, notamment.
• Contre certains cancers et les maladies inflammatoires et cardio-vasculaires, supplémenter avec uniquement du sélénium.
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de nausées, de diarrhée, d’irritabilité nerveuse, de fatigue, de diabète de type 2, de perte de cheveux, d’altération des ongles et de la peau…
• Contre les désordres hépatiques (stéatose, cirrhose, hépatites dites virales, empoisonnement du foie), supplémenter avec uniquement de la silymarine (extraite du Chardon-Marie).
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de troubles digestifs, ballonnements, diarrhée, allergies…
• Contre la baisse du taux de glutathion, la neuropathie diabétique périphérique, l’athérosclérose, la cataracte corticale, la chute de l’immunité, la rhinite, les allergies et l’asthme, supplémenter avec uniquement de la vitamine E (alpha-tocophérol).
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de troubles de la coagulation sanguine et, donc, d’hémorra-gies en cas d’opération chirurgicale.
• Contre le mal-être, la faiblesse générale et la chute de la libido, supplémenter avec uniquement du Tongkat ali (Eurycoma longifolia Jack).
Contre-indications ou effets secondaires : Risques d’anxiété, d’agitation, d’insomnie…
• Contre l’insuffisance veineuse, supplémenter avec uniquement de la Troxérutine (un type de flavonoïdes).
Contre-indications ou effets secondaires : Risques de troubles de la coagulation sanguine et, donc, d’hémorragies en cas d’opération chirurgicale.
Nous arrêtons là ces types d’exemples, qui pourraient faire l’objet d’un gros volume.
Le pourquoi des contre-indications
Les contre-indications présentées par la majorité des compléments alimentaires ou nutritionnels classiques, tels qu’on les trouve, généralement, dans les pharmacies ou para-pharmacies, dans les biocoops, les maisons de diététiques, etc., sont dues à deux facteurs essentiels :
1°/ au fait qu’ils sont constitués de quelques principes isolés et, même, souvent, d’un seul principe isolé, hors d’un ensemble de constituants agonistes-antagonistes (totum) ;
2°/ au fait qu’ils sont utilisés hors d’une méthode de santé, hiérarchisée, donc dans des Terrains organiques non épurés préalablement.
On peut dire que c’est mettre du propre dans du sale, qui reste tout aussi sale et, même, qui devient encore plus sale, du fait qu’en agissant ainsi on surcharge les organes déjà intoxiqués, donc incapables d’assimiler (et de désassimiler) correctement quoi que ce soit, d’où apparition d’effets secondaires, dits « indésirables ».
Pour pouvoir mettre de l’air pur dans les poumons, il faut commencer par les vider de leur air vicié.
Avant d’ouvrir un moteur d’automobile, qui cogne, il faut le vidanger. C’est ce que font tous les mécaniciens, qui feraient de bons Naturopathes.
En biologie, il en est de même. Avant d’introduire quoi que ce soit dans un organisme, il faut vidanger le foie, la vésicule biliaire et l’intestin. La vidange effective de ces organes entraîne, automatiquement, la vidange (donc l’épuration) de toutes les cellules organiques.
Et il faut vidanger autant de fois que nécessaire.
Le grand principe, en Médecine de santé, est la désintoxication puis la revitalisation, qui doivent, normalement, être complétées par une stabilisation du résultat positif obtenu.
Pour résumer, précisons que les compléments alimentaires peuvent s’avérer dangereux, voire nocifs, si on les consomme abusivement hors d’une correction mentale, alimentaire, existentielle.
Que veulent les gens, dans leur immense majorité ?
Ils veulent le beurre et l’argent du beurre, une chose et son contraire : ne plus souffrir mais tout en continuant à consommer ce qui les font souffrir.
En fait, ils veulent remplacer les médicaments chimiques par des compléments alimentaires. Ce n’est pas sérieux, pour les raisons pré-citées.
Ou bien on se responsabilise, on se prend en charge, on se corrige de la tête aux pieds en passant par l’épuration du tube digestif et on se guérit naturellement, tout en s’assurant une longévité active.
Ou bien on refuse de se responsabiliser, de se prendre en charge, de se corriger, et – alors – on se condamne à la médication chimique à vie, aux souffrances de plus en plus handicapantes à mesure que l’on prend de l’âge et que l’on se déglingue de plus en plus par suite de la chronicité de nos distorsions mentales, alimentaires, existentielles.
À nous de savoir faire le bon choix.
La liberté d’expression
En France, elle n’existe pas, sauf si vous dites comme les instances officielles.
Si, par malheur, vous dites que vous mangez tous vos aliments à l’état cru à 100 %, les instances officielles vous classent, aussitôt, dans la catégorie des marginaux complotistes et des sectaires en dérive.
En France, vous n’avez plus le droit de dire :
– je n’aime pas le chocolat ou le café au lait ou le thé, les aliments cuits, industrialisés, etc.,
– je n’aime pas le noir ou le blanc ou le rouge, etc.,
– je n’aime pas les odeurs pestilentielles dégagées par un nombre incalculable de gens, lesquels se rebiffent et vous agressent si vous le leur faites remarquer dans leur intérêt,
– je n’aime pas les arabes ou les nègres, paroles qui sont prises pour du racisme,
– je n’aime pas ceci ou cela…
Et si, par malheur, vous dites que vous pratiquez le jeûne hydrique, des cures de jus de végétaux crus, alors, aussitôt, non seulement les instances officielles mais aussi les médias qui se nourrissent de scandales, vous accusent de toutes les flatulences de la Planète. On dit que vous êtes dans la dérive sectaire. Voilà ! Le mot est lâché.
Ce qui veut dire que tous les animaux sauvages, vivant naturellement dans la Nature naturelle, qui mangent tout cru, par instinct de survie, sont dans la dérive sectaire.
Manger tout cru, vivant et vibrant, est un instinct de survie et, donc, de bonne santé.
Or, l’homme est un animal et, en tant qu’animal, il est fait pour manger tout cru.
Mais, voilà, manger tout cru, c’est manger juste, c’est, donc, penser juste, et penser juste c’est penser par soi-même.
C’est réfléchir, raisonner, juger logiquement et objectivement. C’est refuser d’être mentalement manipulé par les dires des instances officielles et les médias dépravés. C’est, donc, être en dehors de la pensée unique (dictatoriale), donc dans la dérive sectaire, selon les imbéciles. Qui ne comprennent rien à rien et qui, d’ailleurs, sont très heureux d’être imbéciles.
Désormais, quand vous traversez la rue, faites très attention, parce qu’un imbécile heureux peut en cacher une foule d’autres.
La bonne santé ?
Mesdames et Messieurs les complotistes, réfléchissez : être en bonne santé naturelle, par suite du respect de la loi vitale de symétrie cosmique (du Code de la Vie : de bonne conduite vitale), qui régit tous nos processus vitaux, ça remettrait en cause tout le système financier, qui est basé sur tout un système économique : la création d’emplois, d’hôpitaux, de prisons, etc. En outre, ça ne ferait plus les affaires juteuses de l’agro-alimentaire classique (chimique) ni celles des trusts pharmaceutiques (médicamenteux, vaccinalistes…), parce que la « maladie » est une bonne vache à lait ; autrement dit, la poule aux œufs d’or.
Penser à l’endroit (ortho-psychologiquement),
Manger-boire à l’endroit (ortho-biologiquement),
Vivre à l’endroit (hygiéniquement),
Tout cela n’est que charlatanisme et dérive sectaire.
Mesdames et Messieurs les complotistes, vous n’êtes que des ignares. Il est temps de vous museler et de vous ramener dans le giron de la pensée unique, celle imposée par l’État et colportée par la majorité des médias, les seuls à détenir la science infuse et le monopole du savoir.
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Conclusion
Les aliments 100 % spécifiques et naturels (crus), issus d’une agriculture naturelle, sans engrais ni pesticides chimiques, notamment, apportent, à l’organisme (animal et humain), une force vitale extrinsèque (appelée radio-vitalité), indispensable au fonctionnement normal du corps physique, hologramme du Penser.
Par ailleurs, le Penser du corps physique émet une force vitale intrinsèque, innée, qui s’exprime essentiellement à travers le système neuro-végétatif et hormonal, force qui catalyse (assimile) la force vitale extrinsèque neuve et désassimile la force vitale extrinsèque usée.
Ce sont ces deux forces qui agissent, conjointement, chez un Être biologique vivant.
C’est dire que, toutes deux, doivent être en phase et à leur degré de force optimum pour pouvoir agir correctement, faute de quoi le rendement des organes de l’organisme, plus ou moins carencé en ces forces, s’amoindrit, leurs cellules évoluant, alors, vers la floculation micellaire, comme le lait qui tourne, ce qui favorise, à la fois, les stases fécales et les stases humoro-cellulaires, donc la formation d’une morbidité étio-pathogène.
C’est dire l’importance vitale d’ingesta hautement radio-vitalisés et d’un penser hautement positivé, agissant en phase, comme deux mains (inversement fonctionnelles) qui applaudissent, par exemple.
Sans force vitale intrinsèque, ré-actionnelle, bio-catalysante, suffisamment puissante, la force vitale extrinsèque, à catalyser, ne peut pas être co-rectement assimilée puis finalement éliminée.
Autrement dit, sans cette force bio-catalysante aucune ré-action bio-chimique et aucune transmutation biologique ne pourraient se produire. Bref, la vie biologique ne pourrait exister.
Il faut bien comprendre qu’une alimentation ortho-biologique ne peut, à elle seule, donner la santé naturelle que nous désirons.
Toutefois, elle est l’une des deux clés majeures de la vitalité générale, l’une des deux mains d’un même organisme.
Du fait que la radio-vitalité d’un Être humain, est de 6.500 Å, minimum, il faut, donc, que ce que celui-ci introduit en lui radie à 6.500 Å, au moins, et que les sentiments que celui-ci suscite en lui ne dilapide pas, bêtement, sa force vitale intrinsèque en pensant négativement ( à l’envers) d’une façon habituelle, comme c’est, hélas, le cas chez les Êtres humains formatés à l’envers depuis leur naissance par des parents ignorants, par des éducateurs encore plus ignorants et par des supports médiatiques astucieux qui exploitent, à leur profit, cette ignorance.
De nos jours, encore, l’alimentation humaine est basée sur les théories pseudo-scientifiques de l’omnivorisme, des calories, des rations chimiques, des vitamines artificielles et des sels minéraux inorganiques, notamment, alors qu’elle devrait être basée sur la spécificité, sur la naturalité, bref sur sa valeur vitalo-protectrice.
La quasi-totalité des Êtres humains du Monde entier mange à l’envers, contrairement aux animaux dits sauvages, vivant naturellement dans la jungle, par exemple, lesquels ne mangent que ce pour quoi ils sont anatomo-physiologiquement organisés, preuve qu’ils sont plus intelligents que nous !
Alimenter n’est pas forcément nutrir.
En occident, en particulier, on meurt surtout de faim cellulaire, due au gavage et à la malbouffe.
La malbouffe, gastronomique, apaise la fringale mais fait dépérir le mal-bouffeur par radio-dévitalisation insidieuse.
Mal-bouffer c’est manger des faux aliments vides de toute force (énergie) vitale extrinsèque, mais qui sont très appétents.
C’est la variété des mets bien cuisinés qui ouvre l’appétit et nous incite à manger encore et encore, alors qu’on est déjà gavé comme des oies et des canards d’élevage.
La santé naturelle est le bien le plus précieux. Elle n’est pas un don, gratuit, du Ciel. Il faut la gagner, la mériter, chaque jour, en mangeant et en buvant à l’endroit, en pensant à l’endroit et en vivant à l’endroit, habituellement, conformément à la loi vitale de symétrie cosmique qui régit tous nos processus vitaux (notre vie).
Penser à l’endroit, manger-boire à l’endroit c’est bien, mais insuffisant. Il faut, aussi, vivre à l’endroit, c’est-à-dire hygiéniquement.
Vivre à l’endroit c’est faire de la culture physique à base respiratoire, c’est dormir profondément et suffisamment, c’est éviter le noctambulisme, le surmenage, les abus orgasmiques (surtout masculins) et les substances plus ou moins toxiques socialement acceptées (tabac, alcools, drogues, médicaments, overtoniens, etc.).
Enfin, c’est cultiver l’Amour romantique, divin, qui régénère.
Tout ceci peut être appris, progressivement, sur la base du savoir et de la sagesse, donc sur la base de la bonne volonté, de l’auto-contrôle de ses sentiments, bref du respect de soi-même, sans lequel on ne peut respecter autrui.
A. SIMONETON dit, encore, ceci :
« Si, à l’école, on apprend à lire ; si, dans la vie, il faut apprendre beaucoup de choses, aussi bien à nager qu’à rouler à la bicyclette ; si on apprend un métier ou une langue étrangère, pourquoi n’apprendrions nous pas à nous nourrir…
« Il faut avoir été malade, avoir perdu la santé, pour être vraiment prêt à comprendre ce que représente une chance de vraie santé.
« Il faut avoir constaté soi-même l’impuissance de la science et des hommes à rétablir la santé compromise.
« Il faut avoir été découragé durant des mois et des années, avoir envié, de son lit (de malade), les allées et venues de bien-portants pour soupçonner une erreur dans le comportement habituel.
« Quand on a usé toutes les ressources offertes par la Faculté (classique) pour rester, néanmoins, cloué à sa chaise longue, quand on a essayé tous les médicaments nouveaux, pris à la suite d’innombrables visites (médicales), on devient attentif à des théories jamais, encore, entendues ».
La maladie non accidentelle n’est pas un accident mais une échéance, une dette à payer à la vie (à la force vitale) pour l’avoir méprisée (épuisée) durant trop longtemps.
Elle est la conséquence de fautes existentielles, commises durant trop longtemps. Nous en sommes pleinement responsables du fait que nous sommes seuls responsables de nos vécus intérieurs négatifs (anti-biologiques), vécus consciemment ou in-consciemment, et donc de leurs conséquences.
Quand on est jeune et plein d’ardeur, on gaspille sa vitalité dans des comportements aberrants, souvent répétés, ignorant, par manque de sagesse, que leurs effets nocifs s’accumulent au fil des ans et qu’ils finissent par constituer une grave morbidité étio-pathogène dans l’âge mur.
En règle générale, les gens recherchent le plaisir dans des actes factices, futiles, pour ne pas dire idiots, alors qu’il est en nous, dans une santé naturelle à toute épreuve.
Mais la santé naturelle (la vraie, la précieuse), tout le monde s’en fiche, sauf le jour où on la perd vraiment ou que l’on meurt d’un cancer ou d’un Covid 19, par exemple.
Avec la santé naturelle, on peut tout faire. Sans elle, on ne peut plus rien faire, même pas l’amour.
Quel bonheur que d’être toujours en santé naturelle, d’avoir toujours la paix dans son âme et dans son corps physique, et cela jusqu’au bout d’une existence toujours joyeuse, pleine d’Amour à semer.